Earthdawn le lundi soir histoires diverses
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Earthdawn le lundi soir histoires diverses
Note non roleplay:
J'ai proposé à mes joueurs de rédiger un journal de leurs aventures. Les voici.
Vous pouvez rajouter vos commentaires, mais si vous voulez jouer le jeu, postez comme si vous annotiez le journal comme chercheur ou un bibliothécaire de la bibliothèque de Throal. La bibliothèque de Throal est chargé de regrouper toutes les connaissances de la région de Barsaive.
Le premier Sollus 1510
Bonjour chers amis, que les passions veillent sur vous
Comme promis, voici les dernières nouvelles d'Urupa, dont un intéressant journal de voyage d'aventuriers qui explorent Les monts du tonnerre à quelques jours à l'ouest de la cité.
Nous avons Mok, un adepte guerrier obsidien, Karthar Dévalar, un adepte sorcier elfe et Inigo Montoya, un adepte maitre d'arme humain.
Sinon ce foutu ministre n'est toujours pas mort?
A bientôt
Masarus Lepetit, premier bibliothécaire de la bibliothèque de throal à Urupa.
Rédigé par Tarsamus, scribe membre des guikdes d'Urupa.
J'ai proposé à mes joueurs de rédiger un journal de leurs aventures. Les voici.
Vous pouvez rajouter vos commentaires, mais si vous voulez jouer le jeu, postez comme si vous annotiez le journal comme chercheur ou un bibliothécaire de la bibliothèque de Throal. La bibliothèque de Throal est chargé de regrouper toutes les connaissances de la région de Barsaive.
Le premier Sollus 1510
Bonjour chers amis, que les passions veillent sur vous
Comme promis, voici les dernières nouvelles d'Urupa, dont un intéressant journal de voyage d'aventuriers qui explorent Les monts du tonnerre à quelques jours à l'ouest de la cité.
Nous avons Mok, un adepte guerrier obsidien, Karthar Dévalar, un adepte sorcier elfe et Inigo Montoya, un adepte maitre d'arme humain.
Sinon ce foutu ministre n'est toujours pas mort?
A bientôt
Masarus Lepetit, premier bibliothécaire de la bibliothèque de throal à Urupa.
Rédigé par Tarsamus, scribe membre des guikdes d'Urupa.
Madeclaid- Date d'inscription : 12/10/2010
Age : 55
Localisation : Lyon
Re: Earthdawn le lundi soir histoires diverses
Journal de voyage de Karthar Dévalar
Cela faisait déjà quelques semaines que mes compagnons et moi-même avions entrepris la tâche d’explorer les montagnes afin d’y découvrir les merveilles d’histoire, d’art, d’inventions et de magie qu’elles pouvaient encore contenir.
Seulement deux personnes m’accompagnaient dans ces terres qu’y bien qu’inhospitalières n’en possédaient pas moins une certaine magnificence que n’eu dédit les dieux qui les conçurent.
Mais je m’égare, revenons-en, à mes compagnons d’aventure, tout d’abord m’accompagnait un de ces êtres qu’on appelle Obsidien, et si ma foi, sa conversation n’est pas la plus enrichissante il s’agit de Mok, un brave type au grand cœur, et force de reconnaître la sienne, Il m’avait déjà sorti de quelques pétrins et protéger de quelques autres.
Plus mystérieux est mon second compagnon, un humain Inigo Montoya, de ceux que l’on nomme ‘maître d'armes’, un individu élégant et agile, non-dénué d’une certaine intelligence, mais au combien difficile à saisir, un mystère, mais j’aime les mystères, c’est d’ailleurs pour cela que j’ai décidé de me joindre à cette échappée.
Moi, le prodige, le sorcier qui sans égaler en puissance mes aïeux, possède néanmoins un pouvoir, un savoir, et une maturité exceptionnel pour mon jeune âge, chez nous autres les elfes on a l’habitude de dire que la sagesse ne vient qu’après le premier cinquantenaire et encore pas pour tout le monde, j’ai sans doute pris la part de certains de mes compatriotes, mais peut-être suis-je trop présomptueux pour répéter ce que l’on m’a mainte fois répétée pendant les classes. J’aurais sans doute trouvé un emploi digne et rémunérer si j’étai rester par chez moi, mais l’appel de l’aventure et du mystère était les plus fort, A, que de merveilles ce monde recèle, tellement de chose que j’ignore.
Si l’on dit de certains qu’ils ont le cerveau dans les biceps, ce n’est assurément pas mon cas, bien au contraire, sans pour autant être malingre, je suis de plutôt bonne constitution, soulever des poids n’a jamais fait partie de mon lot, tout juste si j’arrive à porter mon sac et mes grimoires .Je suis plutôt petit si l’on me compare avec mes compagnons, mes long cheveux jais et mes yeux d’Onix se marrie habilement pour donner à mon ensemble une apparences élégantes même si les semaines de voyage et le manque de confort avait mis à mal les vêtements chauds emportés en prévision de notre périple.
J’en reviens donc à cette dite aventure, un coup d’œil au ciel indiquait plus surement qu’une volée d’hirondelle que l’hiver serai bientôt sur nous, avec lui tomberais la neige qui nous emprisonnerais dans le carcan des monts alentours, tous au plus une semaine, peut être deux.
Cependant mes compagnons, ne semblait gouter comme moi la joie d’avoir découvert par hasard dans un éboulis des fragments de poterie, ancien fragment d’histoire s’il en est, que je me jurai de tenter de reconstruire pour savoir s’il ne recelait pas quelques mystères.
Non, leur soif à eux était bien plus mercantile, et force de reconnaître que de ce coté là nous n’étions pour le moment pas très en veine, malgré mes talents d’éclaireurs et mon étude des monts les lieux que je leurs indiquaient, ce montraient tous plus vide les uns que les autres ce qui ne nous empêchait pas de découvrir des paysages somptueux.
Enfin, un paysage ne nourrit pas son homme, aussi nous décidâmes de partir pour une dernière chasse aux trésors, peut être les dieux répondraient-ils à nos prières.
Nous nous mîmes donc en route, le cœur plein d’espoir.
Après quelques heures de marche dans les chaos de la montagne, je découvris une sente qui montant sur le flanc d’un mont ne semblait pas avoir été empruntée depuis des éons.
Peut-être s’agissait-il du chemin menant à un Cairn inexploré.
A un moment, je dus perdre la piste car nous débouchâmes au sortir du col sur des étendues laiteuses, magnifique mais vide. C’est alors qu’on aperçue la fumée, quelqu’un faisait un feu, nous nous rendîmes dans sa direction, non sans une certaine prudence, ami, ennemi, nul n’aurait pu nous le dire, il fallait donc rester vigilant.
On repéra alors une petite maison, un petit chalet, d’un petit feu montait en volutes blanc des relents de cuisine qui nous alléchait les babines, il devait faire bien chaud près de ce feu et peut être nous inviterait-il à l’intérieur.
De plus, il semblait s’agir d’un habitant des montagnes, peut-être aurait-il des informations susceptibles de nous aider dans notre quête.
Autre détails, il s’agissait d’un elfe, un elfe autrement plus vénérable que moi, ses cheveux blanc comme la neige témoin du poids des ans.
Nous nous avançâmes donc à sa rencontre, il sembla ravi d’avoir des gens avec qui discuter, cela faisait longtemps depuis la dernières fois, sur une demande de notre part il accepta de bon gré de partager son repas, ragout de lion des montagnes avec nous, nous donnâmes en échange un peu de notre viande séchée.
Il nous invita à entrer chez lui, la première chose qui m’envahit en rentrant dans la pièce fut sa chaleur, avais-je oublié ce que c’était que d’avoir chaud, la seconde chose que mon regard acéré remarqua fut sa bibliothèque pour ne comporter que quelque livres leurs aspect m’attira, tel une mite le feu. J’utilisais mes compétences tant mystiques, qu’intellectuelles et découvris que notre hôte devait selon tout vraisemblance être un nécromant, je lui posais donc la question.
Etre un nécromant, n’avait rien de déshonorant en tant que tel, ils étaient puissants et utiles, maitrisant des arcanes tout aussi passionnants que les miens, cependant, un mensonge m’aurait pour le moins inquiétés, il était un fait que certains de ces compagnons c’était livrer à des pratiques plus que répréhensibles.
Ce problème résolu nous l’interrogeâmes sur les montagnes environnantes, il nous répondit alors que les montagnes étaient changeantes dans ces régions mais qu’il lui semblait avoir vu quelque chose d’étrange un peu plus loin, peut-être l’entrer d’un Cairn.
Nous lui demandâmes alors de nous en indiquer le chemin, ce qu’il fit, et j’en notai tous les détails pour n’en rien omettre.
Nous choisîmes alors de repartir, non sans que notre hôte nous eus avertit de rester prudent quand au risque lié aux prochaines chutes de neige et à la rencontres avec des prédateurs.
Suivant ses conseils nous atteignirent rapidement la sente indiquée.
Pourtant, alors que nous gravissions péniblement la pente pour atteindre l’entrée du cairn.
Nous fûmes surpris pour l’assaut frénétique de trois magnifiques lions des montagnes, alliant puissance et beauté.
S’en suivit un combat acharné pour notre survie, mon compagnon obsidien se débarrassa promptement de son vis-à-vis qui s’enfuit de deux bonds graciles se plaçant or de notre portée .Il vint alors me soutenir, et me défendre contre les assauts de la bête féroce qui m’avait pris pour cible. Nous abattîmes les deux lions restant presque au même moment nous révélant mes compagnons et moi quasiment indemne. Il m’apparut cependant évident que je ne m’étais pas suffisamment préparer à ce genre de rencontre, même pas une armure pour protéger ma chair, il me faudrait y pallier si l’on parvenait à survivre à celle-là.
Nous étions donc face à la porte du cairn, magnifique, alors que nous nous approchions afin de pouvoir mieux l’admirer, je fus pris de vertige, la tête me tournais comme si le monde tremblais sous mes pieds, mais ce n’était pas qu’une impression et quand la terre cessa de tanguer la porte qui ce dressait tantôt devant nous apparut brisée, quel gâchis, néanmoins on parvins à distinguer un passage dans cette éboulis qui nous permis d’accéder à un couloir, pas aussi sombre que je ne m’y attendais, cela étant due au fait que des orifices éboulés béaient le plafond de puits de lumière, superbe que ces ruines, il fallait néanmoins rester prudent, il était connu que ce genre de lieux disposaient pour repousser les pillards de pièges astucieux. Les pièges un sujet qui me plait particulièrement, quelles merveilles de technique et d’intelligence fallait-il mettre en œuvre dans la conception de ces machineries retors et mortelles. Je fus alors au comble de la joie d’en découvrir quelques-uns.
Tout d’abord une fosse qu’il suffit d’éviter en longeant les bords des parois, ensuite vint une pierre qui semblait pouvoir s’enfoncer dans le sol si par mégarde quelque malheureux avait marché dessus, une lame l’aurait raccourcit. Malheureusement, je manquai de vigilance pour désamorcer le dernier piège, une magnifique dalle à pression qui me darda à mon passage de quelques fléchettes empoisonnées. Mes compagnons pour leur part préférèrent éviter les dites fléchettes, ils ne savaient pas ce qu’ils manquaient, les veinards. Peu après, nous débouchâmes dans une salle plus vaste dont le plafond s’était effondré dans sa plus grande partie. Là nous attendait 3 nouveaux lion des montagnes, des bêtes encore plus colossaux s’il était possible que les précédentes, ils cherchaient visiblement à nous tomber dessus une nouvelle fois par surprise quand je les indiquais du doigt à mes compagnons.
Comment comprirent-ils que nous les avions repérés, je l’ignore toujours est-il qu’ils se laissèrent choire de leurs positions pour venir nous agresser.
Le combat s’engagea, si le début fut le même que le précédent, chacun le sien, l’obsidien qui se débarrassa promptement du sien, tout changea quand alors qu’il venait me soutenir, deux autres fauve apparurent derrière nous dans le couloir que nous venions de quitter.
L’obsidien prit sur lui d’aller les affronter, espérant nous laisser le temps de nous charger de nos propres adversaires. Le premier assaut fut cinglant mais l’obsidien tint bon, j’en profitai pour ma part pour achever mon adversaire pendant que le voyageur échangeait les coups avec son lion. Le deuxième assaut se passa beaucoup moins bien, après avoir évité superbement le premier félin, le second lui mit un coup de griffes si bien placés et puissant qu’il me sembla voir sa tête rouler sur le sol, rocher parmi les cailloux fort heureusement, il
Ne s’agissait que d’un tour que me joua mes yeux, mais si il était toujours entier, il n’en demeurait pas moins au sol abattu .Les deux fauves abandonnèrent alors leur proie, il fallait croire que les cailloux ne les tentaient pas, pour fondre sur nous, la puissante créature qui venait d’étendre mon ami se jeta sur moi pendant que son compagnon vint rejoindre le mien.
Le combat se poursuivait, pendant que le voyageur achevait son premier félin, ma bête m’infligea pour sa part un coup fulgurant, comme le fut ma douleur, comme le fut ma colère.
L’instinct de l’animal le comprit avant moi, le poussant à s’enfuir. Trop tard, malheureusement ivre de colère et de douleur je pointai un index sur elle quand sa tête explosa avec la moitié de son corps une pluie perpétuel de sang sera le témoin de mon manque de control ce jour-là. Il ne fut alors qu’une question de temps d’achever la dernière bête.
La combat finit nous nous précipitâmes vers notre compagnon, il était, ô miracle agonisant mis bien vivant, le voyageur sorti alors de son sac une flasque et en fit couler le précieux breuvage à travers les lèvres de notre compagnon obsidien. Cela eu un effet immédiat, ragaillardi il se releva et nous purent reprendre notre route. Toutefois la salle se fermait sur un cul-de-sac un éboulis ayant fermé le passage, il nous fallut dégager le chemin pour accéder à ce qui se cachait derrière. Nous continuâmes le long du sombre corridor qui s’ouvrai à présent devant nous, quand je détectai sur le coté gauche une ouverture dissimulée fermée magiquement, en l’effleurant l’ouverture s’ouvrit devant nous apparurent alors plus de joyaux que je n’en avait vue dans mes rêves les plus fous. Une salle entière remplit sur trente mètre cube de joyaux, de pièces d’or, de rubis, de diamants, mais aussi d’objets finement manufacturés probablement magiques et de grimoires. Cependant on n’eue pas le temps de contempler l’étendue de ce trésor que le sol de la salle commença à s’élever emportant dans sa suite les trésors, il n’était plus temps de réfléchir, il fallait faire vite. Nous jetâmes donc nos doigts avides sur les trésors qui s’éloignaient de nous. Je jetai mon dévolu sur un gros grimoire qui passait à proximité, mes compagnons le leur sur les flopées de pièces qui partaient poursuivre leurs chemins. Le voyageur parvint à un ramasser deux pleins poignées mais cela ne fut rien comparée à ce que récupéra l’obsidien d’abord une brassée de pièce se déversa sur le sol puis nous remarquâmes prit dans le tas un coffret qui bien que de taille modeste n’est contenait pas moins une fortune en pierreries.
Le temps nous échappa une fois de plus, la dalle sur laquelle nous reposions mes camarades, notre prise,et moi commença à tourner sur elle-même et à s’élever de plus en plus haut nous passâmes le plafond, virent les montagnes bouger de leurs propres chefs pour se redéployer. J’ignore quand je perdis le fil des événements mais quand je revins à moi. Nous étions toujours sur la dalle mes compagnons, le trésor, et moi, mais perdus aux milieux des monts. Alors que nous nous relevions les flocons commencèrent à nous blanchir les épaules, il nous fallait partir et vite, quitter ces montagnes car l’hiver arrivait, présage de mort en ces contrées gelées.
En cours de route, je jetai un coup d’œil au grimoire que j’avais ramassé, si je ne compris pas tout, il semblait rédiger par de nombreuses mains en de nombreuses langues. Et traitait des secrets de ces montagnes sans doute le plus grand trésor que nous eussions pu rapporter. Nous décidâmes de prendre la route vers la grande cité portuaire Urupa, fin d’y préparer notre prochaine excursion au printemps, l’obsidien se montra généreux en partageant son coffret entre nous, ce qui nous permit de nous équiper convenablement, je porte a présent de magnifique pierre de sang qui me protège de manière plus efficace que mon manteau de tantôt, mais nous en avons également profiter pour traduire et étudier les informations contenues dans le grimoire.
Une chose est sûre, ces montagne regorgent encore de trésors et de mystères, et par ma fois, il en restera moins l’année prochaine.
Cela faisait déjà quelques semaines que mes compagnons et moi-même avions entrepris la tâche d’explorer les montagnes afin d’y découvrir les merveilles d’histoire, d’art, d’inventions et de magie qu’elles pouvaient encore contenir.
Seulement deux personnes m’accompagnaient dans ces terres qu’y bien qu’inhospitalières n’en possédaient pas moins une certaine magnificence que n’eu dédit les dieux qui les conçurent.
Mais je m’égare, revenons-en, à mes compagnons d’aventure, tout d’abord m’accompagnait un de ces êtres qu’on appelle Obsidien, et si ma foi, sa conversation n’est pas la plus enrichissante il s’agit de Mok, un brave type au grand cœur, et force de reconnaître la sienne, Il m’avait déjà sorti de quelques pétrins et protéger de quelques autres.
Plus mystérieux est mon second compagnon, un humain Inigo Montoya, de ceux que l’on nomme ‘maître d'armes’, un individu élégant et agile, non-dénué d’une certaine intelligence, mais au combien difficile à saisir, un mystère, mais j’aime les mystères, c’est d’ailleurs pour cela que j’ai décidé de me joindre à cette échappée.
Moi, le prodige, le sorcier qui sans égaler en puissance mes aïeux, possède néanmoins un pouvoir, un savoir, et une maturité exceptionnel pour mon jeune âge, chez nous autres les elfes on a l’habitude de dire que la sagesse ne vient qu’après le premier cinquantenaire et encore pas pour tout le monde, j’ai sans doute pris la part de certains de mes compatriotes, mais peut-être suis-je trop présomptueux pour répéter ce que l’on m’a mainte fois répétée pendant les classes. J’aurais sans doute trouvé un emploi digne et rémunérer si j’étai rester par chez moi, mais l’appel de l’aventure et du mystère était les plus fort, A, que de merveilles ce monde recèle, tellement de chose que j’ignore.
Si l’on dit de certains qu’ils ont le cerveau dans les biceps, ce n’est assurément pas mon cas, bien au contraire, sans pour autant être malingre, je suis de plutôt bonne constitution, soulever des poids n’a jamais fait partie de mon lot, tout juste si j’arrive à porter mon sac et mes grimoires .Je suis plutôt petit si l’on me compare avec mes compagnons, mes long cheveux jais et mes yeux d’Onix se marrie habilement pour donner à mon ensemble une apparences élégantes même si les semaines de voyage et le manque de confort avait mis à mal les vêtements chauds emportés en prévision de notre périple.
J’en reviens donc à cette dite aventure, un coup d’œil au ciel indiquait plus surement qu’une volée d’hirondelle que l’hiver serai bientôt sur nous, avec lui tomberais la neige qui nous emprisonnerais dans le carcan des monts alentours, tous au plus une semaine, peut être deux.
Cependant mes compagnons, ne semblait gouter comme moi la joie d’avoir découvert par hasard dans un éboulis des fragments de poterie, ancien fragment d’histoire s’il en est, que je me jurai de tenter de reconstruire pour savoir s’il ne recelait pas quelques mystères.
Non, leur soif à eux était bien plus mercantile, et force de reconnaître que de ce coté là nous n’étions pour le moment pas très en veine, malgré mes talents d’éclaireurs et mon étude des monts les lieux que je leurs indiquaient, ce montraient tous plus vide les uns que les autres ce qui ne nous empêchait pas de découvrir des paysages somptueux.
Enfin, un paysage ne nourrit pas son homme, aussi nous décidâmes de partir pour une dernière chasse aux trésors, peut être les dieux répondraient-ils à nos prières.
Nous nous mîmes donc en route, le cœur plein d’espoir.
Après quelques heures de marche dans les chaos de la montagne, je découvris une sente qui montant sur le flanc d’un mont ne semblait pas avoir été empruntée depuis des éons.
Peut-être s’agissait-il du chemin menant à un Cairn inexploré.
A un moment, je dus perdre la piste car nous débouchâmes au sortir du col sur des étendues laiteuses, magnifique mais vide. C’est alors qu’on aperçue la fumée, quelqu’un faisait un feu, nous nous rendîmes dans sa direction, non sans une certaine prudence, ami, ennemi, nul n’aurait pu nous le dire, il fallait donc rester vigilant.
On repéra alors une petite maison, un petit chalet, d’un petit feu montait en volutes blanc des relents de cuisine qui nous alléchait les babines, il devait faire bien chaud près de ce feu et peut être nous inviterait-il à l’intérieur.
De plus, il semblait s’agir d’un habitant des montagnes, peut-être aurait-il des informations susceptibles de nous aider dans notre quête.
Autre détails, il s’agissait d’un elfe, un elfe autrement plus vénérable que moi, ses cheveux blanc comme la neige témoin du poids des ans.
Nous nous avançâmes donc à sa rencontre, il sembla ravi d’avoir des gens avec qui discuter, cela faisait longtemps depuis la dernières fois, sur une demande de notre part il accepta de bon gré de partager son repas, ragout de lion des montagnes avec nous, nous donnâmes en échange un peu de notre viande séchée.
Il nous invita à entrer chez lui, la première chose qui m’envahit en rentrant dans la pièce fut sa chaleur, avais-je oublié ce que c’était que d’avoir chaud, la seconde chose que mon regard acéré remarqua fut sa bibliothèque pour ne comporter que quelque livres leurs aspect m’attira, tel une mite le feu. J’utilisais mes compétences tant mystiques, qu’intellectuelles et découvris que notre hôte devait selon tout vraisemblance être un nécromant, je lui posais donc la question.
Etre un nécromant, n’avait rien de déshonorant en tant que tel, ils étaient puissants et utiles, maitrisant des arcanes tout aussi passionnants que les miens, cependant, un mensonge m’aurait pour le moins inquiétés, il était un fait que certains de ces compagnons c’était livrer à des pratiques plus que répréhensibles.
Ce problème résolu nous l’interrogeâmes sur les montagnes environnantes, il nous répondit alors que les montagnes étaient changeantes dans ces régions mais qu’il lui semblait avoir vu quelque chose d’étrange un peu plus loin, peut-être l’entrer d’un Cairn.
Nous lui demandâmes alors de nous en indiquer le chemin, ce qu’il fit, et j’en notai tous les détails pour n’en rien omettre.
Nous choisîmes alors de repartir, non sans que notre hôte nous eus avertit de rester prudent quand au risque lié aux prochaines chutes de neige et à la rencontres avec des prédateurs.
Suivant ses conseils nous atteignirent rapidement la sente indiquée.
Pourtant, alors que nous gravissions péniblement la pente pour atteindre l’entrée du cairn.
Nous fûmes surpris pour l’assaut frénétique de trois magnifiques lions des montagnes, alliant puissance et beauté.
S’en suivit un combat acharné pour notre survie, mon compagnon obsidien se débarrassa promptement de son vis-à-vis qui s’enfuit de deux bonds graciles se plaçant or de notre portée .Il vint alors me soutenir, et me défendre contre les assauts de la bête féroce qui m’avait pris pour cible. Nous abattîmes les deux lions restant presque au même moment nous révélant mes compagnons et moi quasiment indemne. Il m’apparut cependant évident que je ne m’étais pas suffisamment préparer à ce genre de rencontre, même pas une armure pour protéger ma chair, il me faudrait y pallier si l’on parvenait à survivre à celle-là.
Nous étions donc face à la porte du cairn, magnifique, alors que nous nous approchions afin de pouvoir mieux l’admirer, je fus pris de vertige, la tête me tournais comme si le monde tremblais sous mes pieds, mais ce n’était pas qu’une impression et quand la terre cessa de tanguer la porte qui ce dressait tantôt devant nous apparut brisée, quel gâchis, néanmoins on parvins à distinguer un passage dans cette éboulis qui nous permis d’accéder à un couloir, pas aussi sombre que je ne m’y attendais, cela étant due au fait que des orifices éboulés béaient le plafond de puits de lumière, superbe que ces ruines, il fallait néanmoins rester prudent, il était connu que ce genre de lieux disposaient pour repousser les pillards de pièges astucieux. Les pièges un sujet qui me plait particulièrement, quelles merveilles de technique et d’intelligence fallait-il mettre en œuvre dans la conception de ces machineries retors et mortelles. Je fus alors au comble de la joie d’en découvrir quelques-uns.
Tout d’abord une fosse qu’il suffit d’éviter en longeant les bords des parois, ensuite vint une pierre qui semblait pouvoir s’enfoncer dans le sol si par mégarde quelque malheureux avait marché dessus, une lame l’aurait raccourcit. Malheureusement, je manquai de vigilance pour désamorcer le dernier piège, une magnifique dalle à pression qui me darda à mon passage de quelques fléchettes empoisonnées. Mes compagnons pour leur part préférèrent éviter les dites fléchettes, ils ne savaient pas ce qu’ils manquaient, les veinards. Peu après, nous débouchâmes dans une salle plus vaste dont le plafond s’était effondré dans sa plus grande partie. Là nous attendait 3 nouveaux lion des montagnes, des bêtes encore plus colossaux s’il était possible que les précédentes, ils cherchaient visiblement à nous tomber dessus une nouvelle fois par surprise quand je les indiquais du doigt à mes compagnons.
Comment comprirent-ils que nous les avions repérés, je l’ignore toujours est-il qu’ils se laissèrent choire de leurs positions pour venir nous agresser.
Le combat s’engagea, si le début fut le même que le précédent, chacun le sien, l’obsidien qui se débarrassa promptement du sien, tout changea quand alors qu’il venait me soutenir, deux autres fauve apparurent derrière nous dans le couloir que nous venions de quitter.
L’obsidien prit sur lui d’aller les affronter, espérant nous laisser le temps de nous charger de nos propres adversaires. Le premier assaut fut cinglant mais l’obsidien tint bon, j’en profitai pour ma part pour achever mon adversaire pendant que le voyageur échangeait les coups avec son lion. Le deuxième assaut se passa beaucoup moins bien, après avoir évité superbement le premier félin, le second lui mit un coup de griffes si bien placés et puissant qu’il me sembla voir sa tête rouler sur le sol, rocher parmi les cailloux fort heureusement, il
Ne s’agissait que d’un tour que me joua mes yeux, mais si il était toujours entier, il n’en demeurait pas moins au sol abattu .Les deux fauves abandonnèrent alors leur proie, il fallait croire que les cailloux ne les tentaient pas, pour fondre sur nous, la puissante créature qui venait d’étendre mon ami se jeta sur moi pendant que son compagnon vint rejoindre le mien.
Le combat se poursuivait, pendant que le voyageur achevait son premier félin, ma bête m’infligea pour sa part un coup fulgurant, comme le fut ma douleur, comme le fut ma colère.
L’instinct de l’animal le comprit avant moi, le poussant à s’enfuir. Trop tard, malheureusement ivre de colère et de douleur je pointai un index sur elle quand sa tête explosa avec la moitié de son corps une pluie perpétuel de sang sera le témoin de mon manque de control ce jour-là. Il ne fut alors qu’une question de temps d’achever la dernière bête.
La combat finit nous nous précipitâmes vers notre compagnon, il était, ô miracle agonisant mis bien vivant, le voyageur sorti alors de son sac une flasque et en fit couler le précieux breuvage à travers les lèvres de notre compagnon obsidien. Cela eu un effet immédiat, ragaillardi il se releva et nous purent reprendre notre route. Toutefois la salle se fermait sur un cul-de-sac un éboulis ayant fermé le passage, il nous fallut dégager le chemin pour accéder à ce qui se cachait derrière. Nous continuâmes le long du sombre corridor qui s’ouvrai à présent devant nous, quand je détectai sur le coté gauche une ouverture dissimulée fermée magiquement, en l’effleurant l’ouverture s’ouvrit devant nous apparurent alors plus de joyaux que je n’en avait vue dans mes rêves les plus fous. Une salle entière remplit sur trente mètre cube de joyaux, de pièces d’or, de rubis, de diamants, mais aussi d’objets finement manufacturés probablement magiques et de grimoires. Cependant on n’eue pas le temps de contempler l’étendue de ce trésor que le sol de la salle commença à s’élever emportant dans sa suite les trésors, il n’était plus temps de réfléchir, il fallait faire vite. Nous jetâmes donc nos doigts avides sur les trésors qui s’éloignaient de nous. Je jetai mon dévolu sur un gros grimoire qui passait à proximité, mes compagnons le leur sur les flopées de pièces qui partaient poursuivre leurs chemins. Le voyageur parvint à un ramasser deux pleins poignées mais cela ne fut rien comparée à ce que récupéra l’obsidien d’abord une brassée de pièce se déversa sur le sol puis nous remarquâmes prit dans le tas un coffret qui bien que de taille modeste n’est contenait pas moins une fortune en pierreries.
Le temps nous échappa une fois de plus, la dalle sur laquelle nous reposions mes camarades, notre prise,et moi commença à tourner sur elle-même et à s’élever de plus en plus haut nous passâmes le plafond, virent les montagnes bouger de leurs propres chefs pour se redéployer. J’ignore quand je perdis le fil des événements mais quand je revins à moi. Nous étions toujours sur la dalle mes compagnons, le trésor, et moi, mais perdus aux milieux des monts. Alors que nous nous relevions les flocons commencèrent à nous blanchir les épaules, il nous fallait partir et vite, quitter ces montagnes car l’hiver arrivait, présage de mort en ces contrées gelées.
En cours de route, je jetai un coup d’œil au grimoire que j’avais ramassé, si je ne compris pas tout, il semblait rédiger par de nombreuses mains en de nombreuses langues. Et traitait des secrets de ces montagnes sans doute le plus grand trésor que nous eussions pu rapporter. Nous décidâmes de prendre la route vers la grande cité portuaire Urupa, fin d’y préparer notre prochaine excursion au printemps, l’obsidien se montra généreux en partageant son coffret entre nous, ce qui nous permit de nous équiper convenablement, je porte a présent de magnifique pierre de sang qui me protège de manière plus efficace que mon manteau de tantôt, mais nous en avons également profiter pour traduire et étudier les informations contenues dans le grimoire.
Une chose est sûre, ces montagne regorgent encore de trésors et de mystères, et par ma fois, il en restera moins l’année prochaine.
Dernière édition par Madeclaid le Lun 5 Nov - 19:40, édité 4 fois
Madeclaid- Date d'inscription : 12/10/2010
Age : 55
Localisation : Lyon
Re: Earthdawn le lundi soir histoires diverses
Urupa est sympathique, mais la nature me manque. Le souffle de la pluie sur les champs herbeux, le frissonnement du ruisseau faisant rouler les galets, le cri de joie du rocher dévalant la montagne…. Urupa est bien trop animé, surtout en période de fête. Certes, les mets et boissons sont cosmopolites, dépaysant, mais trop vivant pour moi, et le tavernier me disait que nous étions en période creuse !
Voila 3 mois que nous sommes ici, deux mois que je fais le docker pour subvenir a mes frais. Inigo, mon compagnon ne cesse de parler et de s’agiter en tout sens pour qu’on le remarque. Quand à Karthar, il reste plonger dans un livre bien étrange, il l’a proposé a un bibliothécaire nain, Mazarus le petit, c’est vrai qu’il n’est pas bien grand comparé a moi, mais c’est un nain! Sa traduction avance peu à peu, ce la parle de plusieurs cairns, le reste, de deux entrées, une de la tribu du solstice, l’autre de la tribu des aigles. C’est encore assez nébuleux, mais c’est déjà ça!
Nous avons décidé de partir au 1er Sollus, Mes compagnons ayant versé 200 pièces d’argent à Mazarus pour qu’il avance sur la traduction pendant notre absence.
J’aime retrouver ces plaines menant vers les montagnes, mon regard s’extasiant toujours des bienfaits de la nature, le chant des oiseaux … couvert par les discours du maître d’arme! Au bout de 4 jours de marche nous arrivons, nous et notre mule, j’aimerais bien qu’on lui donne un nom, au village de Petitecolline. Il nous faut montrer patte blanche.
Les portes nous sont ouvertes grâce a mon expertise en forge, un magnifique fer à cheval finement ciselé, et à la danse acrobatique d’Inigo, je ne sais pas pourquoi le point de croix de mon ami sorcier n’as pas eu l’air d’émouvoir le village, pourtant il est très beau son napperon !
Je présentais mes compagnons au village et demanda si nous pouvions avoir le gîte et le couvert, ces gens sont si sympathiques qu’ils ont accepté. Le soir venu, au coin du feu, le doyen nous raconta la légende des 8 tribus qui construisirent le grand Cairn … et si c’était celui que nous avions vu ? Il doit receler bien des trésors !
Nous disons au-revoir au villageois, ressourcés et nourris, et prenons la route vers l’emplacement supposé du Cairn. Alors que nous progressons un buisson attire notre attention et trois lions, puissants, magistraux, musclés nous attaquent. Inigo esquive l’attaque du premier, je charge le second et l’estourbit sur le champ. Karthar, impassible, pointe le troisième du doigt et celui-ci s’effondre, mais à peine ai-je le temps de retourner que trois autre lions surgissent. Je charge le premier et le décapite, Karthar en abat un autre et le troisième se jette sur Inigo aux prises déjà avec son premier lion. Dans un élan d’héroïsme je me lance sur le ce lion qui le prend à revers et le pourfend de ma lame. Inigo tant bien que mal se débarrasse aussi du dernier lion. Pensant être enfin tranquille nous sommes surpris de voir 6 nouveaux lions des montagnes arriver. L’héroïsme est une chose, la survie une autre. Nous décidons donc de faire retraite et de laisser les cadavres au menu des nouveaux opposants. Ceux-ci se jettent dessus et nous ignore le temps de leur repas. Nous reprenons notre chemin. Comme ce fait il que des lions des montagnes soient si bas en plaine? Nous le comprenons en voyant les pics encore enneigés au loin, et suivant Karthar… ce n’est pas naturel !
Voila 3 mois que nous sommes ici, deux mois que je fais le docker pour subvenir a mes frais. Inigo, mon compagnon ne cesse de parler et de s’agiter en tout sens pour qu’on le remarque. Quand à Karthar, il reste plonger dans un livre bien étrange, il l’a proposé a un bibliothécaire nain, Mazarus le petit, c’est vrai qu’il n’est pas bien grand comparé a moi, mais c’est un nain! Sa traduction avance peu à peu, ce la parle de plusieurs cairns, le reste, de deux entrées, une de la tribu du solstice, l’autre de la tribu des aigles. C’est encore assez nébuleux, mais c’est déjà ça!
Nous avons décidé de partir au 1er Sollus, Mes compagnons ayant versé 200 pièces d’argent à Mazarus pour qu’il avance sur la traduction pendant notre absence.
J’aime retrouver ces plaines menant vers les montagnes, mon regard s’extasiant toujours des bienfaits de la nature, le chant des oiseaux … couvert par les discours du maître d’arme! Au bout de 4 jours de marche nous arrivons, nous et notre mule, j’aimerais bien qu’on lui donne un nom, au village de Petitecolline. Il nous faut montrer patte blanche.
Les portes nous sont ouvertes grâce a mon expertise en forge, un magnifique fer à cheval finement ciselé, et à la danse acrobatique d’Inigo, je ne sais pas pourquoi le point de croix de mon ami sorcier n’as pas eu l’air d’émouvoir le village, pourtant il est très beau son napperon !
Je présentais mes compagnons au village et demanda si nous pouvions avoir le gîte et le couvert, ces gens sont si sympathiques qu’ils ont accepté. Le soir venu, au coin du feu, le doyen nous raconta la légende des 8 tribus qui construisirent le grand Cairn … et si c’était celui que nous avions vu ? Il doit receler bien des trésors !
Nous disons au-revoir au villageois, ressourcés et nourris, et prenons la route vers l’emplacement supposé du Cairn. Alors que nous progressons un buisson attire notre attention et trois lions, puissants, magistraux, musclés nous attaquent. Inigo esquive l’attaque du premier, je charge le second et l’estourbit sur le champ. Karthar, impassible, pointe le troisième du doigt et celui-ci s’effondre, mais à peine ai-je le temps de retourner que trois autre lions surgissent. Je charge le premier et le décapite, Karthar en abat un autre et le troisième se jette sur Inigo aux prises déjà avec son premier lion. Dans un élan d’héroïsme je me lance sur le ce lion qui le prend à revers et le pourfend de ma lame. Inigo tant bien que mal se débarrasse aussi du dernier lion. Pensant être enfin tranquille nous sommes surpris de voir 6 nouveaux lions des montagnes arriver. L’héroïsme est une chose, la survie une autre. Nous décidons donc de faire retraite et de laisser les cadavres au menu des nouveaux opposants. Ceux-ci se jettent dessus et nous ignore le temps de leur repas. Nous reprenons notre chemin. Comme ce fait il que des lions des montagnes soient si bas en plaine? Nous le comprenons en voyant les pics encore enneigés au loin, et suivant Karthar… ce n’est pas naturel !
Madeclaid- Date d'inscription : 12/10/2010
Age : 55
Localisation : Lyon
Journal d'aventure de karthar Dévalar
Je voudrais joindre à la copie précédente du dénomé Mok un extrait du Journal d'aventure de karthar Dévalar qui relate dans son style les mêmes événements.
Je regrette de n'avoir pu le joindre à l'envoie précédant mais la traduction de ses minuscule pattes de mouche elfiques m'a prit plus de temps que prévu.
Sinon j'ai apprit qu'Ibèrus allait fêter ses 102 ans comment se porte cette canaille?
A bientôt
Masarus Lepetit, premier bibliothécaire de la bibliothèque de throal à Urupa.
Rédigé par Tarsamus, scribe membre des guikdes d'Urupa.
L'aube d'un nouveau jour.
Ah, bien des choses me sont arrivées depuis la dernière fois, où j'ai posé mes pérégrinations dans ce journal.
Revenons-en à la dernière fois, nous venions d'arriver, Mok, Inigo, et moi, dans la florissante cité d'Uru-pa, situé sur la côte ouest du continent, ce qui lui donnait une ouverture sur le monde dont n'aurait pu se prévaloir aucune autre cité. On y croisait donc volontiers des gens venus des quatre coins du monde. C'est d'ailleurs, la raison pour laquelle nous avions choisis cette ville, nous espérions toujours trouver quelqu'un susceptible de nous aider à traduire le grimoire, qui ma foi, dépassait quelques peu ma compréhension sur certains passages.
Nous prîmes donc nos quartier, dans une petite auberge," l'oiseau siffleur', si cet endroit était simple, il n'en était pas moins propre, et l'aubergiste sympathique. Lui ayant annoncé notre désire d'y résider jus-qu'au printemps, il nous fit un tarif des plus intéressant pour la pension complète.
Nous avions tous pris notre chambre individuelle, la mienne comportait un petit lit simple mais douillet, ainsi qu'un bureau me permettant de travailler sur mes textes, et un grand coffre pour y ranger mes af-faires. En ouvrant les volets, la vue donnait sur une rue paisible mais actives qui proposait tout ce qu'un voyageur de passage aurait pu désirer, échoppes, tavernes, auberges, temple, …
Nous passâmes les premiers jours à faire quelques commissions, je trouvais chez un armurier, un ap-prenti possédant les connaissances nécessaires pour me poser ce qu'on appelle des galets de sang.
Une sorte d'armure qui utilise le sang de son propriétaire pour le protéger, la douleur de la pose était quasiment intenable, mais je la supportai néanmoins et sorti de chez le commerçant paré de ma nou-velle protection, je cédi également à la tentation chez un apothicaire et repartis de la boutique avec un baume, qui paraissait-il faisait des miracles.
Nous nous décidâmes, alors à nous mettre à la recherche d'une personne susceptible de nous aider dans la traduction du grimoire.
Je confiai cette mission à Inigo, car à l'inverse de nous Mok, en tant qu'obsidien et moi en tant que sor-cier, qui semblions mettre nos interlocuteurs mal-à-l'aise, Inigo semblait toujours savoir comment mettre quelqu'un dans de bonnes dispositions pour parler, un don précieux s'il en est. Il nous permit donc d'apprendre qu'en ville se trouvait deux personnes susceptible de parfaire à la tâche.
La première s'appelait Masarus le petit, un nain ayant travaillé par le passé dans la bibliothèque de Throal, que l'on disait érudit, la seconde s'appelait Elordya les-trois-chants, un ménestrel de renom dont ont vantait la connaissance de chant dans des langues étranges.
Je décidai donc me renseigner sur ces deux individus. Mettant en pratique, ma formation chez les sor-ciers, je commençai par essayer d'en apprendre d'avantage sur Masarus le petit, il me semblait d'avan-tage digne de confiance semblant une personne mut par la connaissance, plutôt qu'une personne mut par la richesse. Je parvins alors à découvrir pas mal de choses à son sujet.
Masarus le petit, nain de son état, était bibliothécaire à Throal, il avait du quitter la ville suite à une esclandre avec un seigneur à propos d'un livre non-rendu et était à présent persona-non-grata à Throal. On pouvait en déduire qu'il s'agissait d'une personne légèrement psychorigide, je ne pouvais néanmoins pas lui reprocher son amour inconditionnel des livres, dans l'ensemble plutôt un bon point. J'appris également qu'il s'agissait d'un adepte possédant par conséquent des talents rares et un art propre à sa discipline, chercheur sans doute encore que je ne fîsse que le subodorer, il avait parait-il l'habitude de trainer dans le port, près des quais où venait accoster les navires étrangers, avec qui il semblait aimer discuter, J'appris aussi qu'il était grand amateur de toutes sortes d'histoires et plutôt sédentaire dans le sens où il ne quittait jamais la ville. Dans l'ensemble des informations plutôt encourageantes.
Je décidai alors de procéder au même examen sur la personne d’Elordya les-trois-chants, une magnifique elfe à l’âge inconnu, elle était la ménestrel la plus connue d'Urupa et résidait à l'auberge des trois-fleurs récemment renommée en son honneur. Elle était la chouchoute du cercle, le fameux conseil de la ville qui réunissait un représentant de chaque races soit sept membres au total .Et qui règne sur la citée avec sagesse et compréhension.
De plus la rumeur voulait quelle soit adulée de tous, enfin, d’après elle, une narcissique en bref, un défaut comme une faiblesse sur lequel on pouvait sans doute jouer pour l’amener à de bonnes dispositions.
En plus de ceci, elle aimait les présents, l’or, la soie, les bijoux les parfums et tout ce qui pouvaient la mettre en valeur. Un cadeau modeste ne serait d’aucune utilité pour la décider.
Mon instinct désignant Masarus , le petit (qui selon les dires ne supportait pas d’être appelé petit) comme le meilleur candidat surtout compte tenu de notre bourse, ma foi fort modeste après nos emplettes.
Nous décidâmes d’aller à sa rencontre le lendemain sur les quais qu’il semblait apprécier.
Cependant il fallait s’assurer qu’il était bien le nain de la situation et je ne souhaitais pas lui présenter le grimoire avant de savoir de quel genre d’individus il s’agissait en définitive. Je mis donc en place un ingénieux stratagème afin d’évaluer l’étendue de ses connaissance dans le champ lexical. Le début du livre étant en ancien elfîque que je peux déchiffrer je sélectionnai la quatrième page et en recopiait un passage, puis en parcourant le grimoire je recopiai des termes qui me semblaient compréhensibles.
Si Masarus parvenait à tous traduire nous avions trouvé la personne qu’il nous fallait.
Le matin nous nous mîmes donc en route pour le port où accostaient les navires étrangers, un simple coup d’oeil fut suffisant pour me dépayser, sans parler des flagrances d’épices, des bois, et de fleurs rare et des vêtements chatoyant que portaient ces individus, même leurs bateaux avaient une apparence inhabituelle. Je me fis la promesse qu’un jour, j’irai fouler ces lointaines contrées pour découvrir ce qu’elles cachent. Mais je diverge une fois de plus, revenons donc sur le quai, il ne fut pas bien long d’y débusquer Masarus , occupé comme il l’était à s’entretenir avec les capitaines de quelques navires amarrés non loin. Il eue été impoli d’interrompre sa discussion, nous nous rapprochâmes en tendant l’oreille pour voir s’il était possible de saisir quelque bribes de sa conversation, comme on dit par chez nous « le savoir c’est le pouvoir » cependant le dialecte et l’accent m’empêcha de comprendre le moindre élément de leur communication. Nous attendîmes donc qu’ils eussent finis pour envoyer Inigo l’aborder afin l’inviter à prendre un verre en notre compagnie et de discuter d’une affaire que nous étions susceptible de lui confier.
Masarus apparu fidèle aux renseignements que j’avais collectés au détail près qu’il se présenta lui-même comme « Masarus , le petit » précisant que ce qualificatif ne le chagrinait nullement.
La taverne « le faisan bleu » en elle-même était une minable gargote, mal éclairée et crasseuse, de plus le patron était un rustre dont le front était aussi bas que le plafond de son établissement. Il eue, en plus, de ne pas servir de lait de chèvre, l’affront de me proposer de l’eau chaude quand je lui demandai de me servir du thé à la place. Peut-être aurais d’ailleurs due accepter, la chaleur aurait peut-être eu un effet positif sur le ver de limon qu’il me servi alors et que je me refusai à boire, un verre de ce breuvage, et à n’en point douter mes selles se révèleraient tout aussi boueuse que lui. Mes compagnon pour leur part prirent une bière dont le gout corsé devait servir à camoufler la crasse du boc. Bref, je fis passer à Masarus le document préparé le soir, sitôt qu’il l’eu entre les mains son regard parut s’illuminer des étincelles de l’intérêt, il nous expliqua qu’il était surpris de rencontrer un langage datant d’avant le cataclysme, hypothèse qui me paraissait cohérente comme le document provenait d’un caïrn datant de cette même époque.
Il parvint sans trop de difficultés à traduire le passage, et parvint à traduire un certain nombre des termes il parvint à identifier en plus de l’elfîque ancien une sorte de dialecte troll depuis longtemps perdu. Cependant il ne put traduire tous les termes malgré une certaines ressemblance avec des termes de dialecte nain.
Cet entretient me permis de valider la compétence de Masarus dans les langues, cependant le fait qu’il ne puisse pas traduire certain passage me chagrina, ils eu été préférable de trouver quelqu’un capable de lire le texte dans son intégralité sans aide extérieure moins de gens étant au courant pour ce livre moins on risquai de nous concurrencer dans notre quête des trésors du caïrn, une autre raison pour laquelle Masarus me paraissait un meilleur choix qu’Elordya, en effet, les ménestrels ont souvent l’habitude de raconter à tous vents ce qu’ils apprennent.
Nous prîmes donc rendez-vous avec Mazarus pour le soir même dans ma chambre à l’auberge afin de lui présenter l’ouvrage et discuter des modalités du contrat. Néanmoins, je pris la décision d’essayer de faire passer le test à Elordya et si elle était capable de traduire tous les termes je mettrai de cotée mes aprioris.
Et lui demanderai de traduire le livre. Cependant faire travailler Elordya pour nous n’était absolument pas dans nos moyens je me préparais donc à une âpre négociation en jouant sur son prétendu égo, « seule une personne aussi talentueuse que vous,… », et me rendit à l’auberge des trois-fleurs, il est vrai que le moment n’était pas vraiment le plus propice, les deux semaines de festivité débutant le lendemain, l’auberge était sans-dessus dessous afin de tout organiser. Je me présentai néanmoins au portier pour demander s’il était possible de m’entretenir avec Elordya pour parler affaire. Le portier tenait malheureusement plus du batracien que d’autre chose l’intelligence en moins, ce grotesque individu m’interdit le passage lui proposant de transmettre mon message à la dame, il n’en baragouina pas moins que c’était impossible.
J’insistai un peu, mais la flaque de bave qui se répandait de l’individu me fit abandonner, autant parler à une porte.
Il me fallait de plus préparer la visite de Masarus ce soir, Je rangeai la chambre et libérai le bureau afin de pouvoir y placer le grimoire ultérieurement, une chaise judicieusement placé pour permettre à Masarus de s’asseoir devant, je plaçai le grimoire soigneusement dans un drap et le rangeait dans mon sac afin de ménager mon effet quand il se serait agi de le sortir. Tout était prêt, il ne nous restait plus qu’à attendre l’arrivée de Masarus . Nous étions dans la salle commune quand il finit par se présenter, quelle ne fut pas ma surprise en découvrant qu’il n’était pas seul, un jeune garçon l’accompagnait, voilà, qui ne me plut guère, désireux qu’il y ai le moins de personnes possible ayant connaissance de notre découverte.
Néanmoins, non sans un coup d’œil échangé avec mes compagnons nous les fîmes monter à l’étage.
C’est alors qu’il nous présenta le garçon, il était scribe et son apprenti et se nommait Tarsamus, il avait beau être poli et discret, il me paraissait toujours de trop. Masarus nous demanda alors de nous présen-ter, afin que Tarsamus puisse rédiger le compte rendu de l’entretient sous la dictée de Masarus .
Vint alors le moment de sortir le grimoire, j’y mis tout le cérémoniale possible et pris d’infinis précaution afin de mettre en exergue la valeur de ce que je tenais entre les mains. Cela eu le résultat escompté, j’avais capté l’attention de Masarus , et après avoir déposé le livre sur le bureau, je lui proposais de s’asseoir afin de jeter un coup d’œil sur l’ouvrage richement relié. La première chose qu’il traduisit fut le titre que je n’étai point parvenue moi-même à traduire : « Rapport d’activité d’un Caïrn » écrit en Skrang anciens. Je proposais alors de parcourir l’ouvrage afin de me donner son estimation de la quantité de travail, ainsi que du cout estimé de la traduction. Une lecture diagonale, lui permit de se faire et il m’indiqua qu’un des passages dépassait sa compréhension. Je lui manifestai mon désapointemment, et il me rétorqua que travailler avec lui c’était travailler avec toute la bibliothèque de Throal, et que si lui était incapable de traduire ce passage, il y aurait bien quelqu’un de la bibliothèque qui le pourrait. Un argument à double tranchant, certes il ne viendrait pas minimiser l’institution ainsi que la quantité inimaginable de connaissance que représente la bibliothèque mais de savoir d’avantage de personne impliquée commençait à m’inquiéter. Ce fut alors qu’il nous indiqua ses conditions, il était loin d’être idiot et avais bien compris que ses service étaient quelque peu hors de nos moyens, il nous proposa de s’occuper de la traduction au cours de ses soirées, en échange de quoi il nous demanda si nous avions quelques récits de nos aventures à lui fournirent, l’idée de voir mon nom apparaitre dans un récit dans la grande bibliothèque de Throal n’était pas pour me déplaire, c’était là faire un don à toute les créatures douées d’intelligence que de permettre dans plusieurs milliers d’années qu’ils soit possible de lire ma légende écrit de ma propre main.
L’idée parut également plaire à Mok qui se décida à m’imiter dans la rédaction d’un journal de voyage mais sembla laisser froid se brave Inigo, sa légende il entendait l’écrire par l’épée. Néanmoins, étant le seul à avoir commencer la rédaction du journal lors de la précédente aventure, je lui permis de copier son contenu, et il parue abassourdi par la qualité de ma prose et la pertinence des détails soulignés dans mon feuillet, considérant ce trésor inestimable pour un prix suffisant, nous validâmes les conditions de l’accord. Cependant, il refusait de travailler durant les festivités et ne commencerais sa traduction que dans deux semaines, je lui proposais donc de commencer à traduire le début du livre puis de le lui confier à la fin des festivités. Je suivis donc assez peu les fêtes d’Urupa pourtant réputé dans le monde entier, tout occupé comme je l’étai à la lecture et à la traduction du livre, mes camarades s’amusèrent pour trois.
A la fin des deux semaines je n’étais parvenue qu’à traduire les vingt-cinq premières pages du grimoire qui en comporte près de cinq-cents, résultat qui me parut quelque peu décevant. Néanmoins j’appris quelques informations utiles, le début du livre indiquait logiquement le déroulement du début de la construction du caïrn. J’appris qu’il s’agissait en fait de la réunion de plusieurs caïrns un par tribu, regroupés ensemble dans un ensemble avec une entrée principale, peut être celle la même où nous étions rentrés il discutait également du caïrn où il leur faudrait déposer les « pièces rapportées », peut être les trésors.
A la fin de ces deux semaines Masarus revint chercher le grimoire et commencer son travail de traduction, nous avions convenu un rendez-vous un mois plus tard afin de faire le point sur son avancée. Malheureusement les festivités avaient méchamment grignotées nos économies et il nous fallut travailler pour assurer nos frais de fonctionnement. Mok mis à profit sa force afin de travailler comme docker, Inigo trouva un emploie comme maitre d’arme auprès de quelques jeunes parvenues, quant à moi je choisis de joindre l’utile à l’agréable en travaillant comme copiste et traducteur pour la bibliothèque d’Urupa ce travaille me permettant en plus de gagner quelques sous d’avoir accès à cette masse de connaissances.
La qualité de mon travaille fut rapidement reconnue et l’on ne me confia plus que les ouvrages les plus complexes. J’en profitai pour me renseigner sur la région des monts et force me fus de constater que l’on en savait bien peu, pas de cartes de la région, et quelques rares Caïrns seulement qui c’étaient ouvert.
Finalement, le jour du rendez-vous arriva et seul Tarsaöus se présenta porteur de cinq malheureuse pages, me laissant à une profonde déception et n’ajoutant guère d’éléments supplémentaires susceptible de nous servir. Désapointés nous décidâmes de discuter avec Masarus qui nous expliqua qu’on ne pouvait attendre mieux de lui, qu’il avait eu des travaux plus urgent et que si nous souhaitions avoir la priorité il nous faudrait payer, Inigo pris sur lui de payer pour un mois d’exclusivité lui expliquant que nous attendions de meilleurs résultat le mois prochain, et tel fus le cas il traduisit une vingtaine de pages supplémentaires lesquels recelaient quelques informations sur la structure des caïrns et l’élaborations des pièges de type trappes.
Nous fumes alors confrontés à un choix fallait-il partir dès à présent, maintenant que la route devait être praticable, ou prendre un moi supplémentaire afin de recueillir de nouveaux renseignements. Nous nous décidâmes finalement, après une âpre discussion, Mok étant partisant du départ, la ville semblant le lasser, à attendre un mois de plus en payant une petite commission à Masarus pour l’encourager à travailler sur notre texte. Je mis ce temps à profit afin de préparer au mieux notre périple, je pris notamment sur moi, le soin de dresser notre itinéraire, de manière à attaquer les montagnes le plus reposé et avec le plus de vivre possible. Le jour du départ finit par arriver, Masarus se présenta à nous avec une dizaine de feuillets qui parlaient de deux des tribus du Caïrn la tribu des aigles, et la tribu du solstice qui possédaient chacune leur entrée. Nous finîmes par dépenser une bonne partie du reliquat de nos économies à Inigo et moi-même afin de payer deux mois de traduction à mi-temps par Masarus . C’est ragaillardi par cet hiver profitable à Urupa que reprîmes la route. Comme à l’aller le trajet, nous fit passer par des paysages aussi splendides que sauvage. Je chassais quand il était possible afin d’économiser nos vivres et d’améliorer notre quotidien, ayant bien étudié la région je menai mes compagnons sans encombres jusqu’au village de Petite Colline qui se situant à mi parcourt nous permit de refaire le plein de vivres.
Les villageois d’abord méfiant nous demandèrent de prouver notre identité en faisant la démonstration de notre art, Inigo commença par nous faire le spectacle de quelques gracieux pas de danse, Mok quant à lui requit une enclume et travailla un fer à cheval finement ouvragé, Inigo lui fit alors la remarque que graver des runes demandait moins de matériel. Finalement mon tour arriva et j’exécutai devant leurs yeux ébahis un superbe napperon en point empiétant, qui permet de donner du relief à l’ouvrage. Après avoir admiré nos superbes œuvres, ils nous permirent d’entrées dans le village. Comme hôte de marque nous fûmes conviés à partager le repas avec le village, au cours de ce diner Mok étant parvenu à guider la conversation dans la bonne direction, l’ancien du village nous apprit qu’ils étaient des descendants d’un des rares caïrns qui s’étaient ouverts dans les montagnes avoisinantes et qu’il existait une légende qui parlait de huit tribus qui auraient mises en commun savoir et richesse avant le cataclysme mais dont on avait jamais trouvé traces par la suite, peut-être s’agissait-il de nos propres tribus, en tout cas l’histoire y ressemblait, je tentais de pousser nos interlocuteurs à nous fournir plus de détails mais c’étaient là, les seuls éléments dont il se souvenait. Nous repartîmes donc à l’aube, les sacs chargés de provisions, enfin surtout ceux de mes camarades, laissant derrière nous ce sympathique village et ses habitants hospitaliers.
La route se passa sans contretemps, jusqu'à ce que nous ayons atteint les monts. Là je fis la démonstration de mes talents d’éclaireur afin de retrouver le chemin qui nous mènerait au pic, où nous avions trouvé le caïrn lors de notre précédente expédition. Alors que nous parcourions une sente, nous vîmes se rapprocher trois puissants fauves de la même espèce que ceux avions déjà affrontés. Mok ce jeta prestement sur l’un d’eux, pendant que moi-même et Inigo entreprirent de combattre avec les autres, l’animal fluide et véloce parvint à m’atteindre d’un coup de griffes à la hanche. Là, une nouvelle fois, la colère prit le dessus sur moi et la terre se gorgea du sang de la demi-carcasse qui me tenait tantôt lieu d’adversaire, Mok se débarrassa tout aussi prestement de son vis-à-vis, il ne restait plus qu’à Inigo à se défaire de son encombrant camarade. Nous pensions lui venir en aide, quand trois nouveaux félins tentèrent de nous prendre en tenaille, j’en récoltai deux contre moi et un s’en fut affronter Mok, sans doute le sang répandu devant nous, nous donnait l’aire de rivaux potentielles. La douleur ayant remonté mon adrénaline je parvins élégament à esquiver mes deux adversaires, Mok comme à son habitude prit le fauve de vitesse et lui trancha le flanc, la bête s’écroula à ses pieds, décidemment la puissance de mes pouvoir parvenait moi-même à me surprendre car il ne me resta plus qu’à affronter un animal recouvert par la cervelle de feu son compagnon, Mok me débarrassa de ce dernier, et alors que je m’apprêtai à finalement porter assistance à Inigo ce dernier terrassa l’animal. A quelques pas nous parvenais déjà les feulements puissants de nouveaux importuns quand nous les vîmes émerger, ils étaient six cette fois-ci et dans le lointains on pouvait déjà entendre qu’ils seraient bientôt rejoints par une cohorte de leurs semblables. Nous prîmes alors la décision de les contourner par le coté droit, j’espérais que les animaux aurait l’intelligence de privilégier la nourriture facile qu’étaient devenus leur compagnons plutôt que de venir chercher leurs morts à nos pieds. Il ne me plaisait guère de continuer à massacrer ses splendide lion des montagnes, alors, que leurs morts ne nous rapporteraient rien. Je parvins à guider mes compagnons sur leurs flancs et comme attendues, les lions se montrèrent plus friands de viande que de combats. J’ai continué à mener mes camarades jusqu’au pic que nous recherchions en prenant soin d’éviter les rencontres fortuites avec de nouveaux félins. Arrivé en haut du col nous eûmes alors une vue dégagée sur le pic, mais le spectacle qui se déroulait devant nous n’avait rien de sain, le pic était complètement blanc couvert du pied au sommet par une épaisse couche neigeuse, au-dessus tournait comme une maelstrom des nuages aussi sombre qu’une nuit sans lune qui déversait leurs flot continu de flocons, même sans regarder dans le plan astrale cela ne pouvait en aucun cas être d’origine naturelle, j’y jetai néanmoins un coup d’œil afin de m’en assurer, ce que je vis alors manqua de me faire défaillir, dans les profondeurs les plus reculés de la montagne un passage vers l’astrale s’ouvrait, la sensation était très ténue à cause de la distance qui me séparait de la sources. Cependant la noirceur et les miasmes qui en provenait avait une odeur tellement fétide qu’elle me révulsait, force me fus de détourner mon regard et de le tourner vers Mok et Inigo, afin de les avertir que nous faisions routes vers des ténèbres insoupçonnées et vers un astrale chaotique.
C’est sur ces derniers fait que nous montâmes le camp duquel j’écris ces quelques lignes dans mon journal, puisse-t-il s’enrichir de nombreuses autres.
Je regrette de n'avoir pu le joindre à l'envoie précédant mais la traduction de ses minuscule pattes de mouche elfiques m'a prit plus de temps que prévu.
Sinon j'ai apprit qu'Ibèrus allait fêter ses 102 ans comment se porte cette canaille?
A bientôt
Masarus Lepetit, premier bibliothécaire de la bibliothèque de throal à Urupa.
Rédigé par Tarsamus, scribe membre des guikdes d'Urupa.
L'aube d'un nouveau jour.
Ah, bien des choses me sont arrivées depuis la dernière fois, où j'ai posé mes pérégrinations dans ce journal.
Revenons-en à la dernière fois, nous venions d'arriver, Mok, Inigo, et moi, dans la florissante cité d'Uru-pa, situé sur la côte ouest du continent, ce qui lui donnait une ouverture sur le monde dont n'aurait pu se prévaloir aucune autre cité. On y croisait donc volontiers des gens venus des quatre coins du monde. C'est d'ailleurs, la raison pour laquelle nous avions choisis cette ville, nous espérions toujours trouver quelqu'un susceptible de nous aider à traduire le grimoire, qui ma foi, dépassait quelques peu ma compréhension sur certains passages.
Nous prîmes donc nos quartier, dans une petite auberge," l'oiseau siffleur', si cet endroit était simple, il n'en était pas moins propre, et l'aubergiste sympathique. Lui ayant annoncé notre désire d'y résider jus-qu'au printemps, il nous fit un tarif des plus intéressant pour la pension complète.
Nous avions tous pris notre chambre individuelle, la mienne comportait un petit lit simple mais douillet, ainsi qu'un bureau me permettant de travailler sur mes textes, et un grand coffre pour y ranger mes af-faires. En ouvrant les volets, la vue donnait sur une rue paisible mais actives qui proposait tout ce qu'un voyageur de passage aurait pu désirer, échoppes, tavernes, auberges, temple, …
Nous passâmes les premiers jours à faire quelques commissions, je trouvais chez un armurier, un ap-prenti possédant les connaissances nécessaires pour me poser ce qu'on appelle des galets de sang.
Une sorte d'armure qui utilise le sang de son propriétaire pour le protéger, la douleur de la pose était quasiment intenable, mais je la supportai néanmoins et sorti de chez le commerçant paré de ma nou-velle protection, je cédi également à la tentation chez un apothicaire et repartis de la boutique avec un baume, qui paraissait-il faisait des miracles.
Nous nous décidâmes, alors à nous mettre à la recherche d'une personne susceptible de nous aider dans la traduction du grimoire.
Je confiai cette mission à Inigo, car à l'inverse de nous Mok, en tant qu'obsidien et moi en tant que sor-cier, qui semblions mettre nos interlocuteurs mal-à-l'aise, Inigo semblait toujours savoir comment mettre quelqu'un dans de bonnes dispositions pour parler, un don précieux s'il en est. Il nous permit donc d'apprendre qu'en ville se trouvait deux personnes susceptible de parfaire à la tâche.
La première s'appelait Masarus le petit, un nain ayant travaillé par le passé dans la bibliothèque de Throal, que l'on disait érudit, la seconde s'appelait Elordya les-trois-chants, un ménestrel de renom dont ont vantait la connaissance de chant dans des langues étranges.
Je décidai donc me renseigner sur ces deux individus. Mettant en pratique, ma formation chez les sor-ciers, je commençai par essayer d'en apprendre d'avantage sur Masarus le petit, il me semblait d'avan-tage digne de confiance semblant une personne mut par la connaissance, plutôt qu'une personne mut par la richesse. Je parvins alors à découvrir pas mal de choses à son sujet.
Masarus le petit, nain de son état, était bibliothécaire à Throal, il avait du quitter la ville suite à une esclandre avec un seigneur à propos d'un livre non-rendu et était à présent persona-non-grata à Throal. On pouvait en déduire qu'il s'agissait d'une personne légèrement psychorigide, je ne pouvais néanmoins pas lui reprocher son amour inconditionnel des livres, dans l'ensemble plutôt un bon point. J'appris également qu'il s'agissait d'un adepte possédant par conséquent des talents rares et un art propre à sa discipline, chercheur sans doute encore que je ne fîsse que le subodorer, il avait parait-il l'habitude de trainer dans le port, près des quais où venait accoster les navires étrangers, avec qui il semblait aimer discuter, J'appris aussi qu'il était grand amateur de toutes sortes d'histoires et plutôt sédentaire dans le sens où il ne quittait jamais la ville. Dans l'ensemble des informations plutôt encourageantes.
Je décidai alors de procéder au même examen sur la personne d’Elordya les-trois-chants, une magnifique elfe à l’âge inconnu, elle était la ménestrel la plus connue d'Urupa et résidait à l'auberge des trois-fleurs récemment renommée en son honneur. Elle était la chouchoute du cercle, le fameux conseil de la ville qui réunissait un représentant de chaque races soit sept membres au total .Et qui règne sur la citée avec sagesse et compréhension.
De plus la rumeur voulait quelle soit adulée de tous, enfin, d’après elle, une narcissique en bref, un défaut comme une faiblesse sur lequel on pouvait sans doute jouer pour l’amener à de bonnes dispositions.
En plus de ceci, elle aimait les présents, l’or, la soie, les bijoux les parfums et tout ce qui pouvaient la mettre en valeur. Un cadeau modeste ne serait d’aucune utilité pour la décider.
Mon instinct désignant Masarus , le petit (qui selon les dires ne supportait pas d’être appelé petit) comme le meilleur candidat surtout compte tenu de notre bourse, ma foi fort modeste après nos emplettes.
Nous décidâmes d’aller à sa rencontre le lendemain sur les quais qu’il semblait apprécier.
Cependant il fallait s’assurer qu’il était bien le nain de la situation et je ne souhaitais pas lui présenter le grimoire avant de savoir de quel genre d’individus il s’agissait en définitive. Je mis donc en place un ingénieux stratagème afin d’évaluer l’étendue de ses connaissance dans le champ lexical. Le début du livre étant en ancien elfîque que je peux déchiffrer je sélectionnai la quatrième page et en recopiait un passage, puis en parcourant le grimoire je recopiai des termes qui me semblaient compréhensibles.
Si Masarus parvenait à tous traduire nous avions trouvé la personne qu’il nous fallait.
Le matin nous nous mîmes donc en route pour le port où accostaient les navires étrangers, un simple coup d’oeil fut suffisant pour me dépayser, sans parler des flagrances d’épices, des bois, et de fleurs rare et des vêtements chatoyant que portaient ces individus, même leurs bateaux avaient une apparence inhabituelle. Je me fis la promesse qu’un jour, j’irai fouler ces lointaines contrées pour découvrir ce qu’elles cachent. Mais je diverge une fois de plus, revenons donc sur le quai, il ne fut pas bien long d’y débusquer Masarus , occupé comme il l’était à s’entretenir avec les capitaines de quelques navires amarrés non loin. Il eue été impoli d’interrompre sa discussion, nous nous rapprochâmes en tendant l’oreille pour voir s’il était possible de saisir quelque bribes de sa conversation, comme on dit par chez nous « le savoir c’est le pouvoir » cependant le dialecte et l’accent m’empêcha de comprendre le moindre élément de leur communication. Nous attendîmes donc qu’ils eussent finis pour envoyer Inigo l’aborder afin l’inviter à prendre un verre en notre compagnie et de discuter d’une affaire que nous étions susceptible de lui confier.
Masarus apparu fidèle aux renseignements que j’avais collectés au détail près qu’il se présenta lui-même comme « Masarus , le petit » précisant que ce qualificatif ne le chagrinait nullement.
La taverne « le faisan bleu » en elle-même était une minable gargote, mal éclairée et crasseuse, de plus le patron était un rustre dont le front était aussi bas que le plafond de son établissement. Il eue, en plus, de ne pas servir de lait de chèvre, l’affront de me proposer de l’eau chaude quand je lui demandai de me servir du thé à la place. Peut-être aurais d’ailleurs due accepter, la chaleur aurait peut-être eu un effet positif sur le ver de limon qu’il me servi alors et que je me refusai à boire, un verre de ce breuvage, et à n’en point douter mes selles se révèleraient tout aussi boueuse que lui. Mes compagnon pour leur part prirent une bière dont le gout corsé devait servir à camoufler la crasse du boc. Bref, je fis passer à Masarus le document préparé le soir, sitôt qu’il l’eu entre les mains son regard parut s’illuminer des étincelles de l’intérêt, il nous expliqua qu’il était surpris de rencontrer un langage datant d’avant le cataclysme, hypothèse qui me paraissait cohérente comme le document provenait d’un caïrn datant de cette même époque.
Il parvint sans trop de difficultés à traduire le passage, et parvint à traduire un certain nombre des termes il parvint à identifier en plus de l’elfîque ancien une sorte de dialecte troll depuis longtemps perdu. Cependant il ne put traduire tous les termes malgré une certaines ressemblance avec des termes de dialecte nain.
Cet entretient me permis de valider la compétence de Masarus dans les langues, cependant le fait qu’il ne puisse pas traduire certain passage me chagrina, ils eu été préférable de trouver quelqu’un capable de lire le texte dans son intégralité sans aide extérieure moins de gens étant au courant pour ce livre moins on risquai de nous concurrencer dans notre quête des trésors du caïrn, une autre raison pour laquelle Masarus me paraissait un meilleur choix qu’Elordya, en effet, les ménestrels ont souvent l’habitude de raconter à tous vents ce qu’ils apprennent.
Nous prîmes donc rendez-vous avec Mazarus pour le soir même dans ma chambre à l’auberge afin de lui présenter l’ouvrage et discuter des modalités du contrat. Néanmoins, je pris la décision d’essayer de faire passer le test à Elordya et si elle était capable de traduire tous les termes je mettrai de cotée mes aprioris.
Et lui demanderai de traduire le livre. Cependant faire travailler Elordya pour nous n’était absolument pas dans nos moyens je me préparais donc à une âpre négociation en jouant sur son prétendu égo, « seule une personne aussi talentueuse que vous,… », et me rendit à l’auberge des trois-fleurs, il est vrai que le moment n’était pas vraiment le plus propice, les deux semaines de festivité débutant le lendemain, l’auberge était sans-dessus dessous afin de tout organiser. Je me présentai néanmoins au portier pour demander s’il était possible de m’entretenir avec Elordya pour parler affaire. Le portier tenait malheureusement plus du batracien que d’autre chose l’intelligence en moins, ce grotesque individu m’interdit le passage lui proposant de transmettre mon message à la dame, il n’en baragouina pas moins que c’était impossible.
J’insistai un peu, mais la flaque de bave qui se répandait de l’individu me fit abandonner, autant parler à une porte.
Il me fallait de plus préparer la visite de Masarus ce soir, Je rangeai la chambre et libérai le bureau afin de pouvoir y placer le grimoire ultérieurement, une chaise judicieusement placé pour permettre à Masarus de s’asseoir devant, je plaçai le grimoire soigneusement dans un drap et le rangeait dans mon sac afin de ménager mon effet quand il se serait agi de le sortir. Tout était prêt, il ne nous restait plus qu’à attendre l’arrivée de Masarus . Nous étions dans la salle commune quand il finit par se présenter, quelle ne fut pas ma surprise en découvrant qu’il n’était pas seul, un jeune garçon l’accompagnait, voilà, qui ne me plut guère, désireux qu’il y ai le moins de personnes possible ayant connaissance de notre découverte.
Néanmoins, non sans un coup d’œil échangé avec mes compagnons nous les fîmes monter à l’étage.
C’est alors qu’il nous présenta le garçon, il était scribe et son apprenti et se nommait Tarsamus, il avait beau être poli et discret, il me paraissait toujours de trop. Masarus nous demanda alors de nous présen-ter, afin que Tarsamus puisse rédiger le compte rendu de l’entretient sous la dictée de Masarus .
Vint alors le moment de sortir le grimoire, j’y mis tout le cérémoniale possible et pris d’infinis précaution afin de mettre en exergue la valeur de ce que je tenais entre les mains. Cela eu le résultat escompté, j’avais capté l’attention de Masarus , et après avoir déposé le livre sur le bureau, je lui proposais de s’asseoir afin de jeter un coup d’œil sur l’ouvrage richement relié. La première chose qu’il traduisit fut le titre que je n’étai point parvenue moi-même à traduire : « Rapport d’activité d’un Caïrn » écrit en Skrang anciens. Je proposais alors de parcourir l’ouvrage afin de me donner son estimation de la quantité de travail, ainsi que du cout estimé de la traduction. Une lecture diagonale, lui permit de se faire et il m’indiqua qu’un des passages dépassait sa compréhension. Je lui manifestai mon désapointemment, et il me rétorqua que travailler avec lui c’était travailler avec toute la bibliothèque de Throal, et que si lui était incapable de traduire ce passage, il y aurait bien quelqu’un de la bibliothèque qui le pourrait. Un argument à double tranchant, certes il ne viendrait pas minimiser l’institution ainsi que la quantité inimaginable de connaissance que représente la bibliothèque mais de savoir d’avantage de personne impliquée commençait à m’inquiéter. Ce fut alors qu’il nous indiqua ses conditions, il était loin d’être idiot et avais bien compris que ses service étaient quelque peu hors de nos moyens, il nous proposa de s’occuper de la traduction au cours de ses soirées, en échange de quoi il nous demanda si nous avions quelques récits de nos aventures à lui fournirent, l’idée de voir mon nom apparaitre dans un récit dans la grande bibliothèque de Throal n’était pas pour me déplaire, c’était là faire un don à toute les créatures douées d’intelligence que de permettre dans plusieurs milliers d’années qu’ils soit possible de lire ma légende écrit de ma propre main.
L’idée parut également plaire à Mok qui se décida à m’imiter dans la rédaction d’un journal de voyage mais sembla laisser froid se brave Inigo, sa légende il entendait l’écrire par l’épée. Néanmoins, étant le seul à avoir commencer la rédaction du journal lors de la précédente aventure, je lui permis de copier son contenu, et il parue abassourdi par la qualité de ma prose et la pertinence des détails soulignés dans mon feuillet, considérant ce trésor inestimable pour un prix suffisant, nous validâmes les conditions de l’accord. Cependant, il refusait de travailler durant les festivités et ne commencerais sa traduction que dans deux semaines, je lui proposais donc de commencer à traduire le début du livre puis de le lui confier à la fin des festivités. Je suivis donc assez peu les fêtes d’Urupa pourtant réputé dans le monde entier, tout occupé comme je l’étai à la lecture et à la traduction du livre, mes camarades s’amusèrent pour trois.
A la fin des deux semaines je n’étais parvenue qu’à traduire les vingt-cinq premières pages du grimoire qui en comporte près de cinq-cents, résultat qui me parut quelque peu décevant. Néanmoins j’appris quelques informations utiles, le début du livre indiquait logiquement le déroulement du début de la construction du caïrn. J’appris qu’il s’agissait en fait de la réunion de plusieurs caïrns un par tribu, regroupés ensemble dans un ensemble avec une entrée principale, peut être celle la même où nous étions rentrés il discutait également du caïrn où il leur faudrait déposer les « pièces rapportées », peut être les trésors.
A la fin de ces deux semaines Masarus revint chercher le grimoire et commencer son travail de traduction, nous avions convenu un rendez-vous un mois plus tard afin de faire le point sur son avancée. Malheureusement les festivités avaient méchamment grignotées nos économies et il nous fallut travailler pour assurer nos frais de fonctionnement. Mok mis à profit sa force afin de travailler comme docker, Inigo trouva un emploie comme maitre d’arme auprès de quelques jeunes parvenues, quant à moi je choisis de joindre l’utile à l’agréable en travaillant comme copiste et traducteur pour la bibliothèque d’Urupa ce travaille me permettant en plus de gagner quelques sous d’avoir accès à cette masse de connaissances.
La qualité de mon travaille fut rapidement reconnue et l’on ne me confia plus que les ouvrages les plus complexes. J’en profitai pour me renseigner sur la région des monts et force me fus de constater que l’on en savait bien peu, pas de cartes de la région, et quelques rares Caïrns seulement qui c’étaient ouvert.
Finalement, le jour du rendez-vous arriva et seul Tarsaöus se présenta porteur de cinq malheureuse pages, me laissant à une profonde déception et n’ajoutant guère d’éléments supplémentaires susceptible de nous servir. Désapointés nous décidâmes de discuter avec Masarus qui nous expliqua qu’on ne pouvait attendre mieux de lui, qu’il avait eu des travaux plus urgent et que si nous souhaitions avoir la priorité il nous faudrait payer, Inigo pris sur lui de payer pour un mois d’exclusivité lui expliquant que nous attendions de meilleurs résultat le mois prochain, et tel fus le cas il traduisit une vingtaine de pages supplémentaires lesquels recelaient quelques informations sur la structure des caïrns et l’élaborations des pièges de type trappes.
Nous fumes alors confrontés à un choix fallait-il partir dès à présent, maintenant que la route devait être praticable, ou prendre un moi supplémentaire afin de recueillir de nouveaux renseignements. Nous nous décidâmes finalement, après une âpre discussion, Mok étant partisant du départ, la ville semblant le lasser, à attendre un mois de plus en payant une petite commission à Masarus pour l’encourager à travailler sur notre texte. Je mis ce temps à profit afin de préparer au mieux notre périple, je pris notamment sur moi, le soin de dresser notre itinéraire, de manière à attaquer les montagnes le plus reposé et avec le plus de vivre possible. Le jour du départ finit par arriver, Masarus se présenta à nous avec une dizaine de feuillets qui parlaient de deux des tribus du Caïrn la tribu des aigles, et la tribu du solstice qui possédaient chacune leur entrée. Nous finîmes par dépenser une bonne partie du reliquat de nos économies à Inigo et moi-même afin de payer deux mois de traduction à mi-temps par Masarus . C’est ragaillardi par cet hiver profitable à Urupa que reprîmes la route. Comme à l’aller le trajet, nous fit passer par des paysages aussi splendides que sauvage. Je chassais quand il était possible afin d’économiser nos vivres et d’améliorer notre quotidien, ayant bien étudié la région je menai mes compagnons sans encombres jusqu’au village de Petite Colline qui se situant à mi parcourt nous permit de refaire le plein de vivres.
Les villageois d’abord méfiant nous demandèrent de prouver notre identité en faisant la démonstration de notre art, Inigo commença par nous faire le spectacle de quelques gracieux pas de danse, Mok quant à lui requit une enclume et travailla un fer à cheval finement ouvragé, Inigo lui fit alors la remarque que graver des runes demandait moins de matériel. Finalement mon tour arriva et j’exécutai devant leurs yeux ébahis un superbe napperon en point empiétant, qui permet de donner du relief à l’ouvrage. Après avoir admiré nos superbes œuvres, ils nous permirent d’entrées dans le village. Comme hôte de marque nous fûmes conviés à partager le repas avec le village, au cours de ce diner Mok étant parvenu à guider la conversation dans la bonne direction, l’ancien du village nous apprit qu’ils étaient des descendants d’un des rares caïrns qui s’étaient ouverts dans les montagnes avoisinantes et qu’il existait une légende qui parlait de huit tribus qui auraient mises en commun savoir et richesse avant le cataclysme mais dont on avait jamais trouvé traces par la suite, peut-être s’agissait-il de nos propres tribus, en tout cas l’histoire y ressemblait, je tentais de pousser nos interlocuteurs à nous fournir plus de détails mais c’étaient là, les seuls éléments dont il se souvenait. Nous repartîmes donc à l’aube, les sacs chargés de provisions, enfin surtout ceux de mes camarades, laissant derrière nous ce sympathique village et ses habitants hospitaliers.
La route se passa sans contretemps, jusqu'à ce que nous ayons atteint les monts. Là je fis la démonstration de mes talents d’éclaireur afin de retrouver le chemin qui nous mènerait au pic, où nous avions trouvé le caïrn lors de notre précédente expédition. Alors que nous parcourions une sente, nous vîmes se rapprocher trois puissants fauves de la même espèce que ceux avions déjà affrontés. Mok ce jeta prestement sur l’un d’eux, pendant que moi-même et Inigo entreprirent de combattre avec les autres, l’animal fluide et véloce parvint à m’atteindre d’un coup de griffes à la hanche. Là, une nouvelle fois, la colère prit le dessus sur moi et la terre se gorgea du sang de la demi-carcasse qui me tenait tantôt lieu d’adversaire, Mok se débarrassa tout aussi prestement de son vis-à-vis, il ne restait plus qu’à Inigo à se défaire de son encombrant camarade. Nous pensions lui venir en aide, quand trois nouveaux félins tentèrent de nous prendre en tenaille, j’en récoltai deux contre moi et un s’en fut affronter Mok, sans doute le sang répandu devant nous, nous donnait l’aire de rivaux potentielles. La douleur ayant remonté mon adrénaline je parvins élégament à esquiver mes deux adversaires, Mok comme à son habitude prit le fauve de vitesse et lui trancha le flanc, la bête s’écroula à ses pieds, décidemment la puissance de mes pouvoir parvenait moi-même à me surprendre car il ne me resta plus qu’à affronter un animal recouvert par la cervelle de feu son compagnon, Mok me débarrassa de ce dernier, et alors que je m’apprêtai à finalement porter assistance à Inigo ce dernier terrassa l’animal. A quelques pas nous parvenais déjà les feulements puissants de nouveaux importuns quand nous les vîmes émerger, ils étaient six cette fois-ci et dans le lointains on pouvait déjà entendre qu’ils seraient bientôt rejoints par une cohorte de leurs semblables. Nous prîmes alors la décision de les contourner par le coté droit, j’espérais que les animaux aurait l’intelligence de privilégier la nourriture facile qu’étaient devenus leur compagnons plutôt que de venir chercher leurs morts à nos pieds. Il ne me plaisait guère de continuer à massacrer ses splendide lion des montagnes, alors, que leurs morts ne nous rapporteraient rien. Je parvins à guider mes compagnons sur leurs flancs et comme attendues, les lions se montrèrent plus friands de viande que de combats. J’ai continué à mener mes camarades jusqu’au pic que nous recherchions en prenant soin d’éviter les rencontres fortuites avec de nouveaux félins. Arrivé en haut du col nous eûmes alors une vue dégagée sur le pic, mais le spectacle qui se déroulait devant nous n’avait rien de sain, le pic était complètement blanc couvert du pied au sommet par une épaisse couche neigeuse, au-dessus tournait comme une maelstrom des nuages aussi sombre qu’une nuit sans lune qui déversait leurs flot continu de flocons, même sans regarder dans le plan astrale cela ne pouvait en aucun cas être d’origine naturelle, j’y jetai néanmoins un coup d’œil afin de m’en assurer, ce que je vis alors manqua de me faire défaillir, dans les profondeurs les plus reculés de la montagne un passage vers l’astrale s’ouvrait, la sensation était très ténue à cause de la distance qui me séparait de la sources. Cependant la noirceur et les miasmes qui en provenait avait une odeur tellement fétide qu’elle me révulsait, force me fus de détourner mon regard et de le tourner vers Mok et Inigo, afin de les avertir que nous faisions routes vers des ténèbres insoupçonnées et vers un astrale chaotique.
C’est sur ces derniers fait que nous montâmes le camp duquel j’écris ces quelques lignes dans mon journal, puisse-t-il s’enrichir de nombreuses autres.
kant- Date d'inscription : 11/11/2011
Age : 38
suite
Journal de Voyage de Karthar devalar
Je profite d’un instant de répit pour coucher sur le papier mes réflexions sur les derniers événements venant de s’abattre sur notre équipée.
Je reprendrais donc, où nous nous en étions arrêtés. Nous venions alors d’arriver au pied de la montagne enneigé par une magie astrale pestilentielle, et venions de nous arrêter pour la nuit afin d’être frais et dispos pour nous lancer dans l’ascension du mont.
Au matin donc nous nous mimes en route, le cœur vaillant, motivé par la promesse de la découverte d’insondable connaissances pour certains, de richesses pour d’autres.
L’ascension s’avéra délicate, bien que je parvins a retrouver le sentier grâce à mes talents d’éclaireur, le froid était mordant, et je ne pus plus avancer Mok sans doute mieux conçu pour résister au froid que moi, me pris gentiment sous son bras et me transporta de cette manière bien emmitouflé dans une couverture de laine chaude, après un peu de repos je pus reprendre la route sur mes deux pieds, il ne fallait pas abuser de la gentillesse de mon ami Mok.
Mais le froid était par trop omniprésent, et il apparut clair que nous ne ferions pas long feu si nous nous entêtions gravir cette montagne, une pause s’imposait, mais il nous fallait d’abord nous trouver un abri sur et chaud, je trouvai sans grand difficultés une grotte susceptible de nous abriter du blizzard qui faisait rage à présent.
Pour notre malheur et le leurs plus tard, nous, découvrîmes bien vite que la grotte possédait des occupants, dans un amas informe de branchage et de feuille émergeaient les faces imberbes de petits animaux s’apparentant à des bébés d’un animal ressemblant à un blaireau.
L’idée de m’en prendre à ces animaux sans défense n’avait rien pour me séduire je proposais donc à mes camarades de les laisser en paix. Nous nous mîmes donc dans un coin de la caverne afin de ne pas gêner le retour éventuel des parents, bizarrement malgré le feu que nous avions mis en place la température ne montait guère, et nous grelotions en réfléchissant à si nous devions continuer ou renoncer à l’ascension.
Soudainement les parents finirent pas revenir, Le couple d’animal adulte qui se dirigeais vers nous ressemblait effectivement à un blaireau mais de taille plus conséquentes et avec une fourrure brillantes, je découvrirai plus tard qu’il s’agissait de blaireaux des glaces.
Vraisemblablement inquiet pour leur petits, il se placèrent entre nous et eux , en émettant des petits cris strident, nous nous mimes donc en position défensives prêt à recevoir leur assaut, qui ne vint pas mais nous fûmes assaillit par une vague de froid, le déclic vint à moi ces créature possédait la magie du froid et c’était eux qui nous avait empêcher de nous réchauffer dans cette grotte, alors que le blizzard tourbillonnait à l’extérieur de la caverne, il ne nous restait plus qu’un choix, vaincre ou périr. C’est à ce moment qu’Inigo nous abandonna Mok et moi à l’intérieur de la caverne pour rejoindre le maelstrom à l’exterieur.C’était à présent du deux contre deux dans cette guerre pour notre survie, nous parvînmes Mok et moi à terrasser notre adversaire, à peu près en même, cependant le froid m’avais grandement affaiblis et perdit conscience à cause de l’assaut des petits pleurant la pertes de leurs parents, ce qu’il advint par la suite je l’ignore, je repris connaissance à l’entrée de la grotte, les flocons fondant lentement sur mon visage.
Je suis définitivement faible face à la colère, car elle prit le contrôle de moi et me poussa à incendier le nid brulant vifs les bébés, avec le recul je me console en me disant qu’il n’aurait de toute manière pas survécus longtemps sans leurs parents, et me forçais à manger leur chair malgré le remord.
Nous avions un abri, un feu et de la viande pour le souper, malheureusement nous nous demandions toujours si nous devions continuer ou si il nous faudrait rebrousser chemin.
Au matin, je pris l’air afin d’examiner la situation, la tempête ne mollissait pas, au contraire elle semblait s’intensifier. J’allais rentrer quand je perçu parmi le sifflement du blizzard un bruit étrange comme une tornade balayant la neige devant son passage, une vision dans l’astrale me permit de reconnaitre un élémentaire de glace, qui suivait un chemin qui le rapprochais de notre abri, il nous fallait partir dans l’instant si nous voulions échapper au colosse.
Je parvins à nous ramener sain et sauf au campement de départ malgré le blizzard qui soufflait tout autour de nous et découragea Inigo.
Ne voulant pas abandonner notre quête, si près du but, je me souvins du passage concernant une autre entrée dans le cairn, après une analyse circonspecte de notre position, je parvins à déterminer le chemin qui permettrait à notre équipé de la trouver en contournant la montagne enneigée, ce détour fut également l’occasion de refaire le plein de provision grâce à ma chasse. Le trajet pour atteindre l’entrée nous prit trois jours, au cours desquelles, un soir alors que nous nous étions abrité dans une grotte et que c’était à mon tour de monter la garde, un bruit finis par alerter mon attention, un loup tentait de s’en prendre à Mimi notre mule ainsi nommé par Mok et c’est ces cris qui résonnaient dans la grotte. Le loup une splendide bêtes aussi haute qu’en poney était sur le point d’égorger notre mule quand je lui infligeais une douleur cuisante et le mis en fuite d’un mouvement de l’index. J’en profitais pour réveiller mes compagnons quand surgit deux autres de ces molosse, le premier n’ayant été que l’éclaireur, ayant compris la menace que je représentais, ils se mirent à deux sur moi, je les contins jusqu’à ce que Mok en terrasse un et que je mis en fuite le second. Le lendemain matin nous eûmes le plaisirs de manger du loup vant de nous remettre en route.
Je finis par découvrir l’entrée du cairn, une vision dans l’astral m’avertit d’un piège magique marquer par un filin de sort que je parvins à dissiper.
Alors que j’allais m’intéresser aux pièges physiques, Mok décida de déclencher un crachat de flamme depuis une gueule de dragon sculpté au-dessus de l’entrée, du bien bel ouvrage.
Pour la suite on préférait que je passe devant suivant le couloir je désamorçai, déclenchai quelque pièges, il est en effet intéressant de tester les pièges surtout quand ceci ne représente guère de risque pour le groupe, je pris des notes sur les différends mécanismes et poursuivis ma route.
Finalement nous rivâmes devant un porte superbement ouvragé comme-ci il y avait un cairn dans le cairn, encore un autre mystère.
Une vision dans l’astrale m’apprit qu’elle était piégée magiquement mais je ne pus le dissiper.
En m’approchant afin de tenter d’ouvrir la porte, je déclenchait le réveil d’élémentaire de miroir qui surgirent dans un craquement sourd, il en sortit cinq, et si Mok comme à son habitude parvenait assez bien à se débarrasser de ses vis avis, le combat s’avéra un peu plus délicat pour Inigo et moi néanmoins, profitant de la lenteurs des créatures nous finîmes par les terrasser.
Alors que nous sommes en train de souffler, je m’interroge sur les moyens à notre disposition afin d’ouvrir cette porte par ailleurs toujours piégées…
Je profite d’un instant de répit pour coucher sur le papier mes réflexions sur les derniers événements venant de s’abattre sur notre équipée.
Je reprendrais donc, où nous nous en étions arrêtés. Nous venions alors d’arriver au pied de la montagne enneigé par une magie astrale pestilentielle, et venions de nous arrêter pour la nuit afin d’être frais et dispos pour nous lancer dans l’ascension du mont.
Au matin donc nous nous mimes en route, le cœur vaillant, motivé par la promesse de la découverte d’insondable connaissances pour certains, de richesses pour d’autres.
L’ascension s’avéra délicate, bien que je parvins a retrouver le sentier grâce à mes talents d’éclaireur, le froid était mordant, et je ne pus plus avancer Mok sans doute mieux conçu pour résister au froid que moi, me pris gentiment sous son bras et me transporta de cette manière bien emmitouflé dans une couverture de laine chaude, après un peu de repos je pus reprendre la route sur mes deux pieds, il ne fallait pas abuser de la gentillesse de mon ami Mok.
Mais le froid était par trop omniprésent, et il apparut clair que nous ne ferions pas long feu si nous nous entêtions gravir cette montagne, une pause s’imposait, mais il nous fallait d’abord nous trouver un abri sur et chaud, je trouvai sans grand difficultés une grotte susceptible de nous abriter du blizzard qui faisait rage à présent.
Pour notre malheur et le leurs plus tard, nous, découvrîmes bien vite que la grotte possédait des occupants, dans un amas informe de branchage et de feuille émergeaient les faces imberbes de petits animaux s’apparentant à des bébés d’un animal ressemblant à un blaireau.
L’idée de m’en prendre à ces animaux sans défense n’avait rien pour me séduire je proposais donc à mes camarades de les laisser en paix. Nous nous mîmes donc dans un coin de la caverne afin de ne pas gêner le retour éventuel des parents, bizarrement malgré le feu que nous avions mis en place la température ne montait guère, et nous grelotions en réfléchissant à si nous devions continuer ou renoncer à l’ascension.
Soudainement les parents finirent pas revenir, Le couple d’animal adulte qui se dirigeais vers nous ressemblait effectivement à un blaireau mais de taille plus conséquentes et avec une fourrure brillantes, je découvrirai plus tard qu’il s’agissait de blaireaux des glaces.
Vraisemblablement inquiet pour leur petits, il se placèrent entre nous et eux , en émettant des petits cris strident, nous nous mimes donc en position défensives prêt à recevoir leur assaut, qui ne vint pas mais nous fûmes assaillit par une vague de froid, le déclic vint à moi ces créature possédait la magie du froid et c’était eux qui nous avait empêcher de nous réchauffer dans cette grotte, alors que le blizzard tourbillonnait à l’extérieur de la caverne, il ne nous restait plus qu’un choix, vaincre ou périr. C’est à ce moment qu’Inigo nous abandonna Mok et moi à l’intérieur de la caverne pour rejoindre le maelstrom à l’exterieur.C’était à présent du deux contre deux dans cette guerre pour notre survie, nous parvînmes Mok et moi à terrasser notre adversaire, à peu près en même, cependant le froid m’avais grandement affaiblis et perdit conscience à cause de l’assaut des petits pleurant la pertes de leurs parents, ce qu’il advint par la suite je l’ignore, je repris connaissance à l’entrée de la grotte, les flocons fondant lentement sur mon visage.
Je suis définitivement faible face à la colère, car elle prit le contrôle de moi et me poussa à incendier le nid brulant vifs les bébés, avec le recul je me console en me disant qu’il n’aurait de toute manière pas survécus longtemps sans leurs parents, et me forçais à manger leur chair malgré le remord.
Nous avions un abri, un feu et de la viande pour le souper, malheureusement nous nous demandions toujours si nous devions continuer ou si il nous faudrait rebrousser chemin.
Au matin, je pris l’air afin d’examiner la situation, la tempête ne mollissait pas, au contraire elle semblait s’intensifier. J’allais rentrer quand je perçu parmi le sifflement du blizzard un bruit étrange comme une tornade balayant la neige devant son passage, une vision dans l’astrale me permit de reconnaitre un élémentaire de glace, qui suivait un chemin qui le rapprochais de notre abri, il nous fallait partir dans l’instant si nous voulions échapper au colosse.
Je parvins à nous ramener sain et sauf au campement de départ malgré le blizzard qui soufflait tout autour de nous et découragea Inigo.
Ne voulant pas abandonner notre quête, si près du but, je me souvins du passage concernant une autre entrée dans le cairn, après une analyse circonspecte de notre position, je parvins à déterminer le chemin qui permettrait à notre équipé de la trouver en contournant la montagne enneigée, ce détour fut également l’occasion de refaire le plein de provision grâce à ma chasse. Le trajet pour atteindre l’entrée nous prit trois jours, au cours desquelles, un soir alors que nous nous étions abrité dans une grotte et que c’était à mon tour de monter la garde, un bruit finis par alerter mon attention, un loup tentait de s’en prendre à Mimi notre mule ainsi nommé par Mok et c’est ces cris qui résonnaient dans la grotte. Le loup une splendide bêtes aussi haute qu’en poney était sur le point d’égorger notre mule quand je lui infligeais une douleur cuisante et le mis en fuite d’un mouvement de l’index. J’en profitais pour réveiller mes compagnons quand surgit deux autres de ces molosse, le premier n’ayant été que l’éclaireur, ayant compris la menace que je représentais, ils se mirent à deux sur moi, je les contins jusqu’à ce que Mok en terrasse un et que je mis en fuite le second. Le lendemain matin nous eûmes le plaisirs de manger du loup vant de nous remettre en route.
Je finis par découvrir l’entrée du cairn, une vision dans l’astral m’avertit d’un piège magique marquer par un filin de sort que je parvins à dissiper.
Alors que j’allais m’intéresser aux pièges physiques, Mok décida de déclencher un crachat de flamme depuis une gueule de dragon sculpté au-dessus de l’entrée, du bien bel ouvrage.
Pour la suite on préférait que je passe devant suivant le couloir je désamorçai, déclenchai quelque pièges, il est en effet intéressant de tester les pièges surtout quand ceci ne représente guère de risque pour le groupe, je pris des notes sur les différends mécanismes et poursuivis ma route.
Finalement nous rivâmes devant un porte superbement ouvragé comme-ci il y avait un cairn dans le cairn, encore un autre mystère.
Une vision dans l’astrale m’apprit qu’elle était piégée magiquement mais je ne pus le dissiper.
En m’approchant afin de tenter d’ouvrir la porte, je déclenchait le réveil d’élémentaire de miroir qui surgirent dans un craquement sourd, il en sortit cinq, et si Mok comme à son habitude parvenait assez bien à se débarrasser de ses vis avis, le combat s’avéra un peu plus délicat pour Inigo et moi néanmoins, profitant de la lenteurs des créatures nous finîmes par les terrasser.
Alors que nous sommes en train de souffler, je m’interroge sur les moyens à notre disposition afin d’ouvrir cette porte par ailleurs toujours piégées…
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kant- Date d'inscription : 11/11/2011
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Re: Earthdawn le lundi soir histoires diverses
Karthar, malgré le froid se creuse les méninges pour trouver comment passer cette maudite porte... il a l'air pressé d'entrer! Soudain, un grand éboulement se produit. Alors que la la poussière se dissipe, la porte qui nous bloquait le passage est à terre, et, surprise, un nain!
Il est là devant nous, gisant sur son séant, l'air ébêté. Il est vraiment petit et je dois bien faire attention à ne pas l'écraser. Raglafart qu'il se nomme. Ce fabuleux explorateur à perdu ses compagnons et a cuter sur nous.
Derrière la porte nouvellement brisée, se découvre à nous un long couloir pavé. Le nain et l'elfe sont d'accords pour dire que ce passage n'a pas été utilisé depuis longtemps.
Le couloir donne sur plusieurs autres couloirs. Karthar tente d'en percer le secret afin de nous indiquer le bon chemin. Nous avons l'impression d'être observé. Nous prenons le couloir de droite, même architecture pavée mais paré de pièges de que nous esquivons et arrivons dans une pièce avec un escalier descendant et un monte charge qui n'a plus l'air très solide.
Une fois en bas, Nous nous retrouvons face à deux nouveaux tunnels. Karthar en bon mage professionnel, a moins que ce soit la frousse, déclare choisir celui où il ressent moins de magie et se met en quête de recherche les pièges qui pourraient nous embusquer sur le chemin. Dans son grand professionnalisme il en active un et une douche de flammes tombe sur Inigo qui n'en demandait pas tant. Karthar jure qu'il saura reconnaitre ce type de piège à l'avenir et .. Clic! Une grille nous isole de Karthar et un gaz commence à nous étouffer. De toute ma force je ressuis a remonter cette grille et nous nous échappons.
Clic a nouveau! Mais Karthar joue a la marelle sur les dalles de pression ou quoi? Un torrent d'eau gelé refroidit les ardeur de l'humain et du nain. Excédé et meurtri, Inigo décide de rester a cette endroit et de ne plus bouger. Moi je me dois quand même de protéger les deux frêles érudits qui continuent à avancer. Re-Clic! je n'en peux plus, ce Karthar n'est vraiment pas bon en désarmorçage, et alors que je j'allais le prendre par le col pour lui expliquer mon point de vue, une lumière verte souffle les torche et nous happe.
Raglafart rallume sa torche, nous sommes dans une pièce tout autre. Au loin une lumière brille, discrètement je vais voir et découvre une nouvelle salle avec 12 stèles de cristal en cercle contenant chacune une forme humanoïde en son sein. J'en parle à Karthar et celui me confirme que cela doit être dangereux mais n'écoutant que son courage, sa curiosité ou sa cupidité il s'avance quand même pour voir de plus près. Nous entrons dans la salle et nous nous entretenons avec les formes piégés dans ces cristaux. Il semblerait que ce soir des genre de sarcophages de protection et un nain, un sylphelin, un orc nous demande de les libérer. mais nous comprenons qu'une force plus grande les possède et nous resistons a leur demande malgré la promesse d'un trésor. Alors que nous sortos de la salle, rejoins par Inigo, Le nain dans le cristal se met a crier : Maitre maitre, ils s'échappent ... Le fourbe! et nous voila confronter a un premier zombi! Je bataille ferme et le tue sur le champs mais bien d'autres arrivent!
Plus nous en faisons tomber plus nombreux ils sont et nous devons reculer tout en contenant la vague de non-morts. Nous reculons toujours plus et nous retrouvons dans l'antichambre du kaer ou nous étions au début, la porte s'écroule condamnant l'accès. Alors que nous soufflons un rire machiavélique se moque de notre sort! Et nous devons retourner vers Urupa, les poches vides et la faim au ventre
Il est là devant nous, gisant sur son séant, l'air ébêté. Il est vraiment petit et je dois bien faire attention à ne pas l'écraser. Raglafart qu'il se nomme. Ce fabuleux explorateur à perdu ses compagnons et a cuter sur nous.
Derrière la porte nouvellement brisée, se découvre à nous un long couloir pavé. Le nain et l'elfe sont d'accords pour dire que ce passage n'a pas été utilisé depuis longtemps.
Le couloir donne sur plusieurs autres couloirs. Karthar tente d'en percer le secret afin de nous indiquer le bon chemin. Nous avons l'impression d'être observé. Nous prenons le couloir de droite, même architecture pavée mais paré de pièges de que nous esquivons et arrivons dans une pièce avec un escalier descendant et un monte charge qui n'a plus l'air très solide.
Une fois en bas, Nous nous retrouvons face à deux nouveaux tunnels. Karthar en bon mage professionnel, a moins que ce soit la frousse, déclare choisir celui où il ressent moins de magie et se met en quête de recherche les pièges qui pourraient nous embusquer sur le chemin. Dans son grand professionnalisme il en active un et une douche de flammes tombe sur Inigo qui n'en demandait pas tant. Karthar jure qu'il saura reconnaitre ce type de piège à l'avenir et .. Clic! Une grille nous isole de Karthar et un gaz commence à nous étouffer. De toute ma force je ressuis a remonter cette grille et nous nous échappons.
Clic a nouveau! Mais Karthar joue a la marelle sur les dalles de pression ou quoi? Un torrent d'eau gelé refroidit les ardeur de l'humain et du nain. Excédé et meurtri, Inigo décide de rester a cette endroit et de ne plus bouger. Moi je me dois quand même de protéger les deux frêles érudits qui continuent à avancer. Re-Clic! je n'en peux plus, ce Karthar n'est vraiment pas bon en désarmorçage, et alors que je j'allais le prendre par le col pour lui expliquer mon point de vue, une lumière verte souffle les torche et nous happe.
Raglafart rallume sa torche, nous sommes dans une pièce tout autre. Au loin une lumière brille, discrètement je vais voir et découvre une nouvelle salle avec 12 stèles de cristal en cercle contenant chacune une forme humanoïde en son sein. J'en parle à Karthar et celui me confirme que cela doit être dangereux mais n'écoutant que son courage, sa curiosité ou sa cupidité il s'avance quand même pour voir de plus près. Nous entrons dans la salle et nous nous entretenons avec les formes piégés dans ces cristaux. Il semblerait que ce soir des genre de sarcophages de protection et un nain, un sylphelin, un orc nous demande de les libérer. mais nous comprenons qu'une force plus grande les possède et nous resistons a leur demande malgré la promesse d'un trésor. Alors que nous sortos de la salle, rejoins par Inigo, Le nain dans le cristal se met a crier : Maitre maitre, ils s'échappent ... Le fourbe! et nous voila confronter a un premier zombi! Je bataille ferme et le tue sur le champs mais bien d'autres arrivent!
Plus nous en faisons tomber plus nombreux ils sont et nous devons reculer tout en contenant la vague de non-morts. Nous reculons toujours plus et nous retrouvons dans l'antichambre du kaer ou nous étions au début, la porte s'écroule condamnant l'accès. Alors que nous soufflons un rire machiavélique se moque de notre sort! Et nous devons retourner vers Urupa, les poches vides et la faim au ventre
Re: Earthdawn le lundi soir histoires diverses
Journal de Voyage de Karthar devalar
Nous étions toujours en extase devant cette porte magnifiquement ouvragées et piégée.
Quand le bruit d’un grondement sourd se fit entendre, tout obnubilé par mon admiration, je ne pris pas la peine d’esquiver un nain, ainsi que les deux pans de la porte qui m’évitèrent par miracle sans doutes les voix divines avaient elles décidés que mon destin n’était pas de périr écrasé dans ce lieux.
C’est donc dans un nuage de poussière que nous fîmes la découverte de Raglafart un nain chercheur, à l’esprit et la langue avisé, qui avait en plus le bon gout de parler la noble langue elfîque.
Après les présentations d’usage nous apprîmes mes compagnons et moi-même qu’il était venu dans ces lieux avec des compagnons, afin d’enquêter sur le mystérieux enneigement, il par malheur ensuite, s’était séparé de son groupe dans le blizzard et un séisme avait ouvert un faille sous ses pied qui l’avait mené à nous.
Qui étais-je pour refuser cette envoyé du destin qui de plus semblait un peu plus cultivé que mes par ailleurs sympathique camarades.
Par son arrivé fracassantes notre camarade nain avait également apporté une solution à notre problème en ouvrant la porte, je ne pus que regretter la destruction de cette magnifique porte, et le fait que le pièges n’ayant pas été déclenché ,je n’ai point pu observer son mécanisme à l’œuvre, en effet c’est dans le déclenchement du pièges qu’on est le plus à même de réaliser les sentiments et l’intelligence de la personnes qui la mise en place.
Déclencher un piège permet une empathie et une compréhension encore plus poussé que le simple fait de le désamorcer, quelque part le fait de pouvoir désamorcer un piège signifie que ces sentiments n’étaient pas assez forts.
Mais je m’égare une fois de plus, revenons-en donc à la suite,
En passant la porte nous débouchâmes sur un couloir en pierre pavé qui d’après nos observations n’avaient pas été utilisée depuis fort longtemps, un endroit inviolé depuis avant le cataclysme.
Comme à mon habitude, j’ouvrais la route afin d’être le premier à profiter des richesses qui s’offrait à moi, nous arrivâmes alors à une intersection, j’eu alors le plaisir pour une fois de discuter en elfîque de la direction à prendre avec notre nouvelle ami, Inigo et Mok semble n’apprécier guère nos « messe basse » mais il faut savoir que la langue elfîque permet de faire passer une richesse sémantique en particulier lors de la description d’un environnement.
Nous finîmes par décider de suivre le chemin de droite en effet quelque chose d’étrange semble en émaner, et au risque de me répéter j’aime le mystère. Le couloir que nous suivons, est toujours constitué du même dallage ancien, ce couloir est également bardé de pièges mais leurs manques d’originalités ainsi que mon expérience me permirent de les désamorcer, c’est donc sur ces déceptions que nous finîmes par arriver à une salle ou le choix nous fut laisser, descendre les escaliers ou utilisés ce qui s’apparentait à un monte-charge. Après une étude poussé du mécanisme, il apparut évident que cette appareil était cassé et ne redémarrerai pas de plus, nous camarades Mok, n’aurais jamais pu nous suivre dessus, et il ne me plaisait guère d’abandonner un compagnon seul, c’est fort logiquement que après sa propre analyse Raglafart se rangea à mon point de vue, décidément nous étions fait pour nous entendre.
Nous primes donc l’escalier, afin de descendre, j’indiquai à mes camarades d’enjamber les deux premières marches qui étaient piégés, un peu trop classique.
Nous arrivâmes en bas sans guère de difficultés, et débouchâmes sur une nouvelles intersection, je détectais une puanteur diffuse provenant de ce lieu, je m’interrogeais alors sur l Astrale et ouvris ma vision, Une étrange sensation s’empara alors de moi, il y avait quelque chose de malsain, de sombre et de maléfique en ces lieux, cette aura ce faisant plus présente, à droite, j’invitais mes compagnons à suivre le chemin de gauche.
Au bout, de quelques mètres, j remarquais un piège, quelque chose d’étrange, il semblait bien plus récents que le reste du couloir, et représentait une tête finement ouvragée, superbe, une vision dans l’astrale m’apprit qu’il s’agissait vraisemblablement d’un piège magique de type élémentaire et un tissage en partait pour s’enfoncer dans le sol.
Enfin, un défi à ma hauteur, je m’approchais afin de tenter de le désamorcer, mis malheureusement alors que je touchais au but, je finis par l’activer, il fut lors temps pour moi d’admirer le déclenchement du pièges qui se traduisit par un grandiose jet de flammes sortit de la bouche de la gargouille, nous l’évitèrent tous prestement, enfin tous sauf Inigo qui me permit de découvrir quel était exactement la puissance de ce jet, je fus pas contre surpris par Mok, qui pourrais croire que les obsidiens pouvaient se montrer si agile. Mais bon pas le temps de tergiverser. Une vision d’en l’Astrale m’apprit que la personne ou la chose qui avait posé ce piège nous avait détecté par le lien magique. J’avertis mes compagnons, il n’est en effet pas correct de rentrer chez quelqu’un sans s’être annoncé.
Le piège suivant s’avéra encore plus subtil et raffiné, au point que je ne pus détecter sa présence avant de l’avoir déclenché .Alors une grille ouvragé s’abattis du plafond, j’eus alors juste le temps d'esquiver et me trouvais séparé de mes compagnons, en les observant j’eu l’impression qu’ils éprouvaient de difficultés à respirer. Je me mis donc à analyser ce piège et découvris bun mécanisme, pendant ce temps Mok tentais de soulever la grille, j’activais le levier et la grille remonta tranquillement, Mok étais visiblement très fier de lui et je ne plus me résoudre à lui dire que j’étais celui qui avait permis de libérer la situation, toute vérité n’est pas toujours bonne à dire, je m’interrogeais néanmoins sur la présence de ce levier mais cela devrait attendre, il nous fallait continuer, le groupe s’interrogea sur la nécessité de continuer, je leur répondit que d’après il fallait continuer que si le couloir était si bien piégée c’est sans doute qu’il contenait des choses de valeurs, on ne pose pas des pièges si sophistiqués pour garder des pommes.
C’est donc sur nos gardes que nous continuâmes notre chemin dans le corridor.
Cependant même ma vigilance ne me permit pas de détecter le pièges, décidément la personne qui avait mis en place ses pièges était un véritable génie un virtuose dans son art. Je dois reconnaitre que j’étais impressionné, ami ou ennemi ce n’était pas quelqu’un à prendre à la légère.
Mais revenons-en au piège en lui-même, une trappe s’ouvris du plafond qui d’déversa un torrent d’eau, une nouvelle fois Moi et cette acrobate d’obsidiens parvinrent à esquivé mais Inigo et Raglafart, se retrouvèrent trempés, cependant le pièges le faisait que commencer et l’eau commença à geler sur eux.
C’est transi de froid qu’ils reprirent la route, même si Inigo décida de rester en retrait afin de ne pas se faire prendre dans un nouveau piège.
Je commençais moi-même à ressentir les effets de la fatigue provoqué par la succession de ses pièges et par ma vigilance constante.
C’est dans cet état que déclenchait un nouveau piège, encore une fois superbe, Mok se rapprocha alors de moi, sans doute avait-il perçu que le pièges ne faisait que commencer et cherchait il à me protéger quand un flash de lumière verte, souffla nos torches, et que nous chutâmes, tout du moins ce fut l’impression que cela me fis mais en fait il était plus correcte de parler d’un sort de transport.
Raglafart alluma prestement une torche et nous pûmes alors examiner notre situation.
Nous étions au milieu d’une grande salle Mok, Raglafart et moi-même, nulle trace d’Inigo Il vait sans doute éviter d’être pris dans ce piège-ci. A une des extrémité de la salle un couloir brillait d’une lueur verte qui n’était pas sans rappeler celle du piège tantôt, j’étais toujours en-train d’examiner la situation quand Mok revint me faire son rapport, il venait de jeter un coup d’œil discret dans la pièce d’où émanait la lumière, elle contenait 12 cristaux poser sur de grands socles disposer en cercle et il lui avait sembler reconnaitre des formes humanoïdes mais il ne s’était pas approcher suffisamment pour pouvoir le déterminer de manière sure.
Je le félicitais de cette décision, en effet pas besoin de sortir de l’académie de magie pour se rendre compte qu’il s’agissait d’un piège. Cependant cette description éveillait ma curiosité, il fallait que j’aille observer de plus près cette chose. Je me rendis donc sur place, une vision dans l’astrale m’apprit que les 12 cristaux était tous reliés à quelque chose en dessous de cette salle par des liens magiques et découvrir également que ces cristaux recélait une forme de magie conservative, rare et puissante.
En M’approchant, je reconnus la figure d’un sylphelin dans le cristal, un peu comme ces insectes que l’on trouve parfois prisonnier de morceaux d’ambres.
Je me posais pour commencer à faire un croquis de l’appareillage complexe qui se tenait devant moi, quand le sylphelin se tourna dans ma direction ce qui me permit de parfaire mon croquis.
Je venais de finir quand un bruit sourd attira mon attention cela provenait de la salle ou j’avais laissé mes amis, il avait peut-être besoin de mon aide. Je me précipitais pour découvrir Inigo que Mok aidait à se relever, il avait finalement décidé de partir à notre recherche après nous avoir vus disparaitre.
J’entretins mes compagnons de ma découverte et leur proposais de partir de l’autre côté pour éviter le piège, seulement le corridor menait en fait à la bifurcation précédente. Si nous voulions avancer il nous fallait traverser la salle piégée.
C’est donc prudemment que nous nous approchâmes, se faisant les créatures prisonnières des cristaux se tournèrent vers nous. Ce qui nous surpris fut quand l’une d’entre-elles, un nain commença à s’adresser à nous, ils sont donc capable de parler. En y regardant de plus prêt il y a là des représentant des 7 races, vêtues d’habits anciens, ce sont surement d’ancien résident du Cairn, il s’agit là d’une découverte exceptionnel qui c’est quelles trésors d’informations nous pourrions obtenir d’eux sur les évènements anciens.
Mais reprenons, le nain nous interpelles et nous demande de le libérer, nous lui répondons que nous savons qu’il s’agit d’un pièges et que nous sommes peu disposé à nous laisser prendre. Un de mes compagnons lui demande ou il y aurait un trésor, il nous répond dans son socle, pendant que mes camarades discutent avec le nain je tente de dissiper la magie du cristal, malheureusement la magie est trop forte et je dois concéder mon incapacité à briser l’enchantement. Nous nous tournons alors vers les autres prisonniers, il y a là un troll qui souhaite qu’on le libère nous prévenant qu’il va sans doute essayer de nous tuer ensuite.
Un sylphelin qui nous explique qu’il ne souhaite pas être libéré car il est moins dangereux ainsi, je tente d’en apprendre plus sur les secrets du Cairn en proposant de libérer celui qui sera le plus gentil pour nous révéler ces secrets, là un elfe nous répond que c’est lui qu’il faut alors libérer car connaissant le mieux les secrets du lieu. Cependant il ne nous en révèle pas plus. Le nain reprends la parole une vision dans l’astrale m’indique qu’il doit être le plus contrôlé du groupe, son lien magique vibrant sous l’influence du mystérieux marionnettiste, il est par ailleurs incapable de dire son nom, ne produisant qu’une éructions inintelligible.
Nous décidons de quitter la salle, peut-être cela leurs déliera-t-il les langues.
Mais alors que nous franchissons le seuil de la salle suivante le nain s’écria : Maitre maitre, ils s'échappent ...
Je n’eus pas les temps de m’attarder sur cette révélation qu’une odeur putréfaction nous assaillie avec une vigueur renouveler. Nous fîmes alors face à un premier zombie qui nous annonça qu’il devait nous mener au maître. Malheureusement nous déclinâmes son hospitalité et Mok se débarrassa de lui avec notre cependant il n’était que le premier d’une longue liste, et des hordes de ses congénères débouchèrent de tous les couloirs.
Nous tentâmes de les repousser, Inigo et moi finir par nous débarrasser de l’un d’entre eux, il était évident que nous ne gagnerions pas ce combat, il nous fallait procéder à un repli stratégique, je cherchai et découvris une voie qui n’étais pas encore obstrué par le flot des morts-vivant et guidait mes compagnons vers la sortie.
De grandes secousse ébranlèrent le Cairn qui firent s’effondrer une partie du couloir bloquant l’afflux des zombies à notre poursuite, nous finirent par nous extraire du Cairn et décidâmes de rendre à Urupa pour réfléchir à nos options.
Cependant ces aventures avaient sérieusement puisé dans nos réserves et ne nous avais rien rapporté sur le plan financier, la richesse intellectuelles ne nourrissant pas son homme, il nous fallut trouver du travail, Nous reprîmes alors nos occupation de tantôt,Ce qui me permit moyennant un prêt généreux de Raglafart de me payer des cours particulier avec un puissant sorcier, afin de faire progresser mes talents.
C’est donc sans le moindre sous en poche que j’attends le point de Masaru quand à la traduction afin de décider de la suite à donner à notre aventure, Une chose est sur celle-ci n’est pas fini, et il va nous falloir de l’argent pour la mener à bien.
Nous étions toujours en extase devant cette porte magnifiquement ouvragées et piégée.
Quand le bruit d’un grondement sourd se fit entendre, tout obnubilé par mon admiration, je ne pris pas la peine d’esquiver un nain, ainsi que les deux pans de la porte qui m’évitèrent par miracle sans doutes les voix divines avaient elles décidés que mon destin n’était pas de périr écrasé dans ce lieux.
C’est donc dans un nuage de poussière que nous fîmes la découverte de Raglafart un nain chercheur, à l’esprit et la langue avisé, qui avait en plus le bon gout de parler la noble langue elfîque.
Après les présentations d’usage nous apprîmes mes compagnons et moi-même qu’il était venu dans ces lieux avec des compagnons, afin d’enquêter sur le mystérieux enneigement, il par malheur ensuite, s’était séparé de son groupe dans le blizzard et un séisme avait ouvert un faille sous ses pied qui l’avait mené à nous.
Qui étais-je pour refuser cette envoyé du destin qui de plus semblait un peu plus cultivé que mes par ailleurs sympathique camarades.
Par son arrivé fracassantes notre camarade nain avait également apporté une solution à notre problème en ouvrant la porte, je ne pus que regretter la destruction de cette magnifique porte, et le fait que le pièges n’ayant pas été déclenché ,je n’ai point pu observer son mécanisme à l’œuvre, en effet c’est dans le déclenchement du pièges qu’on est le plus à même de réaliser les sentiments et l’intelligence de la personnes qui la mise en place.
Déclencher un piège permet une empathie et une compréhension encore plus poussé que le simple fait de le désamorcer, quelque part le fait de pouvoir désamorcer un piège signifie que ces sentiments n’étaient pas assez forts.
Mais je m’égare une fois de plus, revenons-en donc à la suite,
En passant la porte nous débouchâmes sur un couloir en pierre pavé qui d’après nos observations n’avaient pas été utilisée depuis fort longtemps, un endroit inviolé depuis avant le cataclysme.
Comme à mon habitude, j’ouvrais la route afin d’être le premier à profiter des richesses qui s’offrait à moi, nous arrivâmes alors à une intersection, j’eu alors le plaisir pour une fois de discuter en elfîque de la direction à prendre avec notre nouvelle ami, Inigo et Mok semble n’apprécier guère nos « messe basse » mais il faut savoir que la langue elfîque permet de faire passer une richesse sémantique en particulier lors de la description d’un environnement.
Nous finîmes par décider de suivre le chemin de droite en effet quelque chose d’étrange semble en émaner, et au risque de me répéter j’aime le mystère. Le couloir que nous suivons, est toujours constitué du même dallage ancien, ce couloir est également bardé de pièges mais leurs manques d’originalités ainsi que mon expérience me permirent de les désamorcer, c’est donc sur ces déceptions que nous finîmes par arriver à une salle ou le choix nous fut laisser, descendre les escaliers ou utilisés ce qui s’apparentait à un monte-charge. Après une étude poussé du mécanisme, il apparut évident que cette appareil était cassé et ne redémarrerai pas de plus, nous camarades Mok, n’aurais jamais pu nous suivre dessus, et il ne me plaisait guère d’abandonner un compagnon seul, c’est fort logiquement que après sa propre analyse Raglafart se rangea à mon point de vue, décidément nous étions fait pour nous entendre.
Nous primes donc l’escalier, afin de descendre, j’indiquai à mes camarades d’enjamber les deux premières marches qui étaient piégés, un peu trop classique.
Nous arrivâmes en bas sans guère de difficultés, et débouchâmes sur une nouvelles intersection, je détectais une puanteur diffuse provenant de ce lieu, je m’interrogeais alors sur l Astrale et ouvris ma vision, Une étrange sensation s’empara alors de moi, il y avait quelque chose de malsain, de sombre et de maléfique en ces lieux, cette aura ce faisant plus présente, à droite, j’invitais mes compagnons à suivre le chemin de gauche.
Au bout, de quelques mètres, j remarquais un piège, quelque chose d’étrange, il semblait bien plus récents que le reste du couloir, et représentait une tête finement ouvragée, superbe, une vision dans l’astrale m’apprit qu’il s’agissait vraisemblablement d’un piège magique de type élémentaire et un tissage en partait pour s’enfoncer dans le sol.
Enfin, un défi à ma hauteur, je m’approchais afin de tenter de le désamorcer, mis malheureusement alors que je touchais au but, je finis par l’activer, il fut lors temps pour moi d’admirer le déclenchement du pièges qui se traduisit par un grandiose jet de flammes sortit de la bouche de la gargouille, nous l’évitèrent tous prestement, enfin tous sauf Inigo qui me permit de découvrir quel était exactement la puissance de ce jet, je fus pas contre surpris par Mok, qui pourrais croire que les obsidiens pouvaient se montrer si agile. Mais bon pas le temps de tergiverser. Une vision d’en l’Astrale m’apprit que la personne ou la chose qui avait posé ce piège nous avait détecté par le lien magique. J’avertis mes compagnons, il n’est en effet pas correct de rentrer chez quelqu’un sans s’être annoncé.
Le piège suivant s’avéra encore plus subtil et raffiné, au point que je ne pus détecter sa présence avant de l’avoir déclenché .Alors une grille ouvragé s’abattis du plafond, j’eus alors juste le temps d'esquiver et me trouvais séparé de mes compagnons, en les observant j’eu l’impression qu’ils éprouvaient de difficultés à respirer. Je me mis donc à analyser ce piège et découvris bun mécanisme, pendant ce temps Mok tentais de soulever la grille, j’activais le levier et la grille remonta tranquillement, Mok étais visiblement très fier de lui et je ne plus me résoudre à lui dire que j’étais celui qui avait permis de libérer la situation, toute vérité n’est pas toujours bonne à dire, je m’interrogeais néanmoins sur la présence de ce levier mais cela devrait attendre, il nous fallait continuer, le groupe s’interrogea sur la nécessité de continuer, je leur répondit que d’après il fallait continuer que si le couloir était si bien piégée c’est sans doute qu’il contenait des choses de valeurs, on ne pose pas des pièges si sophistiqués pour garder des pommes.
C’est donc sur nos gardes que nous continuâmes notre chemin dans le corridor.
Cependant même ma vigilance ne me permit pas de détecter le pièges, décidément la personne qui avait mis en place ses pièges était un véritable génie un virtuose dans son art. Je dois reconnaitre que j’étais impressionné, ami ou ennemi ce n’était pas quelqu’un à prendre à la légère.
Mais revenons-en au piège en lui-même, une trappe s’ouvris du plafond qui d’déversa un torrent d’eau, une nouvelle fois Moi et cette acrobate d’obsidiens parvinrent à esquivé mais Inigo et Raglafart, se retrouvèrent trempés, cependant le pièges le faisait que commencer et l’eau commença à geler sur eux.
C’est transi de froid qu’ils reprirent la route, même si Inigo décida de rester en retrait afin de ne pas se faire prendre dans un nouveau piège.
Je commençais moi-même à ressentir les effets de la fatigue provoqué par la succession de ses pièges et par ma vigilance constante.
C’est dans cet état que déclenchait un nouveau piège, encore une fois superbe, Mok se rapprocha alors de moi, sans doute avait-il perçu que le pièges ne faisait que commencer et cherchait il à me protéger quand un flash de lumière verte, souffla nos torches, et que nous chutâmes, tout du moins ce fut l’impression que cela me fis mais en fait il était plus correcte de parler d’un sort de transport.
Raglafart alluma prestement une torche et nous pûmes alors examiner notre situation.
Nous étions au milieu d’une grande salle Mok, Raglafart et moi-même, nulle trace d’Inigo Il vait sans doute éviter d’être pris dans ce piège-ci. A une des extrémité de la salle un couloir brillait d’une lueur verte qui n’était pas sans rappeler celle du piège tantôt, j’étais toujours en-train d’examiner la situation quand Mok revint me faire son rapport, il venait de jeter un coup d’œil discret dans la pièce d’où émanait la lumière, elle contenait 12 cristaux poser sur de grands socles disposer en cercle et il lui avait sembler reconnaitre des formes humanoïdes mais il ne s’était pas approcher suffisamment pour pouvoir le déterminer de manière sure.
Je le félicitais de cette décision, en effet pas besoin de sortir de l’académie de magie pour se rendre compte qu’il s’agissait d’un piège. Cependant cette description éveillait ma curiosité, il fallait que j’aille observer de plus près cette chose. Je me rendis donc sur place, une vision dans l’astrale m’apprit que les 12 cristaux était tous reliés à quelque chose en dessous de cette salle par des liens magiques et découvrir également que ces cristaux recélait une forme de magie conservative, rare et puissante.
En M’approchant, je reconnus la figure d’un sylphelin dans le cristal, un peu comme ces insectes que l’on trouve parfois prisonnier de morceaux d’ambres.
Je me posais pour commencer à faire un croquis de l’appareillage complexe qui se tenait devant moi, quand le sylphelin se tourna dans ma direction ce qui me permit de parfaire mon croquis.
Je venais de finir quand un bruit sourd attira mon attention cela provenait de la salle ou j’avais laissé mes amis, il avait peut-être besoin de mon aide. Je me précipitais pour découvrir Inigo que Mok aidait à se relever, il avait finalement décidé de partir à notre recherche après nous avoir vus disparaitre.
J’entretins mes compagnons de ma découverte et leur proposais de partir de l’autre côté pour éviter le piège, seulement le corridor menait en fait à la bifurcation précédente. Si nous voulions avancer il nous fallait traverser la salle piégée.
C’est donc prudemment que nous nous approchâmes, se faisant les créatures prisonnières des cristaux se tournèrent vers nous. Ce qui nous surpris fut quand l’une d’entre-elles, un nain commença à s’adresser à nous, ils sont donc capable de parler. En y regardant de plus prêt il y a là des représentant des 7 races, vêtues d’habits anciens, ce sont surement d’ancien résident du Cairn, il s’agit là d’une découverte exceptionnel qui c’est quelles trésors d’informations nous pourrions obtenir d’eux sur les évènements anciens.
Mais reprenons, le nain nous interpelles et nous demande de le libérer, nous lui répondons que nous savons qu’il s’agit d’un pièges et que nous sommes peu disposé à nous laisser prendre. Un de mes compagnons lui demande ou il y aurait un trésor, il nous répond dans son socle, pendant que mes camarades discutent avec le nain je tente de dissiper la magie du cristal, malheureusement la magie est trop forte et je dois concéder mon incapacité à briser l’enchantement. Nous nous tournons alors vers les autres prisonniers, il y a là un troll qui souhaite qu’on le libère nous prévenant qu’il va sans doute essayer de nous tuer ensuite.
Un sylphelin qui nous explique qu’il ne souhaite pas être libéré car il est moins dangereux ainsi, je tente d’en apprendre plus sur les secrets du Cairn en proposant de libérer celui qui sera le plus gentil pour nous révéler ces secrets, là un elfe nous répond que c’est lui qu’il faut alors libérer car connaissant le mieux les secrets du lieu. Cependant il ne nous en révèle pas plus. Le nain reprends la parole une vision dans l’astrale m’indique qu’il doit être le plus contrôlé du groupe, son lien magique vibrant sous l’influence du mystérieux marionnettiste, il est par ailleurs incapable de dire son nom, ne produisant qu’une éructions inintelligible.
Nous décidons de quitter la salle, peut-être cela leurs déliera-t-il les langues.
Mais alors que nous franchissons le seuil de la salle suivante le nain s’écria : Maitre maitre, ils s'échappent ...
Je n’eus pas les temps de m’attarder sur cette révélation qu’une odeur putréfaction nous assaillie avec une vigueur renouveler. Nous fîmes alors face à un premier zombie qui nous annonça qu’il devait nous mener au maître. Malheureusement nous déclinâmes son hospitalité et Mok se débarrassa de lui avec notre cependant il n’était que le premier d’une longue liste, et des hordes de ses congénères débouchèrent de tous les couloirs.
Nous tentâmes de les repousser, Inigo et moi finir par nous débarrasser de l’un d’entre eux, il était évident que nous ne gagnerions pas ce combat, il nous fallait procéder à un repli stratégique, je cherchai et découvris une voie qui n’étais pas encore obstrué par le flot des morts-vivant et guidait mes compagnons vers la sortie.
De grandes secousse ébranlèrent le Cairn qui firent s’effondrer une partie du couloir bloquant l’afflux des zombies à notre poursuite, nous finirent par nous extraire du Cairn et décidâmes de rendre à Urupa pour réfléchir à nos options.
Cependant ces aventures avaient sérieusement puisé dans nos réserves et ne nous avais rien rapporté sur le plan financier, la richesse intellectuelles ne nourrissant pas son homme, il nous fallut trouver du travail, Nous reprîmes alors nos occupation de tantôt,Ce qui me permit moyennant un prêt généreux de Raglafart de me payer des cours particulier avec un puissant sorcier, afin de faire progresser mes talents.
C’est donc sans le moindre sous en poche que j’attends le point de Masaru quand à la traduction afin de décider de la suite à donner à notre aventure, Une chose est sur celle-ci n’est pas fini, et il va nous falloir de l’argent pour la mener à bien.
kant- Date d'inscription : 11/11/2011
Age : 38
Re: Earthdawn le lundi soir histoires diverses
Journal de Voyage de Karthar devalar
Péril dans les Monts Kokavyk
C’est après trois jour, que Masarus nous rencontra, il avait plutôt bien progressé dans la traduction du grimoire, il s’agissait de passage dans un patois troll ancien.
Il nous apprit donc que les habitants du cairn, vit eu des problèmes avec les élémentaires qui devenaient fous, d’abord les élémentaires extérieurs puis le mal attint aussi ceux à l’intérieur des murs, là où la traduction s’arrêtait il venait de prendre la décision d’agir contre ce problème. Nous remerciâmes chaleureusement Masarus pour ces informations et je confiais à Masarus la liasse de feuille qui constituait la copie de mon journal de voyage, ses yeux s’illuminèrent devant la quantité d’informations que recélait ma prose. Mok, lui confia également, quelques feuillets, par contre rien de la part d’Inigo, il est vrai que je ne l’y jamais vu se poser quelque part pour écrire, sans doute, la tache lui paraissait-elle insignifiante, ne comprenait-il pas que la connaissance devait être partagé et que c’est cela qui permettra l’ascension de toute les races douées d’intelligence. Je m’emporte une fois de plus, mais reprenons à présent.
Nous étions toujours sans le sous, les informations de Masarus, bien que précieuse apportaient plus de questions que de réponses. Il nous fallait gagner de l’argent si nous voulions pouvoir engager une autre expédition, et ce n’est pas les maigres salaires que nous rapportaient nos emplois qui nous le permettraient. Il nous fallait trouver un emploi et un de bien rémunérer.
En faisant, le tour des différentes tavernes, nous découvrir deux offres, La première ; escorter une caravane de marchand le long de leur périple jusqu’aux monts Kokavyk.
La deuxième consistait à escorter des marchand jusqu’au pays limitrophe par la voie maritime.
J’avais toujours l’envie de découvrir la culture des autres pays, envie que j’avais déjà manifestée précédemment, c’est pourquoi, j’étais plus partisan de la deuxième option.
Cependant Mok, étant un obsidien, n’était guère tenter par le fait de prendre la mer. Afin d’éviter tout conflits, ou autres discussions interminables, je proposais de prendre notre décisions de manière démocratique par un vote, Inigo qui comme nous autre ne savait pas nager, se rangea du côté d’Inigo. Dans la vie, il est important de savoir faire des compromis surtout si je souhaitais que notre fragile association survive.
C’est néanmoins boudeur que je laissais Inigo, s’occuper de nous faire engager, il avait toujours eu un don avec les gens, cependant j’aurais peut-être dû l’accompagner, car le salaire proposer, 100 pièces d’argent par mois me parut bien maigre, ce n’est pas avec 100 pièces que nous pourrions nous préparer pour notre prochaine aventure. Néanmoins je lui avais confié le travail et il avait engagé notre nom. Et puis nous n’avions guère comme proposition.
Nous nous présentâmes le jour du départ, et c’est à ce moment-là que je découvris Varshar, le marchand. J’ignorais pourquoi mais quelque chose me dérangeait chez lui. Mais il était le patron et il faudrait faire avec.
La caravane était constituée de trois chariots lourdement chargé de coffre, et tiré pas des bœufs, une quinzaine de personnes en plus de Varshar était du voyage. Aucun ne semblait un guerrier aguerri.
Nous nous mimes donc en routes en direction des monts Kokavyk, les deux premières semaines du voyage se passèrent tranquillement, je ronchonnais en étudiant un grimoire que m’avait laissé mon instructeur avant de quitter Urupa, Il contenait des informations sur les différentes magies que pouvait apprendre un sorcier et sur leurs arbres d’évolutions. C’est d’humeur bougonne que je constatai le chemin qu’il me restait à parcourir avant d’intégrer l’élite de la sorcellerie.
J’étais toujours obnubilé par ces réflexions, quand, alors que nous le longions, nous vîmes redescendre le long du fleuve serpent une grande barcasse contenant un équipage de valeureux flibustiers Skrang. L’arrêt brutal du charriot ainsi que la flèche qui se planta non loin de mon oreille me sortit de la transe dans laquelle m’avait plongé l’ouvrage.
L’heure n’était plus à la lecture, il nous fallait mériter notre salaire. Nos employeurs ayant disparurent dans les bois. Nous ne fûmes que nous trois contre le groupe des pirates.
Ils commencèrent par tenter de nous embrocher avec un javelot qui me fit un accro dans ma tenue et m’égratigna légèrement, je lui répondis d’un indexe ravageur qui le projeta à terre.
Pendant ce temps mes camarades échangeaient les coups avec leurs opposants. Profitant du chaos de la bataille quelques pirates en parvinrent, à délester un gros coffre d’un des charriots. Nous changeâmes nos cibles pour tenter de les empêcher de partir avec leur butin. Inigo et Mok partirent en découdre avec les porteurs rapidement rejoint par des renforts. Mon adversaire ne parvenant pas à m’atteindre commença à se montrer plus agressif et me blessa grièvement, je reportai donc mon attention sur lui, en même temps un de ces camarades se rapprochait de moi pour le soutenir. Il me fallait faire vite si je voulais survivre, un sort bien placer abattit mon premier adversaire. Cependant, le deuxième m’atteint et me porta un coup qui me mena à la limite de l’inconscience, la douleur fulgurante me provoqua une montée d’adrénaline qui permis à mon sort de terrasser mon opposants déjà blesser par ca rencontre avec Mok. Reportant mon attention sur notre environnement, je constatai que les pirates avaient pris la fuite abandonnant leur butin et un corps au pied de Mok.
Le combat finis nous examinâmes les personnes à terres et découvrîmes que l’un d’entre eux était toujours en vie, nous les délestâmes ensuite de leurs équipements, parmi lesquelles nous reçûmes deux cape en écailles de sram pour Inigo et Moi, nous revendîmes le reste à Varshar ce qui nous permit de récupérer 22 pièces d’argent chacun, j’allais pouvoir rembourser notre ami Raglafart la prochaine fois que je le croiserais.
Les deux semaines suivantes me laissèrent le temps de récupérer de mes blessures. Au passage nous traversâmes quelques villes qui en méritait à peine le nom, et donc au bout de ce premier mois nous touchâmes notre première solde 100 pièces d’argent chacun.
Je profitais de ces arrêts pour tenter d’en apprendre un peu plus sur la culture locale mais soit qu’il n’y en est guère dans la région, soit que les villes n’ai pas été assez importantes, j’en appris assez peu.
Nous reprîmes notre route toujours en direction des monts Kokavyk quand une série d’évènement étrange perturba notre périple, cela commença par un essieu cassé, puis un animal empoisonné le lendemain, une analyse des éléments à ma disposition m’apprit qu’on les avait mis à paitre à côté d’une plante connue pour ses toxines. J demandait qui était le responsable des bêtes et de leur lieu de pâturages, les marchand commencèrent à se rejeter la fautes les uns sur les autres. Afin de couper court à leurs disputes, je pris les choses en mains et réorganisais le fonctionnement du camp. Nous allions monter une garde plus rapproché autour des chariots et désigné un responsable pour les animaux qui aurait à répondre de leur état. Le soir même un courant d’air provoqua un début d’incendie rapidement maitrisé au niveau des charriots, décidément quelqu’un cherchait à nuire à ce convoi et toujours pas la moindre trace de magie dans le plan astrale, voilà qui est étrange.
Au matin nous repartîmes et avancions le long d’une corniche longeant la montagne quand un éboulis s’abatis sur nous abimant nos chariots et ayant presque raisons de ce cher Inigo que Mok déterra de sous les décombres. Une nouvelles fois, l’analyse de l’éboulis semblait indiquer une cause naturelle, diantre tous ceci n’était-il vraiment que pure coïncidences, j’exprimais mes doutes mais fautes de preuve il ne servait à rien de tergiverser.
Quelques jours plus tard toujours sur le même sentier Inigo s’étant remis de sa blessures, nous fûmes attaqués par une hardes de cavaliers bandits orque, nous nous mimes en positions défensives prêt à subir l’assaut, quand les chefs ennemi marqua l’arrêt de ses troupes. Nous confiâmes à notre employeur qu’à 60 contre 3 il serait préférable de négocier si cela était possible. Au bout d’un quart d’heure d’entretien avec le chef, Varshar revint nous voir pour nous indiquer que nous étions les hôtes de ces brigands.
Allez savoir pourquoi, quand il nous dit cette phrase, j’étais persuadé que cela signifiait que nous étions leurs prisonniers, mais pas du tout nous fumes effectivement leurs hôte et fort gentiment accueilli. Varshar nous révéla qu’il avait vendu ces marchandise à la tribu orc, quand je lui demandais ce qu’il leur avait vendu comme vendu, il me répondit des choses qu’ils ne peuvent trouver dans la région, mais il ignorait sans doute que surveillant une de leur transaction dans l’astrale, j’avais reconnu une signature astrale quand l’un des coffres fut ouverts. Décidément ce Varshar nous cache des choses.
Nous repartîmes le lendemain vers un village où il était censé réapprovisionner ses chariots en marchandise avant d’entamer la redescente vers Urupa.
Cependant une fois sur place, pas de trace de son contact pourtant sensé être ici depuis une semaine. Etant considéré comme une personne fiable, il se dit qu’il devait avoir eu un problème en route. Varshar nous proposa alors un extra, allez au village du contact et trouver ce qui s’était passé là-bas le tout pour 50 piécettes d’argent chacun.
Il nous fit le plan pour atteindre le village situé à trois jours de marche.
Nous nous rendîmes sans problèmes au lieu dit cependant une fois sur place quelque chose nous choqua, le village avait l’air désert, n jetant un coup d’œil dans l’astrale, je découvris des turbulences qui semblait provenir de la mine qui semblait par ailleurs barricadés.
En étant un peu plus attentifs je remarquai une dizaine de gros lézard d’environ 1 mètre de long avec une longue queue. Il me semblait avoir déjà vue une de leurs représentation quelques part quand cela me revint. Il s’agissait de lézard éclair, des créatures très dangereuses capable de foudroyés leurs victimes avec leurs qui part ailleurs valent une petite fortune, bien plus que notre solde de garde du corps si nous parvenions à en récupérer quelques pairs.
J’exposais donc mon plan à mes compagnons, l’animal était en effet très dangereux mais si nous ne lui laissions pas le temps d’attaquer, il devait être possible de les gérer un par un.
Mon plan était très simple, nous nous infiltrions à l’intérieur d’un bâtiment vide muni d’une porte, j’attirais l’un d’entre avec un sort il entrait, je fermais la porte, on le terrassait et nous recommencions en les gérant un par un.
Après quelque discussion je parvins à convaincre mes camarades de mettre en place ce plan, la promesse d’un gain étant un bon levier.
Le début du plan ce passa sans accro, nous entrâmes discrètement dans un bâtiment, nous préparâmes en vue du combat par quelque buff. Je parvins à attirer un des animaux à l’intérieur puis Inigo et Mok le débitèrent prestement, malheureusement le lézard avait émis un cri dans son agonie qui attira deux de ces congénères, j’expliquais à Inigo et Mok que deux lézard devait rester encore gérable. Cependant le timing fut un peu plus délicat et ils Eure le temps de ce lancer une sorte de d’armure d’éclair qui infligea des blessures à ms compagnons quand ils les débitèrent à leur tour.
Un coup d’œil par la fenêtre nous avertit qu’une dizaine de ces lézards se dirigeaient à présent vers nous, il fallait fuir et la mine nous paraissait un bon endroit, Mok ramassa les 3 têtes, Inigo lança les trois cadavres par la vitre afin de détourner leur attention, et nous finirent pas nous échapper derrière la barricade de la mine.
Péril dans les Monts Kokavyk
C’est après trois jour, que Masarus nous rencontra, il avait plutôt bien progressé dans la traduction du grimoire, il s’agissait de passage dans un patois troll ancien.
Il nous apprit donc que les habitants du cairn, vit eu des problèmes avec les élémentaires qui devenaient fous, d’abord les élémentaires extérieurs puis le mal attint aussi ceux à l’intérieur des murs, là où la traduction s’arrêtait il venait de prendre la décision d’agir contre ce problème. Nous remerciâmes chaleureusement Masarus pour ces informations et je confiais à Masarus la liasse de feuille qui constituait la copie de mon journal de voyage, ses yeux s’illuminèrent devant la quantité d’informations que recélait ma prose. Mok, lui confia également, quelques feuillets, par contre rien de la part d’Inigo, il est vrai que je ne l’y jamais vu se poser quelque part pour écrire, sans doute, la tache lui paraissait-elle insignifiante, ne comprenait-il pas que la connaissance devait être partagé et que c’est cela qui permettra l’ascension de toute les races douées d’intelligence. Je m’emporte une fois de plus, mais reprenons à présent.
Nous étions toujours sans le sous, les informations de Masarus, bien que précieuse apportaient plus de questions que de réponses. Il nous fallait gagner de l’argent si nous voulions pouvoir engager une autre expédition, et ce n’est pas les maigres salaires que nous rapportaient nos emplois qui nous le permettraient. Il nous fallait trouver un emploi et un de bien rémunérer.
En faisant, le tour des différentes tavernes, nous découvrir deux offres, La première ; escorter une caravane de marchand le long de leur périple jusqu’aux monts Kokavyk.
La deuxième consistait à escorter des marchand jusqu’au pays limitrophe par la voie maritime.
J’avais toujours l’envie de découvrir la culture des autres pays, envie que j’avais déjà manifestée précédemment, c’est pourquoi, j’étais plus partisan de la deuxième option.
Cependant Mok, étant un obsidien, n’était guère tenter par le fait de prendre la mer. Afin d’éviter tout conflits, ou autres discussions interminables, je proposais de prendre notre décisions de manière démocratique par un vote, Inigo qui comme nous autre ne savait pas nager, se rangea du côté d’Inigo. Dans la vie, il est important de savoir faire des compromis surtout si je souhaitais que notre fragile association survive.
C’est néanmoins boudeur que je laissais Inigo, s’occuper de nous faire engager, il avait toujours eu un don avec les gens, cependant j’aurais peut-être dû l’accompagner, car le salaire proposer, 100 pièces d’argent par mois me parut bien maigre, ce n’est pas avec 100 pièces que nous pourrions nous préparer pour notre prochaine aventure. Néanmoins je lui avais confié le travail et il avait engagé notre nom. Et puis nous n’avions guère comme proposition.
Nous nous présentâmes le jour du départ, et c’est à ce moment-là que je découvris Varshar, le marchand. J’ignorais pourquoi mais quelque chose me dérangeait chez lui. Mais il était le patron et il faudrait faire avec.
La caravane était constituée de trois chariots lourdement chargé de coffre, et tiré pas des bœufs, une quinzaine de personnes en plus de Varshar était du voyage. Aucun ne semblait un guerrier aguerri.
Nous nous mimes donc en routes en direction des monts Kokavyk, les deux premières semaines du voyage se passèrent tranquillement, je ronchonnais en étudiant un grimoire que m’avait laissé mon instructeur avant de quitter Urupa, Il contenait des informations sur les différentes magies que pouvait apprendre un sorcier et sur leurs arbres d’évolutions. C’est d’humeur bougonne que je constatai le chemin qu’il me restait à parcourir avant d’intégrer l’élite de la sorcellerie.
J’étais toujours obnubilé par ces réflexions, quand, alors que nous le longions, nous vîmes redescendre le long du fleuve serpent une grande barcasse contenant un équipage de valeureux flibustiers Skrang. L’arrêt brutal du charriot ainsi que la flèche qui se planta non loin de mon oreille me sortit de la transe dans laquelle m’avait plongé l’ouvrage.
L’heure n’était plus à la lecture, il nous fallait mériter notre salaire. Nos employeurs ayant disparurent dans les bois. Nous ne fûmes que nous trois contre le groupe des pirates.
Ils commencèrent par tenter de nous embrocher avec un javelot qui me fit un accro dans ma tenue et m’égratigna légèrement, je lui répondis d’un indexe ravageur qui le projeta à terre.
Pendant ce temps mes camarades échangeaient les coups avec leurs opposants. Profitant du chaos de la bataille quelques pirates en parvinrent, à délester un gros coffre d’un des charriots. Nous changeâmes nos cibles pour tenter de les empêcher de partir avec leur butin. Inigo et Mok partirent en découdre avec les porteurs rapidement rejoint par des renforts. Mon adversaire ne parvenant pas à m’atteindre commença à se montrer plus agressif et me blessa grièvement, je reportai donc mon attention sur lui, en même temps un de ces camarades se rapprochait de moi pour le soutenir. Il me fallait faire vite si je voulais survivre, un sort bien placer abattit mon premier adversaire. Cependant, le deuxième m’atteint et me porta un coup qui me mena à la limite de l’inconscience, la douleur fulgurante me provoqua une montée d’adrénaline qui permis à mon sort de terrasser mon opposants déjà blesser par ca rencontre avec Mok. Reportant mon attention sur notre environnement, je constatai que les pirates avaient pris la fuite abandonnant leur butin et un corps au pied de Mok.
Le combat finis nous examinâmes les personnes à terres et découvrîmes que l’un d’entre eux était toujours en vie, nous les délestâmes ensuite de leurs équipements, parmi lesquelles nous reçûmes deux cape en écailles de sram pour Inigo et Moi, nous revendîmes le reste à Varshar ce qui nous permit de récupérer 22 pièces d’argent chacun, j’allais pouvoir rembourser notre ami Raglafart la prochaine fois que je le croiserais.
Les deux semaines suivantes me laissèrent le temps de récupérer de mes blessures. Au passage nous traversâmes quelques villes qui en méritait à peine le nom, et donc au bout de ce premier mois nous touchâmes notre première solde 100 pièces d’argent chacun.
Je profitais de ces arrêts pour tenter d’en apprendre un peu plus sur la culture locale mais soit qu’il n’y en est guère dans la région, soit que les villes n’ai pas été assez importantes, j’en appris assez peu.
Nous reprîmes notre route toujours en direction des monts Kokavyk quand une série d’évènement étrange perturba notre périple, cela commença par un essieu cassé, puis un animal empoisonné le lendemain, une analyse des éléments à ma disposition m’apprit qu’on les avait mis à paitre à côté d’une plante connue pour ses toxines. J demandait qui était le responsable des bêtes et de leur lieu de pâturages, les marchand commencèrent à se rejeter la fautes les uns sur les autres. Afin de couper court à leurs disputes, je pris les choses en mains et réorganisais le fonctionnement du camp. Nous allions monter une garde plus rapproché autour des chariots et désigné un responsable pour les animaux qui aurait à répondre de leur état. Le soir même un courant d’air provoqua un début d’incendie rapidement maitrisé au niveau des charriots, décidément quelqu’un cherchait à nuire à ce convoi et toujours pas la moindre trace de magie dans le plan astrale, voilà qui est étrange.
Au matin nous repartîmes et avancions le long d’une corniche longeant la montagne quand un éboulis s’abatis sur nous abimant nos chariots et ayant presque raisons de ce cher Inigo que Mok déterra de sous les décombres. Une nouvelles fois, l’analyse de l’éboulis semblait indiquer une cause naturelle, diantre tous ceci n’était-il vraiment que pure coïncidences, j’exprimais mes doutes mais fautes de preuve il ne servait à rien de tergiverser.
Quelques jours plus tard toujours sur le même sentier Inigo s’étant remis de sa blessures, nous fûmes attaqués par une hardes de cavaliers bandits orque, nous nous mimes en positions défensives prêt à subir l’assaut, quand les chefs ennemi marqua l’arrêt de ses troupes. Nous confiâmes à notre employeur qu’à 60 contre 3 il serait préférable de négocier si cela était possible. Au bout d’un quart d’heure d’entretien avec le chef, Varshar revint nous voir pour nous indiquer que nous étions les hôtes de ces brigands.
Allez savoir pourquoi, quand il nous dit cette phrase, j’étais persuadé que cela signifiait que nous étions leurs prisonniers, mais pas du tout nous fumes effectivement leurs hôte et fort gentiment accueilli. Varshar nous révéla qu’il avait vendu ces marchandise à la tribu orc, quand je lui demandais ce qu’il leur avait vendu comme vendu, il me répondit des choses qu’ils ne peuvent trouver dans la région, mais il ignorait sans doute que surveillant une de leur transaction dans l’astrale, j’avais reconnu une signature astrale quand l’un des coffres fut ouverts. Décidément ce Varshar nous cache des choses.
Nous repartîmes le lendemain vers un village où il était censé réapprovisionner ses chariots en marchandise avant d’entamer la redescente vers Urupa.
Cependant une fois sur place, pas de trace de son contact pourtant sensé être ici depuis une semaine. Etant considéré comme une personne fiable, il se dit qu’il devait avoir eu un problème en route. Varshar nous proposa alors un extra, allez au village du contact et trouver ce qui s’était passé là-bas le tout pour 50 piécettes d’argent chacun.
Il nous fit le plan pour atteindre le village situé à trois jours de marche.
Nous nous rendîmes sans problèmes au lieu dit cependant une fois sur place quelque chose nous choqua, le village avait l’air désert, n jetant un coup d’œil dans l’astrale, je découvris des turbulences qui semblait provenir de la mine qui semblait par ailleurs barricadés.
En étant un peu plus attentifs je remarquai une dizaine de gros lézard d’environ 1 mètre de long avec une longue queue. Il me semblait avoir déjà vue une de leurs représentation quelques part quand cela me revint. Il s’agissait de lézard éclair, des créatures très dangereuses capable de foudroyés leurs victimes avec leurs qui part ailleurs valent une petite fortune, bien plus que notre solde de garde du corps si nous parvenions à en récupérer quelques pairs.
J’exposais donc mon plan à mes compagnons, l’animal était en effet très dangereux mais si nous ne lui laissions pas le temps d’attaquer, il devait être possible de les gérer un par un.
Mon plan était très simple, nous nous infiltrions à l’intérieur d’un bâtiment vide muni d’une porte, j’attirais l’un d’entre avec un sort il entrait, je fermais la porte, on le terrassait et nous recommencions en les gérant un par un.
Après quelque discussion je parvins à convaincre mes camarades de mettre en place ce plan, la promesse d’un gain étant un bon levier.
Le début du plan ce passa sans accro, nous entrâmes discrètement dans un bâtiment, nous préparâmes en vue du combat par quelque buff. Je parvins à attirer un des animaux à l’intérieur puis Inigo et Mok le débitèrent prestement, malheureusement le lézard avait émis un cri dans son agonie qui attira deux de ces congénères, j’expliquais à Inigo et Mok que deux lézard devait rester encore gérable. Cependant le timing fut un peu plus délicat et ils Eure le temps de ce lancer une sorte de d’armure d’éclair qui infligea des blessures à ms compagnons quand ils les débitèrent à leur tour.
Un coup d’œil par la fenêtre nous avertit qu’une dizaine de ces lézards se dirigeaient à présent vers nous, il fallait fuir et la mine nous paraissait un bon endroit, Mok ramassa les 3 têtes, Inigo lança les trois cadavres par la vitre afin de détourner leur attention, et nous finirent pas nous échapper derrière la barricade de la mine.
kant- Date d'inscription : 11/11/2011
Age : 38
Re: Earthdawn le lundi soir histoires diverses
Journal de Voyage de Karthar devalar
Le sauvetage.
Arrivé de l’autre côté, de la barricade, l’obscurité nous surpris, malgré ma nyctalopie ces ténèbres portaient en elles quelque chose de dérangeant.
Une vision dans l’astrale m’appris la source de ce désagrément, les lieux baignait dans une atmosphère putride de corruption horrifique.
Après en avoir avertis mes compagnons, c’est nauséeux que nous nous lançâmes dans l’exploration de la caverne.
Nous prîmes sur nous d’allumer une torche, nous permettant de combattre les ténèbres qui nous entouraient tout en éclairant notre chemin.
Dans la caverne, il régnait un silence de mort, d’ailleurs après quelques pas nous ne fûmes guère surpris d’en rencontrer quelques-uns, les malheureux semblait avoir subi les assauts d’humanoïdes. Je continuais de mener mes compagnons à travers les sombres tunnels quand Inigo détecta un bruit, nous nous mimes donc en route vers l’origine de ce son.
Notre camarades Raglafart reconnut grâce à sa vision perçante des formes humanoïdes dont une, plus grande que les autres, peut être le fameux troll « longue-barbe », le contact de notre employeur.
Malheureusement, la puanteur se fit plus forte et je perdis presque conscience, butant alors dans une pierre déclenchant la fuite des trois individus.
Nous nous mimes alors à leur poursuite, mais je perdis rapidement leurs traces dans le dédale des couloirs.
Après quelques temps, Mes compagnons repérèrent un autre individu. Ce coup-ci nous parvînmes à le rejoindre avant qu’il ne fuit, en nous approchant de plus prêt nous reconnûmes un mineur, il était absolument terrifié plaqué contre la paroi du mur comme pris au piège.
Nous commençâmes donc à l’interroger sur la situation, il refusa d’abord de nous répondre criant au monstre. Inigo tenta alors de le rassurer et y parvint un peu.
Le mineur guère plus confiant, commença à nous expliquer qu’il y avait un monstre, qu’on ne pouvait faire confiance à personne, que ça pouvait être n’importe qui.
Nous lui expliquâmes qu’il serait plus en sécurité avec nous et qu’il devrait nous suivre.
Il finit par se laisser convaincre et nous accompagna. Je lui confiai alors la torche, en signe de confiance et également parce que mes forces déclinaient dans cette atmosphère délétère.
Nous continuâmes notre chemin, et un plus tard fûmes surpris par un autre mineur au regard révulsé, pressentant quelque chose je demandai à mes compagnons d’éviter de le tuer, pendant qu’il l’occupait je me concentrai pour voir dans l’astral, ceci me pris quelques j’instant dans ces conditions, je parvins néanmoins à apercevoir un lien magique reliant le corps à un autre endroit échappant à ma vision, j’avais vu juste, il était contrôlé.
J’avertis alors mes camarades et découvris une nouvelle facette de la personnalité de Mok que j’aurais préféré ignorer, frapper ce pauvre mineur semblait lui procurer un certains plaisirs sadique et c’est d’un coup de pied dans les parties génitale qu’il mit à terre notre assaillant. Notre compagnon d’infortune précédant nous ayant lâchement abandonné en fuyant avec la torche, nous obligeant à livrer une partie du combat dans le noir. Nous décidâmes de ligoter le nouveau venu et Mok le porta sur son épaule.
Nous reprîmes notre route tentant de suivre la direction des filaments et finîmes par découvrir ce qui ressemblait à un ascenseur de mine.
Nous décidâmes de faire un voyage en deux temps, d’abord Mok descendit tout seul puis nous le suivîmes, Raglafart de par sa condition nanique nous servait d’éclaireur profitant de sa vision thermique, cependant nous fûmes tous surpris quand alors que nous abordions la descente un individu commença à taper sur le mécanisme dans l’espoir de nous faire chuter.
Nôtres réaction fut prompte et témoignant d’un travail d’équipe certains. Je me concentrai pour observer l’astrale, Inigo maniait les leviers pour faire remonter l’ascenseur, et Raglafart repoussait l’agresseur avec sa lance. Quand nous fumes parvenus assez haut Inigo aida notre camarade et parvinrent à faire tomber notre agresseur dans l’inconscience.
Nous l’avions échappé belle, et j’avais obtenues une information capitale, les filaments n’avaient pas pour origines la caverne situé en dessous de nous mais bien cet étage, j’avais même une petite idée de la direction qu’il nous fallait suivre.
Nous Suivîmes donc la piste, après avoir pris toutes les précautions nécessaires à la remonter de Mok.
Après quelque virage nous perçûmes à nouveau le bruit de plusieurs individus. Raglafart nous confirma la présence des même trois silhouettes aperçus tantôt, ce coup-ci notre manœuvre se déroula avec succès, peut-être parce que je n’y partipais pas les émanations putride perturbant tous mes sens j’aurais sans doute finis par faire du bruit compromettant par la même la réussite de l’opération.
Nous parvînmes donc à cerner les différents individus et reconnurent le fameux « longue-barbe » qui décidément portait bien son nom. Après une nouvelle séance de discussion nous le convainquirent de nous suivre, apparemment un sorcier aurait tenté de prendre le contrôle de la mines mais aurais échoué à lancer son sort provoquant sa disparition et l’apparition du monstre, à moins qu’il ne fasse qu’un. Nous décidâmes de retourner à l’entrée de la caverne, point d’origine des évènements et corroborant avec mon intuition quant à l’origine des filaments. Etrangement nous atteignîmes le lieu sans trop de difficultés mais ne trouvâmes aucun adversaire, pourtant la présence venait bien de là. J’en étais sûr, nous finîmes par trouver trois objets susceptibles de former le réceptacle du monstre sans corps ; une amulette, une épée et le grimoire du sorcier. Mes compagnons incriminèrent immédiatement le livre, et je décidai de m’en assurer. Alors que je me concentrai une nouvelle fois pour voir dans l’astrale, je sentis le contact froid de l’acier s’enfonçant entre mes omoplates puis la chaleur de mon sang s’écoulant de la blessure, je me retournai et découvrit qu’un des mineurs accompagnant « longue-barbe » Venait de me poignarder, je demandais à mes compagnons de maitriser l’individus pendant que je reprenais ma concentration pour voir dans l’astrale, ceci me fournit la preuve que le grimoire était bien le responsable il me sembla même apercevoir à travers la couverture un minuscule passage vers l’astrale,d’où provenait le miasme ambiant.
L’agresseur maitriser par un magistral coup de pied dans les parties de la part de l’obsidien, ce qui semblait devenir son attaque favorite.
Je révélai mes informations à mes camarades, cependant il me répugnait de détruire le grimoire de mon collègue sorcier qui devait receler, une masse immense de savoir, et décidai de tenter ma chance en lançant un sort de dissipation de la magie.
Alors que le sort allait partir, l’horreur car il s’agissait bien de cela, tapis de l’autre côté de l’astrale en profitât pour me lancer une attaque, commença alors un combat de volonté, sans doute le plus dure combat que j’ai jamais eu à livrer de toute ma vie. Mais l’horreur était trop puissante et me contraignit à m’en prendre à mes propres camarades, je ne parvenais qu’a l’empêcher d’infliger des blessures trop sévères, et cela réclamait déjà toute ma volonté. Mok révélant décidément un sadisme sordide, pris plaisirs à m’infliger en retour de violents coup de pied dans les testicules, pendant qu’heureusement Inigo avait pris l’initiative d’agir sur la source du mal, sur le grimoire. Il planta alors sa lame dans la couverture traversant sans difficulté l’ouvrage pourtant épais. Cela eu pour effet de détourner l’attention de l’horreur, et je mis à profit cette occasion offerte par Inigo, pour bander toute ma volonté afin de repousser l’horreur dans le néant du plan astrale. J’avais gagné, j’étais libre, cependant un autre combat continuait, reprenant le contrôle de mon corps, je demandai à Mok de bien vouloir arrêter ce jeu auquel il prenait visiblement beaucoup de plaisir.
Malheureusement en reprenant les contrôle de mon corps, je repris également conscience de ma douleur et fut plié en deux au sol pendant qu’Inigo mettait le feu à ce qu’il restait de l’ouvrage. Après que la douleur fut calmée nous rassemblâmes la cargaison et décidâmes de la ramener avec l’aide de « longue-barbe ». Les lézards avait quitté le village ce qui rendit notre départ plus facile, pourquoi, comment, je laissais mon esprit diverger sur les infinies possibilités et réfléchissait toujours à la question quand nous rejoignîmes Varshar.
Il fut ravi de nous revoir avec ses marchandise et nous paya notre dû, il nous racheta également les globes oculaires des lézards.
Nous reprîmes donc notre route pour retrouver Urupa, et ses promesses de repos.
Notre trajet de retour ne fut perturbé que par deux événements notables.
Tout d’abord alors que nous venions seulement de partir nous croisâmes le chemin d’araignées géantes qui n’avait absolument rien à faire dans la région.
Après les avoir analysées puis vaincues, nous étudiâmes un peu la question sans parvenir à trouver un quelquonque indice quant à leur présence.
Enfin, Alors que nous approchions des limites des Monts, nous fûmes abordés par la même horde de brigand qu’à l’aller, ne comprenant pas le danger immédiatement nous les accueillîmes docilement. Cependant leurs intentions n’étaient pas aussi pacifiques qu’alors et avaient bien décidé de faire de nous leurs prisonniers et de confisquer nos biens.
Toujours dominer par leur supériorité numérique la situation semblait perdu. Mais c’était sans compter sur l’adresse de notre camarade Inigo qui leur proposa un duel au premier sang contre leur champion, en cas de victoire nous pouvions continuer notre route, en cas de défaite nous nous rendions sans résistance. Je dois reconnaître avoir alors envisagé notre défaite, et si j’avais du sélectionner un champion mon choix ce serait sans doute porter sur Mok, particulièrement dans le cas d’un duel au premier « sang ».
C’est donc le cœur serré que je vis approcher le champion du clan adverse, un géant massif et couverte métal, dans sa main une hache de guerre à la lame acérée. Chacun de ses pas faisaient rouler ses muscles puissants. Le premier sang de notre ami pourraient bien être son dernier devant la puissance que semblait posséder son adversaire.
Autant dire que dans le camp adverse le combat semblait jouer d’avance et personne ne pariait sur Inigo. Cependant les deux hommes se tinrent face à face confiant chacun dans leur propre force. Après les salutations rituelles d’usage, la tension était palpable, en jeu rien de moins que nos vies, en particulier celle de compagnon. Je songeais bien un instant à assister mon camarade, mais cela n’aurait pas été très honorables et aurai souillé l’image d’Inigo, je choisis de lui faire confiance, ceux en quoi j’eu bien raison. Le combat commença et s’acheva en un instant, dès le signal du départ donné Inigo se mit en flèche passa la défense de son adversaire pour le pourfendre en plein cœur et de ressortir sa lame, cela avait pris moins d’une seconde. Le géant lâcha son arme et lança alors un regard plein d’incompréhension à l’assistance, avant de tanguer puis de s’écrouler lourdement dans un bruit de ferraille. Impressionner par Inigo, je l’applaudis bruyamment, rompant par la même le silence qui s’était mis en place, le tout sur le regard mauvais de Mok qui attendait la réaction de la foule. Les brigands n’avait certes pas de manière, il conservait néanmoins un certains honneur et nul ne pouvait que nous avions remporté ce duel, c’est avec un regard glacé ou ce lisait de la colère qu’ils nous laissèrent reprendre notre route.
Le sauvetage.
Arrivé de l’autre côté, de la barricade, l’obscurité nous surpris, malgré ma nyctalopie ces ténèbres portaient en elles quelque chose de dérangeant.
Une vision dans l’astrale m’appris la source de ce désagrément, les lieux baignait dans une atmosphère putride de corruption horrifique.
Après en avoir avertis mes compagnons, c’est nauséeux que nous nous lançâmes dans l’exploration de la caverne.
Nous prîmes sur nous d’allumer une torche, nous permettant de combattre les ténèbres qui nous entouraient tout en éclairant notre chemin.
Dans la caverne, il régnait un silence de mort, d’ailleurs après quelques pas nous ne fûmes guère surpris d’en rencontrer quelques-uns, les malheureux semblait avoir subi les assauts d’humanoïdes. Je continuais de mener mes compagnons à travers les sombres tunnels quand Inigo détecta un bruit, nous nous mimes donc en route vers l’origine de ce son.
Notre camarades Raglafart reconnut grâce à sa vision perçante des formes humanoïdes dont une, plus grande que les autres, peut être le fameux troll « longue-barbe », le contact de notre employeur.
Malheureusement, la puanteur se fit plus forte et je perdis presque conscience, butant alors dans une pierre déclenchant la fuite des trois individus.
Nous nous mimes alors à leur poursuite, mais je perdis rapidement leurs traces dans le dédale des couloirs.
Après quelques temps, Mes compagnons repérèrent un autre individu. Ce coup-ci nous parvînmes à le rejoindre avant qu’il ne fuit, en nous approchant de plus prêt nous reconnûmes un mineur, il était absolument terrifié plaqué contre la paroi du mur comme pris au piège.
Nous commençâmes donc à l’interroger sur la situation, il refusa d’abord de nous répondre criant au monstre. Inigo tenta alors de le rassurer et y parvint un peu.
Le mineur guère plus confiant, commença à nous expliquer qu’il y avait un monstre, qu’on ne pouvait faire confiance à personne, que ça pouvait être n’importe qui.
Nous lui expliquâmes qu’il serait plus en sécurité avec nous et qu’il devrait nous suivre.
Il finit par se laisser convaincre et nous accompagna. Je lui confiai alors la torche, en signe de confiance et également parce que mes forces déclinaient dans cette atmosphère délétère.
Nous continuâmes notre chemin, et un plus tard fûmes surpris par un autre mineur au regard révulsé, pressentant quelque chose je demandai à mes compagnons d’éviter de le tuer, pendant qu’il l’occupait je me concentrai pour voir dans l’astral, ceci me pris quelques j’instant dans ces conditions, je parvins néanmoins à apercevoir un lien magique reliant le corps à un autre endroit échappant à ma vision, j’avais vu juste, il était contrôlé.
J’avertis alors mes camarades et découvris une nouvelle facette de la personnalité de Mok que j’aurais préféré ignorer, frapper ce pauvre mineur semblait lui procurer un certains plaisirs sadique et c’est d’un coup de pied dans les parties génitale qu’il mit à terre notre assaillant. Notre compagnon d’infortune précédant nous ayant lâchement abandonné en fuyant avec la torche, nous obligeant à livrer une partie du combat dans le noir. Nous décidâmes de ligoter le nouveau venu et Mok le porta sur son épaule.
Nous reprîmes notre route tentant de suivre la direction des filaments et finîmes par découvrir ce qui ressemblait à un ascenseur de mine.
Nous décidâmes de faire un voyage en deux temps, d’abord Mok descendit tout seul puis nous le suivîmes, Raglafart de par sa condition nanique nous servait d’éclaireur profitant de sa vision thermique, cependant nous fûmes tous surpris quand alors que nous abordions la descente un individu commença à taper sur le mécanisme dans l’espoir de nous faire chuter.
Nôtres réaction fut prompte et témoignant d’un travail d’équipe certains. Je me concentrai pour observer l’astrale, Inigo maniait les leviers pour faire remonter l’ascenseur, et Raglafart repoussait l’agresseur avec sa lance. Quand nous fumes parvenus assez haut Inigo aida notre camarade et parvinrent à faire tomber notre agresseur dans l’inconscience.
Nous l’avions échappé belle, et j’avais obtenues une information capitale, les filaments n’avaient pas pour origines la caverne situé en dessous de nous mais bien cet étage, j’avais même une petite idée de la direction qu’il nous fallait suivre.
Nous Suivîmes donc la piste, après avoir pris toutes les précautions nécessaires à la remonter de Mok.
Après quelque virage nous perçûmes à nouveau le bruit de plusieurs individus. Raglafart nous confirma la présence des même trois silhouettes aperçus tantôt, ce coup-ci notre manœuvre se déroula avec succès, peut-être parce que je n’y partipais pas les émanations putride perturbant tous mes sens j’aurais sans doute finis par faire du bruit compromettant par la même la réussite de l’opération.
Nous parvînmes donc à cerner les différents individus et reconnurent le fameux « longue-barbe » qui décidément portait bien son nom. Après une nouvelle séance de discussion nous le convainquirent de nous suivre, apparemment un sorcier aurait tenté de prendre le contrôle de la mines mais aurais échoué à lancer son sort provoquant sa disparition et l’apparition du monstre, à moins qu’il ne fasse qu’un. Nous décidâmes de retourner à l’entrée de la caverne, point d’origine des évènements et corroborant avec mon intuition quant à l’origine des filaments. Etrangement nous atteignîmes le lieu sans trop de difficultés mais ne trouvâmes aucun adversaire, pourtant la présence venait bien de là. J’en étais sûr, nous finîmes par trouver trois objets susceptibles de former le réceptacle du monstre sans corps ; une amulette, une épée et le grimoire du sorcier. Mes compagnons incriminèrent immédiatement le livre, et je décidai de m’en assurer. Alors que je me concentrai une nouvelle fois pour voir dans l’astrale, je sentis le contact froid de l’acier s’enfonçant entre mes omoplates puis la chaleur de mon sang s’écoulant de la blessure, je me retournai et découvrit qu’un des mineurs accompagnant « longue-barbe » Venait de me poignarder, je demandais à mes compagnons de maitriser l’individus pendant que je reprenais ma concentration pour voir dans l’astrale, ceci me fournit la preuve que le grimoire était bien le responsable il me sembla même apercevoir à travers la couverture un minuscule passage vers l’astrale,d’où provenait le miasme ambiant.
L’agresseur maitriser par un magistral coup de pied dans les parties de la part de l’obsidien, ce qui semblait devenir son attaque favorite.
Je révélai mes informations à mes camarades, cependant il me répugnait de détruire le grimoire de mon collègue sorcier qui devait receler, une masse immense de savoir, et décidai de tenter ma chance en lançant un sort de dissipation de la magie.
Alors que le sort allait partir, l’horreur car il s’agissait bien de cela, tapis de l’autre côté de l’astrale en profitât pour me lancer une attaque, commença alors un combat de volonté, sans doute le plus dure combat que j’ai jamais eu à livrer de toute ma vie. Mais l’horreur était trop puissante et me contraignit à m’en prendre à mes propres camarades, je ne parvenais qu’a l’empêcher d’infliger des blessures trop sévères, et cela réclamait déjà toute ma volonté. Mok révélant décidément un sadisme sordide, pris plaisirs à m’infliger en retour de violents coup de pied dans les testicules, pendant qu’heureusement Inigo avait pris l’initiative d’agir sur la source du mal, sur le grimoire. Il planta alors sa lame dans la couverture traversant sans difficulté l’ouvrage pourtant épais. Cela eu pour effet de détourner l’attention de l’horreur, et je mis à profit cette occasion offerte par Inigo, pour bander toute ma volonté afin de repousser l’horreur dans le néant du plan astrale. J’avais gagné, j’étais libre, cependant un autre combat continuait, reprenant le contrôle de mon corps, je demandai à Mok de bien vouloir arrêter ce jeu auquel il prenait visiblement beaucoup de plaisir.
Malheureusement en reprenant les contrôle de mon corps, je repris également conscience de ma douleur et fut plié en deux au sol pendant qu’Inigo mettait le feu à ce qu’il restait de l’ouvrage. Après que la douleur fut calmée nous rassemblâmes la cargaison et décidâmes de la ramener avec l’aide de « longue-barbe ». Les lézards avait quitté le village ce qui rendit notre départ plus facile, pourquoi, comment, je laissais mon esprit diverger sur les infinies possibilités et réfléchissait toujours à la question quand nous rejoignîmes Varshar.
Il fut ravi de nous revoir avec ses marchandise et nous paya notre dû, il nous racheta également les globes oculaires des lézards.
Nous reprîmes donc notre route pour retrouver Urupa, et ses promesses de repos.
Notre trajet de retour ne fut perturbé que par deux événements notables.
Tout d’abord alors que nous venions seulement de partir nous croisâmes le chemin d’araignées géantes qui n’avait absolument rien à faire dans la région.
Après les avoir analysées puis vaincues, nous étudiâmes un peu la question sans parvenir à trouver un quelquonque indice quant à leur présence.
Enfin, Alors que nous approchions des limites des Monts, nous fûmes abordés par la même horde de brigand qu’à l’aller, ne comprenant pas le danger immédiatement nous les accueillîmes docilement. Cependant leurs intentions n’étaient pas aussi pacifiques qu’alors et avaient bien décidé de faire de nous leurs prisonniers et de confisquer nos biens.
Toujours dominer par leur supériorité numérique la situation semblait perdu. Mais c’était sans compter sur l’adresse de notre camarade Inigo qui leur proposa un duel au premier sang contre leur champion, en cas de victoire nous pouvions continuer notre route, en cas de défaite nous nous rendions sans résistance. Je dois reconnaître avoir alors envisagé notre défaite, et si j’avais du sélectionner un champion mon choix ce serait sans doute porter sur Mok, particulièrement dans le cas d’un duel au premier « sang ».
C’est donc le cœur serré que je vis approcher le champion du clan adverse, un géant massif et couverte métal, dans sa main une hache de guerre à la lame acérée. Chacun de ses pas faisaient rouler ses muscles puissants. Le premier sang de notre ami pourraient bien être son dernier devant la puissance que semblait posséder son adversaire.
Autant dire que dans le camp adverse le combat semblait jouer d’avance et personne ne pariait sur Inigo. Cependant les deux hommes se tinrent face à face confiant chacun dans leur propre force. Après les salutations rituelles d’usage, la tension était palpable, en jeu rien de moins que nos vies, en particulier celle de compagnon. Je songeais bien un instant à assister mon camarade, mais cela n’aurait pas été très honorables et aurai souillé l’image d’Inigo, je choisis de lui faire confiance, ceux en quoi j’eu bien raison. Le combat commença et s’acheva en un instant, dès le signal du départ donné Inigo se mit en flèche passa la défense de son adversaire pour le pourfendre en plein cœur et de ressortir sa lame, cela avait pris moins d’une seconde. Le géant lâcha son arme et lança alors un regard plein d’incompréhension à l’assistance, avant de tanguer puis de s’écrouler lourdement dans un bruit de ferraille. Impressionner par Inigo, je l’applaudis bruyamment, rompant par la même le silence qui s’était mis en place, le tout sur le regard mauvais de Mok qui attendait la réaction de la foule. Les brigands n’avait certes pas de manière, il conservait néanmoins un certains honneur et nul ne pouvait que nous avions remporté ce duel, c’est avec un regard glacé ou ce lisait de la colère qu’ils nous laissèrent reprendre notre route.
kant- Date d'inscription : 11/11/2011
Age : 38
Re: Earthdawn le lundi soir histoires diverses
Journal de Voyage de Karthar devalar
Le naufrage.
C’est ainsi que je débute, mon nouveau journal de voyage, comme pour mon grimoire je regretterais toujours la perte des anciens, sur lesquels j’avais passé tant d’heures à noircir les pages, à les lire et à les relire.
Cette œuvre inestimable n’est fort heureusement pas complètement perdue car confier au bon soin de notre ami Masarus et à la protection de la grande bibliothèque de Throal, j’ai d’ailleurs laissé les premières pages de mon grimoire vierges afin de recopier les passages manquant d’après les copies de Masarus.
Mais revenons-en à nos moutons, je regrette de n’avoir pas conservé les notes rédigées tout au long de nôtre aventure me faisant ainsi perdre une quantité pharaonique des détails primordiaux qui je le regrette resteront à jamais perdu pour l’histoire. Mais néanmoins cette histoire aussi mérite d’être contée et je pense qu’elle marquera un tournant dans l’histoire de notre petite compagnie.
Mais reprenons-en où s’arrêtais les dernières copies de Masarus, c'est-à-dire à notre retour à Urupa. Après avoir quitté Varshar qui nous remercia chaleureusement pour nôtre travail irréprochable dans notre mission d’escorte. C’est donc les bourses un peu plus alourdi et deux objets magique en poche que nous regagnâmes notre quartier à l’auberge dont l’aubergiste comme à l’accoutumé manifesta la joie de nous revoir. Nous commençâmes d’abord par aller voir nos différents maitres de professions afin de mettre en valeurs les enseignements de notre récent périple et de parfaire de nouvelles techniques, je me découvrais par exemple un talent innée pour voir dans l’astrale et un certains pour le « jonglage ». Ces leçons avaient néanmoins un cout et même si ce n’était que broutilles comparées à la science ainsi infusée, il nous fallut nous repartir les frais à Inigo, Mok, et moi, Afin de supporter les dépenses induites pour l’identification des objets magiques toujours en notre possession, une épée et un talisman. Notre compagnon Raglafart nous avais malheureusement abandonné pour partir étudier plus loin peut être à Throal, peut être reviendra-t-il un jour, où peut nous le croiserons de nouveaux, en attendant, je lui souhaite de meilleurs auspice où que ses pas le mène.
Nous étions de nouveau soumis à une bête questions pécuniaire quand nous nous résolûmes à chercher à nouveaux du travail, du travail qui paye bien, nous envoyâmes donc Inigo en Ville afin de nous rapporter les offres d’emploi susceptibles de nous correspondre, et comme d’habitudes dans ce genre de situation notre camarade Inigo excella, et nous ramena trois propositions d’emploi. La première revenait à escorter une caravane dans le désert, une mission de plusieurs mois, la deuxième correspondait à une escorte d’un bateaux sur le fleuve, pendant plusieurs semaines, et la dernière une mission d’escortes sur un bateaux faisant du canotage un peu plus au nord, une mission d’une semaine environ, bien car le capitaine, un certains Varech a perdu sa précédente cargaison. Après une discussion houleuse où les arguments se succédaient aux arguments, nous finîmes par nous décider pour cette dernière, la plus courte et la mieux payée.
C’est donc faisant fi du danger que nous prîmes le lendemain le chemin des quais, pris d’une nouvelle soif d’aventures, de mystères, et d’argent. Le capitaine nous attendait prêt au départ à bord de son navire qui avait déjà bien vécu et semblait posséder une certaine histoire. Il nous présenta celui qui allait devenir notre compagnon de traversée, un Skrang du nom de Pistache et qui allait participer comme nous à la mission d’escorte du navire.
La première partie du voyage se passa sans encombre, je fis de mon mieux pour observer la vie des marins dans leur quotidien et appris même à réaliser de jolies nœuds, peut être pourrais-je améliorer ma technique au crochet en incorporant certains de ces nœuds à mes prochaines broderies, une idée à tenter. Mes compagnons occupèrent leurs temps comme il le souhaitait Mok et Inigo s’entrainant dans de petits duels sur le pont pendant que Pistache disparaissait on ne sait où.
Nous finîmes néanmoins par atteindre notre destination, une petites crique où était bâtis un village principalement en bois flottés et où étais amarré plusieurs navires étranges, ils étaient plus longs que gros avec une seule voile triangulaire au milieu du navire et criblé d’orifice dont j’ignorais la fonction, à l’avant une figure de proue à l’allure serpentine complétais cette ensemble original.
En descendant nous fîmes la découverte du chef du village, qui semblait servir également d’aubergiste de tavernier, de vendeur, bref d’à peu près tout.
Notre capitaine nous ayant remis la moitié de notre solde à l’arrivée nous décidâmes d’occuper le temps qu’il nous laissa seul, pendant ses transactions, pour voir ce que proposait le village, force était de constater que ce lieu n’existerais sans doute pas sans ce type de réunion, perdue au milieu de nulle part et sans guère mieux à proposer que du poisson. Comme à mon habitude je fis un scan astral des lieux. Et j’y remarquais que les bagues du « Maire » était magiques et en averti mes compagnons, je remarquais également que certaines des cargaisons échangé l’étais également mais rien ne semblant particulièrement inquiétant nous repartîmes sans plus de questions.
(HRP version un peu plus rapide pour recoller avec les parties en cours)
Curieux de la cargaison, notre collègue fouilla dans et découvrit une caisse de statuette magique donc je fis le croquis.
Le début du trajet qui nous ramenait chez se passait plutôt bien quand un brouillard glaciale nous tomba dessus comme une tique sur un chien.
Au bout de quelques instants, dans cette purée de pois, nous remarquâmes la présence d’un grand navire aux voiles déchiré, s’agissait-il d’un de ces fameux vaisseaux fantômes dont parlent les légendes. Une chose est sûre il émanait de lui une sensation méphitique et cela ne venait pas uniquement de l’odeur même l’astrale était souillé.
C’est alors que nous les aperçûmes, des goules rangées sur le pont du navire parées à l’abordage. Ce qui débuta prompteusement avec une violence inouï, elles se jetèrent sur nous et les membres de l’équipage, s’en suivit un combat sauvage ou je pus mettre à l’épreuve mes nouveaux talents. Je faillis être tué au cours de ce combat et ne dus mon salut qu’à l’aide de Mes camarades Mok et Inigo, pendant ce temps-là notre nouveaux compagnons ne pensait qu’à s’enfuir et se débattait avec le nœud retenant une chaloupe.
Il faut dire que la particularité des goules est une infection qui progresse tant que celle qui vous a mordu reste en vie. Finalement au milieux du tumulte de la bataille alors que nous étions les derniers être vivant sur le pont nous repérâmes un hommes très pale avec de long cheveux blanc à la barre du navire qui semblait psalmodier des paroles inintelligibles, conscient que cela devait être le responsable de tous nos tourment, nous nous ruâmes sur lui afin de le vaincre, après avoir sauté sur le pont adverse et vaincu les goules qui nous barraient le passage.
Nous étions à quelques centimètres de lui prêt à abattre nos armes, pour le vaincre quand, il s’arrêta de chanter, soudain un grand flash nous parcouru.
Quand Je me réveillai à la sortie du plus grand mal de tête que j’aie jamais eu, je ne vis que le dos nue de la personne devant moi puis je remarquai plusieurs choses, des fers aux pieds, un pont de nage sous les fesses et une rame devant moi, alors que j’allais poser une question un coup de bâton m’expliqua la fonction de la rame, puis ce fut une longue succession de punition. Discuter avec son voisin un coup, regarder à gauche un coup, se lever un coup, poser une question, mal ramer un coup (ce qui arrivait souvent à cause de ma condition sportive) c’est donc complètement meurtris que nous arrivâmes à destination. Néanmoins en route j’avais appris qu’un certain nombre d’entre nous moi en particulier étions relié a quelque chose par le biais d’une chaîne de magie.
On nous demanda de déchargé le navire, ce fus difficile et laborieux. Je repérais mes amis mais ne pus m’approcher suffisamment pour m’entretenir avec eux nous avions sans doutes néanmoins des informations à partager mais cela devrait attendre que n’avais pas le temps de prendre mon sort de conversation silencieuse, c’est là que je ressenti son manque mon grimoire, on m’avait pris mon grimoire, et sans lui je ne pouvais employer que les sort précédemment appris,heureuseument il s’agissait de sort de combat qui pourrait se révéler particulièrement utiles au vu de notre situation, mais son absence plus encore que le manque de vêtements me faisait me sentir nu et vulnérable. Après une journée de maltraitance à décharger le navire nous fûmes amené à l’écart dans la forêt avec les autres un peu de nourriture nous fut donné et nous pûmes nous reposer, je discutais avec mes compagnons, le lendemain nous observerions la situation, récupèrerions tout ce qui pourrais nous être utile afin de préparer notre évasion au petit matin du jour suivant. Profitant ainsi de 2 nuits pour récupérer de nos blessures.
Le lendemain nous pûmes observer nos geôliers des hommes de l’est à la peau sombre je reconnus d’ailleurs le capitaine avec qui nous avions commercé, le deuxième chef était un magicien possédant des bagues magique ressemblant étrangement à celles du chef du village. Ces malandrins devaient vendre leurs cargaison, la récupérer puis la revendre, à voir leur cachette une caverne aménagé près de la plage cela devait faire quelques années que leur manège durait et semblait plutôt leur réussir. En termes de matériel nous ne parvins me à réunir que quelques morceaux de métal et une corde.
Le soir venus nous expliquâmes notre projet aux autres prisonniers, et tentâmes de les convaincre de nous assister, ce qui fonctionna plutôt bien quelques heures avant l’aube, Mok et Inigo brisèrent nos entraves et accompagné d’une vingtaine d’homme nous décidâmes de rejoindre la caverne, nous avions déjà pu remarquer que ces lieux contenait de l’équipement suffisant pour tous nos hommes qui nous aiderait à nous emparer d’un bateau pour nous enfuir.
Je nous débarrassais prestement des sentinelles gardant le chemin, la douleur et la colère ayant rendu mes sorts particulièrement efficaces.
Nous nous engouffrâmes alors dans la caverne et trouvâmes rapidement des vêtements de luxes des armes et des armures, nous continuâmes à fouiller un peu dans l’espoir de retrouver nos possession mais il fallait se rendre à l’évidence nul trace de ces objets.
Du bruit commençant à nous revenir d’en haut nous décidâmes de passer à la phase deux de notre plan déguiser en ennemi nous nous emparâmes d’un vaisseau. En fouillant la cabine du capitaine nous découvrîmes outres un coffret de gemmes bien remplis, un navire dans une bouteille entouré de brumes un miroir horrifiques que je conseillai de jeter à à la mer dès que possible et un astrolabe magique.
Le bateau ressemblant étrangement à celui que nous avions affronté et étant relié magiquement à lui nous décidâmes de le garder sous bonnes garde.
Ignorant totalement notre position nous finîmes néanmoins par retrouver Urupa.
Sur place nous envoyâmes analyser nos différents objet magique en particulier le bateaux.
Nous offris le bateau et quelques gemmes à nos compagnons d’infortune qui partirent prendre le large. La bonne surprise fut que ce coffret de gemmes avait une immense valeur, ce qui nous permit de faire quelque achat, la mauvaise c’est que mon maitre refusa de m’enseigner de nouveaux secrets des arcanes, m’expliquant qu’il n’était déjà pas sûr de ne pas devoir me tuer sur le champ.
L’analyse des objets donna ses résultat, le bateau contenait une partie de notre âme et il devait y avoir un objet avec permettant de le Controller. Ventre-dieu, le miroir il nous fallait le récupérer mais comment retourner là-bas heureusement la boussole nous fournit la solution, il suffisait de se concentrer sur un lieu pour que la boussole nous en donne le chemin.
Entre temps les marins revinrent nous annonçant que certains d’entre eux était morts, on en déduit qu’il fallait rester à proximité du navire. Nous décidâmes donc de mettre sur pied une expédition avec pour but de retrouver le miroir nous achetâmes donc un navire complétâmes son équipage et embauchèrent un élémentaliste qui pourrait nous lancer une respiration aquatique.
Nous voguâmes donc en direction du lieu et finîmes par retrouver le miroir, puis nous repartîmes en essayant d’éviter d’attirer l’attention.
Inigo garderait la bouteille et Mok le miroir soigneusement entouré dans un linge.
Malheureusement, ces précautions ne furent pas suffisantes et la magie du vaisseau corrompis l’esprit d’un des marins qui un soir vola le bouchon de la bouteille, alors le vaisseau et ces goules réapparurent et il nous fallut les combattre à nouveaux, je parvins à tuer le marins qui avais pris place dans la vigie et chuta heureusement sur le pont du navire.
Nous nous précipitâmes sur le bouchon et ce faisant j’attirais l’attention des goules qui me laissèrent pour mort c’est alors que je me réveillais dans un bateau avec mes affaire d’habitudes, seules au milieux des goules, un homme me faisait signe d’avancer, je le reconnaissais c’était la liche du navire ennemi, cependant je ne pouvais rien faire d’autre que lui obéir, j’entendais des mots mais ne les comprenait pas, il semblait discuter avec une faille dans l4astrale et commença à me caresser les cheveux, puis il me demanda de sortir quelque chose de mon sac et comme je lui tendais il le prit et le jeta par la faille. Un sourire carnassier é égailla son visage.
Puis je me réveillais sur le pont de notre navire sous le regard bienveillant de mes camarades.
Rapidement ils me donnèrent l’information de ce qu’il s’était passé, tout d’abord ils étaient parvenus à fermer la bouteille, les goules et le navire avait alors disparut, cependant j’allais mourir mon dernier espoir reposait sur l’onguent de la dernière chance que nous avions avec nous avant d’être capturé par la bouteille.
Ils essayèrent donc grâce au miroir de faire sortir l’onguent, la liche se refléta dans le miroir et leur proposa un deal, la potion et en échange nous devions lui ramener une clé nous avions 3 mois pour parvenir à cette missions ou elle se débarrasserait de nos âmes.
Ils acceptèrent pour me sauver, et Inigo m’appliqua l’onguent qui me permit de revenir à moi.
Je les remerciai chaleureusement pour ma vie, puis la fit part qu’accomplir cette quête pour la créature ne me paraissait guère une bonne idée et qu’il faudrait trouver une autre solution.
Bref la fin du voyage se déroula sans incident notable et nous régnâmes Urupa, nous donnâmes le miroir afin qu’il soit analysé et en parallèle enquêtions sur la liche et le mystérieux objet que nous devions retrouver.
Nous en étions toujours à rechercher des renseignements quand une personne de la guilde de magie vint nous demander de nous y présenter le lendemain pour assister à une expérience, nous nous y sommes alors présenter, et sur place un assistant nous a expliqué qu’avec cette expérience, il espérait nous permettre de récupérer nos âmes. Pour moi le jeu en valait la chandelle. C’est plein d’un espoir que je n’avais plus connu depuis plusieurs semaines que je me plaçais à l’arrière de la bouteille, Mok sur le flan gauche, Inigo sur le flanc droit
Le Skrang commença à incarner protéger par 2 garde du corps trolls, et la bouteille commença à tourner sur elle-même, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement.
Après avoir atteint une certaine vitesse, le bouchon sauta et une volute de brume commença à s’en échapper, rapidement rejointe par notre ancien camarade que nous avions perdu depuis la fois ou nos âmes avaient été capturées.
Une vision dans l’astral m’appris que ce volute de brouillard qui commençait à tourbillonner sur lui-même était en fait une partie du corps de la liche, je décidais alors de concentrer mes assaut dessus ce qui eut pour effet d’attirer son attention.
La bouteille tournantes commença alors à cracher goules et objet aléatoirement ce qui fi que j’étais moi et me camarades de mieux en mieux équiper au cours de la bataille.
Inigo vint me donner un coup de main pendant que Mok s’occupait des goules et que notre compagnon retenait la bouteille pour pouvoir la boucher dès le moment venu.
Pendant ce temps le Skrang assistant nous demandait de tenir un peu plus qu’il sentait que nos âmes étaient presque là.
Ceci me fournit le coup d’adrénaline nécessaire pour vaincre l’horreur qui c’était retourné contre Inigo pour sauver notre compagnon et protéger Mok.
Nos décidèrent alors enfin de sortir et nous refermâmes promptement la bouteille, les goules disparurent et je remerciai chaleureusement l’assistant, puis ils emportèrent, la bouteille et le miroir et je me sentis comme soulagé d’un poids nous fêtâmes cette événement le soir et je pus enfin reprendre ma voie dans l’exploration des arcanes, mes compagnons partir faire des emplettes et pour ma part je n’acquis qu’un nouvel onguent le mien ayant été consommé.
Ils ne nous plus à présent qu’à décider de notre prochaine destination, plusieurs choix s’offrant à nous.
Partir cherchez la clé ?
Partir récupérer les trésors de l’Ile de pirates ?
Reprendre l’exploration du Cairn ?
Que de choix magnifique s’offre à nous maintenant que nous pouvons recommencer à vivre.
Le naufrage.
C’est ainsi que je débute, mon nouveau journal de voyage, comme pour mon grimoire je regretterais toujours la perte des anciens, sur lesquels j’avais passé tant d’heures à noircir les pages, à les lire et à les relire.
Cette œuvre inestimable n’est fort heureusement pas complètement perdue car confier au bon soin de notre ami Masarus et à la protection de la grande bibliothèque de Throal, j’ai d’ailleurs laissé les premières pages de mon grimoire vierges afin de recopier les passages manquant d’après les copies de Masarus.
Mais revenons-en à nos moutons, je regrette de n’avoir pas conservé les notes rédigées tout au long de nôtre aventure me faisant ainsi perdre une quantité pharaonique des détails primordiaux qui je le regrette resteront à jamais perdu pour l’histoire. Mais néanmoins cette histoire aussi mérite d’être contée et je pense qu’elle marquera un tournant dans l’histoire de notre petite compagnie.
Mais reprenons-en où s’arrêtais les dernières copies de Masarus, c'est-à-dire à notre retour à Urupa. Après avoir quitté Varshar qui nous remercia chaleureusement pour nôtre travail irréprochable dans notre mission d’escorte. C’est donc les bourses un peu plus alourdi et deux objets magique en poche que nous regagnâmes notre quartier à l’auberge dont l’aubergiste comme à l’accoutumé manifesta la joie de nous revoir. Nous commençâmes d’abord par aller voir nos différents maitres de professions afin de mettre en valeurs les enseignements de notre récent périple et de parfaire de nouvelles techniques, je me découvrais par exemple un talent innée pour voir dans l’astrale et un certains pour le « jonglage ». Ces leçons avaient néanmoins un cout et même si ce n’était que broutilles comparées à la science ainsi infusée, il nous fallut nous repartir les frais à Inigo, Mok, et moi, Afin de supporter les dépenses induites pour l’identification des objets magiques toujours en notre possession, une épée et un talisman. Notre compagnon Raglafart nous avais malheureusement abandonné pour partir étudier plus loin peut être à Throal, peut être reviendra-t-il un jour, où peut nous le croiserons de nouveaux, en attendant, je lui souhaite de meilleurs auspice où que ses pas le mène.
Nous étions de nouveau soumis à une bête questions pécuniaire quand nous nous résolûmes à chercher à nouveaux du travail, du travail qui paye bien, nous envoyâmes donc Inigo en Ville afin de nous rapporter les offres d’emploi susceptibles de nous correspondre, et comme d’habitudes dans ce genre de situation notre camarade Inigo excella, et nous ramena trois propositions d’emploi. La première revenait à escorter une caravane dans le désert, une mission de plusieurs mois, la deuxième correspondait à une escorte d’un bateaux sur le fleuve, pendant plusieurs semaines, et la dernière une mission d’escortes sur un bateaux faisant du canotage un peu plus au nord, une mission d’une semaine environ, bien car le capitaine, un certains Varech a perdu sa précédente cargaison. Après une discussion houleuse où les arguments se succédaient aux arguments, nous finîmes par nous décider pour cette dernière, la plus courte et la mieux payée.
C’est donc faisant fi du danger que nous prîmes le lendemain le chemin des quais, pris d’une nouvelle soif d’aventures, de mystères, et d’argent. Le capitaine nous attendait prêt au départ à bord de son navire qui avait déjà bien vécu et semblait posséder une certaine histoire. Il nous présenta celui qui allait devenir notre compagnon de traversée, un Skrang du nom de Pistache et qui allait participer comme nous à la mission d’escorte du navire.
La première partie du voyage se passa sans encombre, je fis de mon mieux pour observer la vie des marins dans leur quotidien et appris même à réaliser de jolies nœuds, peut être pourrais-je améliorer ma technique au crochet en incorporant certains de ces nœuds à mes prochaines broderies, une idée à tenter. Mes compagnons occupèrent leurs temps comme il le souhaitait Mok et Inigo s’entrainant dans de petits duels sur le pont pendant que Pistache disparaissait on ne sait où.
Nous finîmes néanmoins par atteindre notre destination, une petites crique où était bâtis un village principalement en bois flottés et où étais amarré plusieurs navires étranges, ils étaient plus longs que gros avec une seule voile triangulaire au milieu du navire et criblé d’orifice dont j’ignorais la fonction, à l’avant une figure de proue à l’allure serpentine complétais cette ensemble original.
En descendant nous fîmes la découverte du chef du village, qui semblait servir également d’aubergiste de tavernier, de vendeur, bref d’à peu près tout.
Notre capitaine nous ayant remis la moitié de notre solde à l’arrivée nous décidâmes d’occuper le temps qu’il nous laissa seul, pendant ses transactions, pour voir ce que proposait le village, force était de constater que ce lieu n’existerais sans doute pas sans ce type de réunion, perdue au milieu de nulle part et sans guère mieux à proposer que du poisson. Comme à mon habitude je fis un scan astral des lieux. Et j’y remarquais que les bagues du « Maire » était magiques et en averti mes compagnons, je remarquais également que certaines des cargaisons échangé l’étais également mais rien ne semblant particulièrement inquiétant nous repartîmes sans plus de questions.
(HRP version un peu plus rapide pour recoller avec les parties en cours)
Curieux de la cargaison, notre collègue fouilla dans et découvrit une caisse de statuette magique donc je fis le croquis.
Le début du trajet qui nous ramenait chez se passait plutôt bien quand un brouillard glaciale nous tomba dessus comme une tique sur un chien.
Au bout de quelques instants, dans cette purée de pois, nous remarquâmes la présence d’un grand navire aux voiles déchiré, s’agissait-il d’un de ces fameux vaisseaux fantômes dont parlent les légendes. Une chose est sûre il émanait de lui une sensation méphitique et cela ne venait pas uniquement de l’odeur même l’astrale était souillé.
C’est alors que nous les aperçûmes, des goules rangées sur le pont du navire parées à l’abordage. Ce qui débuta prompteusement avec une violence inouï, elles se jetèrent sur nous et les membres de l’équipage, s’en suivit un combat sauvage ou je pus mettre à l’épreuve mes nouveaux talents. Je faillis être tué au cours de ce combat et ne dus mon salut qu’à l’aide de Mes camarades Mok et Inigo, pendant ce temps-là notre nouveaux compagnons ne pensait qu’à s’enfuir et se débattait avec le nœud retenant une chaloupe.
Il faut dire que la particularité des goules est une infection qui progresse tant que celle qui vous a mordu reste en vie. Finalement au milieux du tumulte de la bataille alors que nous étions les derniers être vivant sur le pont nous repérâmes un hommes très pale avec de long cheveux blanc à la barre du navire qui semblait psalmodier des paroles inintelligibles, conscient que cela devait être le responsable de tous nos tourment, nous nous ruâmes sur lui afin de le vaincre, après avoir sauté sur le pont adverse et vaincu les goules qui nous barraient le passage.
Nous étions à quelques centimètres de lui prêt à abattre nos armes, pour le vaincre quand, il s’arrêta de chanter, soudain un grand flash nous parcouru.
Quand Je me réveillai à la sortie du plus grand mal de tête que j’aie jamais eu, je ne vis que le dos nue de la personne devant moi puis je remarquai plusieurs choses, des fers aux pieds, un pont de nage sous les fesses et une rame devant moi, alors que j’allais poser une question un coup de bâton m’expliqua la fonction de la rame, puis ce fut une longue succession de punition. Discuter avec son voisin un coup, regarder à gauche un coup, se lever un coup, poser une question, mal ramer un coup (ce qui arrivait souvent à cause de ma condition sportive) c’est donc complètement meurtris que nous arrivâmes à destination. Néanmoins en route j’avais appris qu’un certain nombre d’entre nous moi en particulier étions relié a quelque chose par le biais d’une chaîne de magie.
On nous demanda de déchargé le navire, ce fus difficile et laborieux. Je repérais mes amis mais ne pus m’approcher suffisamment pour m’entretenir avec eux nous avions sans doutes néanmoins des informations à partager mais cela devrait attendre que n’avais pas le temps de prendre mon sort de conversation silencieuse, c’est là que je ressenti son manque mon grimoire, on m’avait pris mon grimoire, et sans lui je ne pouvais employer que les sort précédemment appris,heureuseument il s’agissait de sort de combat qui pourrait se révéler particulièrement utiles au vu de notre situation, mais son absence plus encore que le manque de vêtements me faisait me sentir nu et vulnérable. Après une journée de maltraitance à décharger le navire nous fûmes amené à l’écart dans la forêt avec les autres un peu de nourriture nous fut donné et nous pûmes nous reposer, je discutais avec mes compagnons, le lendemain nous observerions la situation, récupèrerions tout ce qui pourrais nous être utile afin de préparer notre évasion au petit matin du jour suivant. Profitant ainsi de 2 nuits pour récupérer de nos blessures.
Le lendemain nous pûmes observer nos geôliers des hommes de l’est à la peau sombre je reconnus d’ailleurs le capitaine avec qui nous avions commercé, le deuxième chef était un magicien possédant des bagues magique ressemblant étrangement à celles du chef du village. Ces malandrins devaient vendre leurs cargaison, la récupérer puis la revendre, à voir leur cachette une caverne aménagé près de la plage cela devait faire quelques années que leur manège durait et semblait plutôt leur réussir. En termes de matériel nous ne parvins me à réunir que quelques morceaux de métal et une corde.
Le soir venus nous expliquâmes notre projet aux autres prisonniers, et tentâmes de les convaincre de nous assister, ce qui fonctionna plutôt bien quelques heures avant l’aube, Mok et Inigo brisèrent nos entraves et accompagné d’une vingtaine d’homme nous décidâmes de rejoindre la caverne, nous avions déjà pu remarquer que ces lieux contenait de l’équipement suffisant pour tous nos hommes qui nous aiderait à nous emparer d’un bateau pour nous enfuir.
Je nous débarrassais prestement des sentinelles gardant le chemin, la douleur et la colère ayant rendu mes sorts particulièrement efficaces.
Nous nous engouffrâmes alors dans la caverne et trouvâmes rapidement des vêtements de luxes des armes et des armures, nous continuâmes à fouiller un peu dans l’espoir de retrouver nos possession mais il fallait se rendre à l’évidence nul trace de ces objets.
Du bruit commençant à nous revenir d’en haut nous décidâmes de passer à la phase deux de notre plan déguiser en ennemi nous nous emparâmes d’un vaisseau. En fouillant la cabine du capitaine nous découvrîmes outres un coffret de gemmes bien remplis, un navire dans une bouteille entouré de brumes un miroir horrifiques que je conseillai de jeter à à la mer dès que possible et un astrolabe magique.
Le bateau ressemblant étrangement à celui que nous avions affronté et étant relié magiquement à lui nous décidâmes de le garder sous bonnes garde.
Ignorant totalement notre position nous finîmes néanmoins par retrouver Urupa.
Sur place nous envoyâmes analyser nos différents objet magique en particulier le bateaux.
Nous offris le bateau et quelques gemmes à nos compagnons d’infortune qui partirent prendre le large. La bonne surprise fut que ce coffret de gemmes avait une immense valeur, ce qui nous permit de faire quelque achat, la mauvaise c’est que mon maitre refusa de m’enseigner de nouveaux secrets des arcanes, m’expliquant qu’il n’était déjà pas sûr de ne pas devoir me tuer sur le champ.
L’analyse des objets donna ses résultat, le bateau contenait une partie de notre âme et il devait y avoir un objet avec permettant de le Controller. Ventre-dieu, le miroir il nous fallait le récupérer mais comment retourner là-bas heureusement la boussole nous fournit la solution, il suffisait de se concentrer sur un lieu pour que la boussole nous en donne le chemin.
Entre temps les marins revinrent nous annonçant que certains d’entre eux était morts, on en déduit qu’il fallait rester à proximité du navire. Nous décidâmes donc de mettre sur pied une expédition avec pour but de retrouver le miroir nous achetâmes donc un navire complétâmes son équipage et embauchèrent un élémentaliste qui pourrait nous lancer une respiration aquatique.
Nous voguâmes donc en direction du lieu et finîmes par retrouver le miroir, puis nous repartîmes en essayant d’éviter d’attirer l’attention.
Inigo garderait la bouteille et Mok le miroir soigneusement entouré dans un linge.
Malheureusement, ces précautions ne furent pas suffisantes et la magie du vaisseau corrompis l’esprit d’un des marins qui un soir vola le bouchon de la bouteille, alors le vaisseau et ces goules réapparurent et il nous fallut les combattre à nouveaux, je parvins à tuer le marins qui avais pris place dans la vigie et chuta heureusement sur le pont du navire.
Nous nous précipitâmes sur le bouchon et ce faisant j’attirais l’attention des goules qui me laissèrent pour mort c’est alors que je me réveillais dans un bateau avec mes affaire d’habitudes, seules au milieux des goules, un homme me faisait signe d’avancer, je le reconnaissais c’était la liche du navire ennemi, cependant je ne pouvais rien faire d’autre que lui obéir, j’entendais des mots mais ne les comprenait pas, il semblait discuter avec une faille dans l4astrale et commença à me caresser les cheveux, puis il me demanda de sortir quelque chose de mon sac et comme je lui tendais il le prit et le jeta par la faille. Un sourire carnassier é égailla son visage.
Puis je me réveillais sur le pont de notre navire sous le regard bienveillant de mes camarades.
Rapidement ils me donnèrent l’information de ce qu’il s’était passé, tout d’abord ils étaient parvenus à fermer la bouteille, les goules et le navire avait alors disparut, cependant j’allais mourir mon dernier espoir reposait sur l’onguent de la dernière chance que nous avions avec nous avant d’être capturé par la bouteille.
Ils essayèrent donc grâce au miroir de faire sortir l’onguent, la liche se refléta dans le miroir et leur proposa un deal, la potion et en échange nous devions lui ramener une clé nous avions 3 mois pour parvenir à cette missions ou elle se débarrasserait de nos âmes.
Ils acceptèrent pour me sauver, et Inigo m’appliqua l’onguent qui me permit de revenir à moi.
Je les remerciai chaleureusement pour ma vie, puis la fit part qu’accomplir cette quête pour la créature ne me paraissait guère une bonne idée et qu’il faudrait trouver une autre solution.
Bref la fin du voyage se déroula sans incident notable et nous régnâmes Urupa, nous donnâmes le miroir afin qu’il soit analysé et en parallèle enquêtions sur la liche et le mystérieux objet que nous devions retrouver.
Nous en étions toujours à rechercher des renseignements quand une personne de la guilde de magie vint nous demander de nous y présenter le lendemain pour assister à une expérience, nous nous y sommes alors présenter, et sur place un assistant nous a expliqué qu’avec cette expérience, il espérait nous permettre de récupérer nos âmes. Pour moi le jeu en valait la chandelle. C’est plein d’un espoir que je n’avais plus connu depuis plusieurs semaines que je me plaçais à l’arrière de la bouteille, Mok sur le flan gauche, Inigo sur le flanc droit
Le Skrang commença à incarner protéger par 2 garde du corps trolls, et la bouteille commença à tourner sur elle-même, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement.
Après avoir atteint une certaine vitesse, le bouchon sauta et une volute de brume commença à s’en échapper, rapidement rejointe par notre ancien camarade que nous avions perdu depuis la fois ou nos âmes avaient été capturées.
Une vision dans l’astral m’appris que ce volute de brouillard qui commençait à tourbillonner sur lui-même était en fait une partie du corps de la liche, je décidais alors de concentrer mes assaut dessus ce qui eut pour effet d’attirer son attention.
La bouteille tournantes commença alors à cracher goules et objet aléatoirement ce qui fi que j’étais moi et me camarades de mieux en mieux équiper au cours de la bataille.
Inigo vint me donner un coup de main pendant que Mok s’occupait des goules et que notre compagnon retenait la bouteille pour pouvoir la boucher dès le moment venu.
Pendant ce temps le Skrang assistant nous demandait de tenir un peu plus qu’il sentait que nos âmes étaient presque là.
Ceci me fournit le coup d’adrénaline nécessaire pour vaincre l’horreur qui c’était retourné contre Inigo pour sauver notre compagnon et protéger Mok.
Nos décidèrent alors enfin de sortir et nous refermâmes promptement la bouteille, les goules disparurent et je remerciai chaleureusement l’assistant, puis ils emportèrent, la bouteille et le miroir et je me sentis comme soulagé d’un poids nous fêtâmes cette événement le soir et je pus enfin reprendre ma voie dans l’exploration des arcanes, mes compagnons partir faire des emplettes et pour ma part je n’acquis qu’un nouvel onguent le mien ayant été consommé.
Ils ne nous plus à présent qu’à décider de notre prochaine destination, plusieurs choix s’offrant à nous.
Partir cherchez la clé ?
Partir récupérer les trésors de l’Ile de pirates ?
Reprendre l’exploration du Cairn ?
Que de choix magnifique s’offre à nous maintenant que nous pouvons recommencer à vivre.
kant- Date d'inscription : 11/11/2011
Age : 38
Re: Earthdawn le lundi soir histoires diverses
PISTACHE????????
T AS ENTENDU CA OU??
IGNOBLE FELON
IL SE NOMME ZASSALAASS
T AS ENTENDU CA OU??
IGNOBLE FELON
IL SE NOMME ZASSALAASS
greenberet- Date d'inscription : 30/10/2010
Localisation : Ouest lyonnais. 48ans
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