ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
+4
Lares
kerlaft
thorin-thonderson
Alkadrim
8 participants
Page 2 sur 3
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Ok, Larès, je t'ai envoyé un mp mais ça me fait un truc bizzare, si tu n'as rien recçu, envoie moi ton mail en mp...
Thorin... je te fais confiance et mage ou nain les deux vont bien. Si Tu fais un nain, j'ai une idée toute faite pour t'introduire... si tu fais un mage.... et bien je trouverai facilement... et il sera bien utile. Si tu as le manuel c'est bien sinon à tous : un lien ou le manuel du joueur est consultable (après inscription au forum) : http://www.donjondudragon.fr/
Il s'agit du manuel des Joueurs ADD 2nde édition.
A tous : si vous m'envoyez votre mail je vous transmets une feuille de pj.
A tous : un autre jet est nécessaire : un pourcentage fort dont vous diviserez le résultat par deux pour obtenir une ébauche de votre Maîtrise de l'Esprit.
A tous, à part background ad'hoc, vous partez avec un niveau d'héroisme de 0. On gagne ces points en tentant des actions ou des scènes héroïques (proche des points de destin).
Voili !
Thorin... je te fais confiance et mage ou nain les deux vont bien. Si Tu fais un nain, j'ai une idée toute faite pour t'introduire... si tu fais un mage.... et bien je trouverai facilement... et il sera bien utile. Si tu as le manuel c'est bien sinon à tous : un lien ou le manuel du joueur est consultable (après inscription au forum) : http://www.donjondudragon.fr/
Il s'agit du manuel des Joueurs ADD 2nde édition.
A tous : si vous m'envoyez votre mail je vous transmets une feuille de pj.
A tous : un autre jet est nécessaire : un pourcentage fort dont vous diviserez le résultat par deux pour obtenir une ébauche de votre Maîtrise de l'Esprit.
A tous, à part background ad'hoc, vous partez avec un niveau d'héroisme de 0. On gagne ces points en tentant des actions ou des scènes héroïques (proche des points de destin).
Voili !
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
jets de carac envoyé
thorin-thonderson- Date d'inscription : 20/02/2014
Age : 45
Localisation : lyon 9eme
Suite pour le 17/06/2014
Coucou tous ! Juste pour rappeler que la seconde partie du roi à la couronne de fer se passe toujours chez moi demain, à 19h. On attendra Thorin vers 20h, 20h30... Je mettrai sur ce post un résumé de la dernière partie dans l'après-midi, et de toutes façons, je l'imprimerai...
Allez, à demain ! Et bonne journée !
Allez, à demain ! Et bonne journée !
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Chacun amène un truc et on mange ensemble ?
Lares- Date d'inscription : 05/09/2010
Age : 47
Localisation : Lyon 6
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Oui ! Bonne idée ! Ça permettra de papoter en attendant ! Je ferai une grosse salade : tt le monde aime le melon , le jambon, la moza, les tomates ???
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Ok ! J'apporterai des fruits !
Archi- Date d'inscription : 08/09/2008
Age : 48
Localisation : Thil (01)
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Les fruits, c'est frais, c'est l'été... C'est parfait ! Hihihi
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Je ne sais pas du tout quoi apporter, j'improviserai selon les courses. Peut être une pizza ?
Lares- Date d'inscription : 05/09/2010
Age : 47
Localisation : Lyon 6
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Une pizza c'est très bon, foi de gibbon... Bon, ok, j'arrête ! Ok Larès... Mais si c'est compliqué laisse tomber : y en a toujours trop !
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Donc pour équilibrer en bon étudiant un peu fauché ces temps-ci, je n'apporterais rien
Sinon vivement demain !
Sinon vivement demain !
soulclone- Date d'inscription : 30/09/2013
Age : 33
Localisation : Lyon 9ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
An 351, Première lune de Frudor
L'été est là mais une moiteur orageuse règne sur les terres d'Hiver.
Le Prince d'Hiver, Lancegal, était inquiet. Car aux dernières nouvelles ses troupes subissaient de lourdes pertes dans les Rifs, contre le mystérieux Sir de Morémor. Quant au contingent envoyé pour explorer les anciens forts de Rïn Dorïn, sur le front d'Est, les rumeurs disaient qu'il s'était volatilisé... Alors, lorsque lui parvinrent les missives de Cérès de Paros, un des 23 sages du conseil Kéliléen, il se trouva dans un bel embarras. Car Cérès compte dans ses plans. Et parce qu’aussi celui-ci lui faisait part de mouvements orcs inhabituels dans les marches de Bolème, cette terre franche coincée entre les terres Kéliléennes et les terres d'Hiver.
Alors, réunissant ses meilleurs conseillers d'Hiver et d'ailleurs, et ses prêtres de Tror, il trouva la solution...
Une antique tradition avait amené à son service 2 jeunes nains de la lointaine et mythique cité naine de Talor Drek, les jeunes barbes Kalek et Glordel du clan Arador. Il s'agissait là de jeunes nains, certes fougueux et turbulents, mais dont la valeur se devinait déjà... et sans nul doute, la mission qui leur serait attribuée contribuerait à les familiariser aux us des humains de la région. Par ailleurs, certains de ses conseillers lui soufflèrent le nom d'autres jeunes femmes et hommes au destin prometteur, sur lesquels confiance pouvait être mise. Il s'agissait de cette flamboyante paladine de Tror, cette Leïla Sans Peur et Sans Reproche, que quelques uns à la Cours adulaient déjà. Puis, un familier du Prince lui avait murmuré un autre nom... ce diable d'Eogân le Rouge... un scalde étrange au talent déjà affirmé... et même si quelques uns s'étonnèrent de l'évocation de son nom, lorsqu'il apparut, tout fringuant et armé, les protestations cessèrent aussitôt. Enfin, dans ce monde sévère, on sait que seuls les fous peuvent encore gouverner... et la grande prêtresse d'Archéon Tempore proposa son soutien. Il est vrai que le prince hésita longuement, connaissant la réputation de ce fantasque sujet. Mais au bout d'un moment, il acquiesça gravement, et dans l'éclat de son regard clair, on aurait pu lire comme une mélancolie...
"Dans toute folie, dit-il, se lit la volonté des dieux... que vienne donc ce Saint Prêtre, ce Pacôme...."
C'est ainsi que votre groupe fut formé.
Alors, il vous fut mandé d'aller trouver ce Sage Kéliléen, ce Cérès de Paros. Vous fut confié une importante lettre de change de 5000 po pour marchander des informations avec cet homme. Le Prince et ses conseillers vous chargèrent de vous enquérir de la fiabilité de cet homme et d'enquêter sur les mouvements d'orcs de la région.
Partis pour Bolème, vous voyageâtes rapidement... et par grand miracle en ces temps troublés, vous ne fîtes nulle mauvaise rencontre jusqu'aux portes de Bolème. Là, des gardes vous arrêtèrent mais après un court échange, il vous fut permis d'attacher vos montures aux écuries publiques, ce que firent les deux inséparables nains, juste avant que vous ne rejoignîtes cette magnificiente auberge du Cerf Argenté. Un bien bel et rustique établissement, flanqué à la falaise, quelque peu isolé par rapport au reste du village. Vous la rejoignîtes après avoir gravis quelques volées de marches, non sans contempler en contrebas les noires silhouettes des édifices parfois ruinés de cette cité au passé plus glorieux. C'est à l'intérieur que vous deviez rencontrer ce Cérès de Paros. C'est à l'écurie de l'auberge que furent arnachés les derniers chevaux.
A l'intérieur, régnait une certaine touffeur, et une grande animation. Car l'aubergiste rabrouait ses filles, et le vieil Allàn écumait quelques godets d'hydromel. Alors que les deux nains et la Paladine se renseignaient sur la présence du Sage, l'ambiance se faisaient de plus en plus délétère, et tandis qu'Eogân observait, Pacôme se glissait jusqu'aux confins de la salle, empoignait un tabouret et grimpant dessus, sollicitait l'attention de l'assistance à force de quolibets, chansons et calembours... entreprise risquée, car observâtes que le publics était rétif... tous étaient d'anciens mercenaires, des croisés, des déserteurs, des aventuriers de fortune diverse tous témoins des horreurs de la guerre, tous mêlés et aux intérêts contraires... Le pauvre Pacôme semblait parti pour galère inextricable... pourtant, par le miracle d'Archéon, le prêtre parvint un instant à délasser l'atmosphère.
Pendant ce temps, Eogân le Rouge observait plus particulièrement une petite tablée où trois hommes semblaient en forte discussion. Un homme fort, à la barbe rousse, à l’œil borgne dissimulé sous un bandeau, discutait avec un autre individu, un grand élancé, vêtu d'un tabard de cuir sur sa maille, et tous deux ensuite s’entretenaient avec un individu fort discret vêtu de noir, à la capuche rabattue... Il y avait aussi des croisés d'Hiver et tout un tas d'autres hommes d'armes.
Vous trouvâtes ensuite, le sage... qui se cachait derrière une alcôve, au rez-de-chaussée, sous la mezzanine...
Alors enfin vous discutâtes. Il vous fit part de toute son inquiétude, car son garde du corps, un certain Sigil, parti enquêter sur les orcs n'avait plus donné signe de vie depuis 3 jours. Il échangea un petit codex contre la lettre de change que lui remirent les nains Kalek et Glordel... C'est alors que tout s'accéléra... il y eu le tonnerre... puis quelques minutes plus tard un grand tumulte se fit à l'extérieur. Des bruits d'armes et des cris de souffrance...
Tous dans l'auberge se pétrifièrent... et même vous, tout saisis de stupeur, vous n'osâtes point ciller... Alors, au bout de quelque temps, vint un senteminier épaulant un des villageois jusqu'à l'auberge... terrorisés :
"Les orcs ! Une armée ! Ils nous massacrent... ils arrivent !"
Et à peine se trouvèrent-il au seuil de l'auberge qu'une flèche grossière, toute empennée de noire, vint traverser le crâne du pauvre villageois un temps secouru.
Et ce fut le siège de l'auberge. Des traits de flammes se fracassèrent en pluie sur les volets que vous vous étiez empressés de clore. Eogân le Rouge tentait d'amadouer une aventurière aux cheveux de jais qui avait quelque influence sur plusieurs hommes d'armes... une certaine Donavella... Les deux nains escortaient dans un premier temps Cérès de Paros à l'étage pour le protéger... Leïla et Pacôme se glissaient dans l'écurie tentant de sauver de l'incendie quelques montures, à leur risque et péril... ils en libérèrent trois... vous vous interrogeâtes sur une autre retraite possible... et questionnant l'aubergiste et le vieil Allàn, vous eûtes vent que naguère, il y a avait trois autres portes à Bolème gardées par des notables... Vous gravîtes les étages jusqu'au toit fortifié de l'auberge, certains des hommes qui vous accompagnaient lançaient des pierres sur vos assaillants. L'incendie se développait et vous ne sachiez trop que faire. Eogân remarqua que l'homme encapuchonné avait disparu... Alors, étudiant d'abord la possibilité d'escalader la falaise, les nains découvrirent un passage dissimulé sous le chemisage de pierre... ils tentèrent d'opérer discrètement... Parmi la trentaine d'hommes ici présents... l'homme borgne, fort, discourtois et opulent que remarqua plus tôt Eogân s’aperçut de la manigance et vint provoquer les nains. Leur sang ne fit qu'un tour, et dans l'horreur générale, on vit le puissant Glordel ficher sa hache dans la maille de l'homme qui s'effondra... Leïla, Eogân et Pacôme tentèrent d'éviter que la situation ne dégénère plus avant... Pacôme voulait donner les derniers sacrements... la situation était plus tendue que jamais. Finalement la herse rouillée du passage dissimulé fut tordue sauvagement par Kalek... et suivant Pacôme, dans un silence de mort, vous rejoignîtes peu à peu le sommet de la falaise, débouchant dans la ruine éventrée d'une antique fortification... la nuit était désormais constellée d'étoile... le dernier ongle décroissant de la lune flirtait avec le sommet incendié de la Tour du Mage, en contrebas... et il semblait que le calme était revenu dans le village de Bolème.
Les nains s'isolèrent, et vous débattîtes longuement de la suite à donner, vous demandant si désormais il ne fallait pas mieux escorter le Sage jusqu'à Kélilée ou jusqu'en Hiver, Pacôme proposait d'explorer les maigres vestiges ici présent. Eogân, désespérait de l'attitude des nains Kalek et Glordel, censés représenter Talor Drek et le Prince d'Hiver... Mais finalement, dans cette nuit, devinant les hurlements de loups étranges, et sous l'impulsion de la valeureuse Leïla, vous fûtes tous entraînés dans cette marche prudente vers Bolème... en quête de rescapés... ou pour comprendre ce qui c'était passé. Leïla voulait elle s'enquérir de ce qui était advenu du temple du Phalanstir consacré à Tror et dirigé par Soeur Maëlle de Lïn. Cependant, voilà que vous passiez devant la Tour du Mage Agarïn Jade... et vous remarquiez que l'invasion avait dû se faire depuis l'édifice, très étrangement. Alors, vous l'explorâtes étage par étage. Vous pénétrâtes dans un verger intérieur... un colimaçon vous permettait de monter ou de descendre dans des caves voutées.
Aux étages supérieurs, vous découvrîtes des chambres, des bibliothèques nombreuses en parties consumées... dans ce qui semblait être la chambre du mage, Eogân fit la découverte des restes consumés du livre de sorts du mage. il découvrit dans sa couverture un étrange tableau qu'il conserva. A un endroit, vous aperçûtes le cadavre d'un orc, dans une petite salle où tout était brisé... des fioles éclatées aux liquides évaporés... il y avait une tâche noire au sol... comme une fente noire qui se réduisait, Eogân, qui par mal fortune se tenait là vit à côté un petit être d'ombre qui s'affairait prêt du crâne de l'orc mort... il fit pivoter sa tête à 360 degrés en direction d'Eogân... hurlant s'en bruit... fonça vers lui... Eôgân se figea... voyant en flash des choses innommables qui rampent... peut être profondément, très loin dans les Tréfonds... la créature plongea vers la tâche qui se rétrécissait et qui disparaissait.
Au faîte de la tour subsistaient les restes d'un observatoire... Pacôme mit la main sur une sorte d'astrolabe doré... tandis que vous vous interrogiez sur un socle réceptacle métallique qui semblait avoir accueilli un objet sphérique.
Finalement, vous rejoignîtes les caves obscures de la tour. Vous tombâtes immédiatement dans une salle à l'ambiance oppressante... dans les murs de pierre, une bibliothèque dont les livres avaient été renversés. Pacôme découvrit un très ancien parchemin ayant glissé dans un coin de salle, relatant des faits d'histoire locale assez détaillés, sur un certain peuple de la Reine Maëva.
Dans cette salle taillée dans le roc, un lutrin se trouvait au milieu de deux volées de degrés, à droite et à gauche et plus bas, dans la pénombre, vous vîtes un grand pentacle et des gemmes brisées scintillaient au sol... au centre du pentacle, gisait le corps d'un homme, en robe de mage encapuchonné de gris... de petites étincelles semblaient parcourir le dessein gravé du pentacle. Sur chacune des branches du pentacle, vous remarquâtes des inscriptions en arcanique... des chiffres... redoutant le pire... vous décidâtes de ne point trop vous attarder... et vous descendîtes jusqu'à l'étage plus bas... là, des tapis très exotiques étaient roulés, des tas d'objets, prêts à être emportés comme butins de guerre... mais aussi, des ingrédients de sorts étaient amoncelés... sur les murs, des tentures, représentant Bolème en guerre, en un temps reculé... au sol là encore.... des figurines très exotiques au style pour vous encore inconnu.... ici sur les murs... des inscriptions.... et là, devant vous une herse levée...
Voilà les amis... alors j'ai certainement oublié quelques détails ou fait quelques petites erreurs, surtout vers la fin... alors n'hésitez pas à m'en faire part )))
Décidément je ne me lasse jamais des smileys !
L'été est là mais une moiteur orageuse règne sur les terres d'Hiver.
Le Prince d'Hiver, Lancegal, était inquiet. Car aux dernières nouvelles ses troupes subissaient de lourdes pertes dans les Rifs, contre le mystérieux Sir de Morémor. Quant au contingent envoyé pour explorer les anciens forts de Rïn Dorïn, sur le front d'Est, les rumeurs disaient qu'il s'était volatilisé... Alors, lorsque lui parvinrent les missives de Cérès de Paros, un des 23 sages du conseil Kéliléen, il se trouva dans un bel embarras. Car Cérès compte dans ses plans. Et parce qu’aussi celui-ci lui faisait part de mouvements orcs inhabituels dans les marches de Bolème, cette terre franche coincée entre les terres Kéliléennes et les terres d'Hiver.
Alors, réunissant ses meilleurs conseillers d'Hiver et d'ailleurs, et ses prêtres de Tror, il trouva la solution...
Une antique tradition avait amené à son service 2 jeunes nains de la lointaine et mythique cité naine de Talor Drek, les jeunes barbes Kalek et Glordel du clan Arador. Il s'agissait là de jeunes nains, certes fougueux et turbulents, mais dont la valeur se devinait déjà... et sans nul doute, la mission qui leur serait attribuée contribuerait à les familiariser aux us des humains de la région. Par ailleurs, certains de ses conseillers lui soufflèrent le nom d'autres jeunes femmes et hommes au destin prometteur, sur lesquels confiance pouvait être mise. Il s'agissait de cette flamboyante paladine de Tror, cette Leïla Sans Peur et Sans Reproche, que quelques uns à la Cours adulaient déjà. Puis, un familier du Prince lui avait murmuré un autre nom... ce diable d'Eogân le Rouge... un scalde étrange au talent déjà affirmé... et même si quelques uns s'étonnèrent de l'évocation de son nom, lorsqu'il apparut, tout fringuant et armé, les protestations cessèrent aussitôt. Enfin, dans ce monde sévère, on sait que seuls les fous peuvent encore gouverner... et la grande prêtresse d'Archéon Tempore proposa son soutien. Il est vrai que le prince hésita longuement, connaissant la réputation de ce fantasque sujet. Mais au bout d'un moment, il acquiesça gravement, et dans l'éclat de son regard clair, on aurait pu lire comme une mélancolie...
"Dans toute folie, dit-il, se lit la volonté des dieux... que vienne donc ce Saint Prêtre, ce Pacôme...."
C'est ainsi que votre groupe fut formé.
Alors, il vous fut mandé d'aller trouver ce Sage Kéliléen, ce Cérès de Paros. Vous fut confié une importante lettre de change de 5000 po pour marchander des informations avec cet homme. Le Prince et ses conseillers vous chargèrent de vous enquérir de la fiabilité de cet homme et d'enquêter sur les mouvements d'orcs de la région.
Partis pour Bolème, vous voyageâtes rapidement... et par grand miracle en ces temps troublés, vous ne fîtes nulle mauvaise rencontre jusqu'aux portes de Bolème. Là, des gardes vous arrêtèrent mais après un court échange, il vous fut permis d'attacher vos montures aux écuries publiques, ce que firent les deux inséparables nains, juste avant que vous ne rejoignîtes cette magnificiente auberge du Cerf Argenté. Un bien bel et rustique établissement, flanqué à la falaise, quelque peu isolé par rapport au reste du village. Vous la rejoignîtes après avoir gravis quelques volées de marches, non sans contempler en contrebas les noires silhouettes des édifices parfois ruinés de cette cité au passé plus glorieux. C'est à l'intérieur que vous deviez rencontrer ce Cérès de Paros. C'est à l'écurie de l'auberge que furent arnachés les derniers chevaux.
A l'intérieur, régnait une certaine touffeur, et une grande animation. Car l'aubergiste rabrouait ses filles, et le vieil Allàn écumait quelques godets d'hydromel. Alors que les deux nains et la Paladine se renseignaient sur la présence du Sage, l'ambiance se faisaient de plus en plus délétère, et tandis qu'Eogân observait, Pacôme se glissait jusqu'aux confins de la salle, empoignait un tabouret et grimpant dessus, sollicitait l'attention de l'assistance à force de quolibets, chansons et calembours... entreprise risquée, car observâtes que le publics était rétif... tous étaient d'anciens mercenaires, des croisés, des déserteurs, des aventuriers de fortune diverse tous témoins des horreurs de la guerre, tous mêlés et aux intérêts contraires... Le pauvre Pacôme semblait parti pour galère inextricable... pourtant, par le miracle d'Archéon, le prêtre parvint un instant à délasser l'atmosphère.
Pendant ce temps, Eogân le Rouge observait plus particulièrement une petite tablée où trois hommes semblaient en forte discussion. Un homme fort, à la barbe rousse, à l’œil borgne dissimulé sous un bandeau, discutait avec un autre individu, un grand élancé, vêtu d'un tabard de cuir sur sa maille, et tous deux ensuite s’entretenaient avec un individu fort discret vêtu de noir, à la capuche rabattue... Il y avait aussi des croisés d'Hiver et tout un tas d'autres hommes d'armes.
Vous trouvâtes ensuite, le sage... qui se cachait derrière une alcôve, au rez-de-chaussée, sous la mezzanine...
Alors enfin vous discutâtes. Il vous fit part de toute son inquiétude, car son garde du corps, un certain Sigil, parti enquêter sur les orcs n'avait plus donné signe de vie depuis 3 jours. Il échangea un petit codex contre la lettre de change que lui remirent les nains Kalek et Glordel... C'est alors que tout s'accéléra... il y eu le tonnerre... puis quelques minutes plus tard un grand tumulte se fit à l'extérieur. Des bruits d'armes et des cris de souffrance...
Tous dans l'auberge se pétrifièrent... et même vous, tout saisis de stupeur, vous n'osâtes point ciller... Alors, au bout de quelque temps, vint un senteminier épaulant un des villageois jusqu'à l'auberge... terrorisés :
"Les orcs ! Une armée ! Ils nous massacrent... ils arrivent !"
Et à peine se trouvèrent-il au seuil de l'auberge qu'une flèche grossière, toute empennée de noire, vint traverser le crâne du pauvre villageois un temps secouru.
Et ce fut le siège de l'auberge. Des traits de flammes se fracassèrent en pluie sur les volets que vous vous étiez empressés de clore. Eogân le Rouge tentait d'amadouer une aventurière aux cheveux de jais qui avait quelque influence sur plusieurs hommes d'armes... une certaine Donavella... Les deux nains escortaient dans un premier temps Cérès de Paros à l'étage pour le protéger... Leïla et Pacôme se glissaient dans l'écurie tentant de sauver de l'incendie quelques montures, à leur risque et péril... ils en libérèrent trois... vous vous interrogeâtes sur une autre retraite possible... et questionnant l'aubergiste et le vieil Allàn, vous eûtes vent que naguère, il y a avait trois autres portes à Bolème gardées par des notables... Vous gravîtes les étages jusqu'au toit fortifié de l'auberge, certains des hommes qui vous accompagnaient lançaient des pierres sur vos assaillants. L'incendie se développait et vous ne sachiez trop que faire. Eogân remarqua que l'homme encapuchonné avait disparu... Alors, étudiant d'abord la possibilité d'escalader la falaise, les nains découvrirent un passage dissimulé sous le chemisage de pierre... ils tentèrent d'opérer discrètement... Parmi la trentaine d'hommes ici présents... l'homme borgne, fort, discourtois et opulent que remarqua plus tôt Eogân s’aperçut de la manigance et vint provoquer les nains. Leur sang ne fit qu'un tour, et dans l'horreur générale, on vit le puissant Glordel ficher sa hache dans la maille de l'homme qui s'effondra... Leïla, Eogân et Pacôme tentèrent d'éviter que la situation ne dégénère plus avant... Pacôme voulait donner les derniers sacrements... la situation était plus tendue que jamais. Finalement la herse rouillée du passage dissimulé fut tordue sauvagement par Kalek... et suivant Pacôme, dans un silence de mort, vous rejoignîtes peu à peu le sommet de la falaise, débouchant dans la ruine éventrée d'une antique fortification... la nuit était désormais constellée d'étoile... le dernier ongle décroissant de la lune flirtait avec le sommet incendié de la Tour du Mage, en contrebas... et il semblait que le calme était revenu dans le village de Bolème.
Les nains s'isolèrent, et vous débattîtes longuement de la suite à donner, vous demandant si désormais il ne fallait pas mieux escorter le Sage jusqu'à Kélilée ou jusqu'en Hiver, Pacôme proposait d'explorer les maigres vestiges ici présent. Eogân, désespérait de l'attitude des nains Kalek et Glordel, censés représenter Talor Drek et le Prince d'Hiver... Mais finalement, dans cette nuit, devinant les hurlements de loups étranges, et sous l'impulsion de la valeureuse Leïla, vous fûtes tous entraînés dans cette marche prudente vers Bolème... en quête de rescapés... ou pour comprendre ce qui c'était passé. Leïla voulait elle s'enquérir de ce qui était advenu du temple du Phalanstir consacré à Tror et dirigé par Soeur Maëlle de Lïn. Cependant, voilà que vous passiez devant la Tour du Mage Agarïn Jade... et vous remarquiez que l'invasion avait dû se faire depuis l'édifice, très étrangement. Alors, vous l'explorâtes étage par étage. Vous pénétrâtes dans un verger intérieur... un colimaçon vous permettait de monter ou de descendre dans des caves voutées.
Aux étages supérieurs, vous découvrîtes des chambres, des bibliothèques nombreuses en parties consumées... dans ce qui semblait être la chambre du mage, Eogân fit la découverte des restes consumés du livre de sorts du mage. il découvrit dans sa couverture un étrange tableau qu'il conserva. A un endroit, vous aperçûtes le cadavre d'un orc, dans une petite salle où tout était brisé... des fioles éclatées aux liquides évaporés... il y avait une tâche noire au sol... comme une fente noire qui se réduisait, Eogân, qui par mal fortune se tenait là vit à côté un petit être d'ombre qui s'affairait prêt du crâne de l'orc mort... il fit pivoter sa tête à 360 degrés en direction d'Eogân... hurlant s'en bruit... fonça vers lui... Eôgân se figea... voyant en flash des choses innommables qui rampent... peut être profondément, très loin dans les Tréfonds... la créature plongea vers la tâche qui se rétrécissait et qui disparaissait.
Au faîte de la tour subsistaient les restes d'un observatoire... Pacôme mit la main sur une sorte d'astrolabe doré... tandis que vous vous interrogiez sur un socle réceptacle métallique qui semblait avoir accueilli un objet sphérique.
Finalement, vous rejoignîtes les caves obscures de la tour. Vous tombâtes immédiatement dans une salle à l'ambiance oppressante... dans les murs de pierre, une bibliothèque dont les livres avaient été renversés. Pacôme découvrit un très ancien parchemin ayant glissé dans un coin de salle, relatant des faits d'histoire locale assez détaillés, sur un certain peuple de la Reine Maëva.
Dans cette salle taillée dans le roc, un lutrin se trouvait au milieu de deux volées de degrés, à droite et à gauche et plus bas, dans la pénombre, vous vîtes un grand pentacle et des gemmes brisées scintillaient au sol... au centre du pentacle, gisait le corps d'un homme, en robe de mage encapuchonné de gris... de petites étincelles semblaient parcourir le dessein gravé du pentacle. Sur chacune des branches du pentacle, vous remarquâtes des inscriptions en arcanique... des chiffres... redoutant le pire... vous décidâtes de ne point trop vous attarder... et vous descendîtes jusqu'à l'étage plus bas... là, des tapis très exotiques étaient roulés, des tas d'objets, prêts à être emportés comme butins de guerre... mais aussi, des ingrédients de sorts étaient amoncelés... sur les murs, des tentures, représentant Bolème en guerre, en un temps reculé... au sol là encore.... des figurines très exotiques au style pour vous encore inconnu.... ici sur les murs... des inscriptions.... et là, devant vous une herse levée...
Voilà les amis... alors j'ai certainement oublié quelques détails ou fait quelques petites erreurs, surtout vers la fin... alors n'hésitez pas à m'en faire part )))
Décidément je ne me lasse jamais des smileys !
Dernière édition par Alkadrim le Mar 17 Juin - 11:54, édité 1 fois
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Allez, et puis je me permets de mettre en ligne le récit que tu as trouvé Soulclone :
« En un temps désormais révolu, avant la chute même du Mirmidion, régnait en ces terres un peuple sauvage aux secrets enfouis. Il y a des vestiges qui s’élèvent encore de-ci de-là dans l’épaisse forêt de Lorn, quelque part au sud-est de la Forêt Interdite. Les visions de Calumènes rapportent que dans les ténèbres du temps, ce peuple d’hommes se partageait les terres en plusieurs clans. C’étaient des cavaliers et de terribles guerriers qui connaissaient déjà le secret de l’acier. Et ils s’affrontèrent longtemps. Bientôt, le peuple de la Reine Maëva devint fort et prestigieux, et Il étendit sa main sur les plaines barbares et c’est ainsi que le peuple de Lorn connut un âge de paix. Malheureusement la mort de la reine Maëva mit un terme à cela. Et dans le chaos des temps, le plus jeune des trois fils découvrit, dit-on, un pouvoir oublié par les dieux : lui avaient été révélés les noms véritables des êtres et des races, en langue divine. Dès lors, ses adversaires et son peuple se soumirent à sa volonté. Il devint impitoyable et implacable et tous le redoutèrent. Et même lors de la grande colonisation de l’Attlande, le peuple de Maëva fut si craint que nul ne s’aventura sur ses terres. Les visions rapportent que le jeune homme se fit appeler Roi. Il assujettit ses frères, les fit tuer et fit d’une partie de son peuple une caste d’esclaves. Puis, il fit élever de grands monuments à prix de sang, sur la colline d’Ichkar, la colline des rois. Il ne chercha, tout au long de sa vie qu’à accroître sa renommée et son pouvoir. De sa mort et de la fin de son peuple, nous ne savons pratiquement rien. Des légendes rapportent que quelque part dans la forêt de Lorn, le peuple de Maëva attend de se réveiller, prêt à suivre une nouvelle fois leur roi, pour réveiller la crainte dans les cœurs des imprudents foulant trop hardiment les terres de l’antique royaume. »
« En un temps désormais révolu, avant la chute même du Mirmidion, régnait en ces terres un peuple sauvage aux secrets enfouis. Il y a des vestiges qui s’élèvent encore de-ci de-là dans l’épaisse forêt de Lorn, quelque part au sud-est de la Forêt Interdite. Les visions de Calumènes rapportent que dans les ténèbres du temps, ce peuple d’hommes se partageait les terres en plusieurs clans. C’étaient des cavaliers et de terribles guerriers qui connaissaient déjà le secret de l’acier. Et ils s’affrontèrent longtemps. Bientôt, le peuple de la Reine Maëva devint fort et prestigieux, et Il étendit sa main sur les plaines barbares et c’est ainsi que le peuple de Lorn connut un âge de paix. Malheureusement la mort de la reine Maëva mit un terme à cela. Et dans le chaos des temps, le plus jeune des trois fils découvrit, dit-on, un pouvoir oublié par les dieux : lui avaient été révélés les noms véritables des êtres et des races, en langue divine. Dès lors, ses adversaires et son peuple se soumirent à sa volonté. Il devint impitoyable et implacable et tous le redoutèrent. Et même lors de la grande colonisation de l’Attlande, le peuple de Maëva fut si craint que nul ne s’aventura sur ses terres. Les visions rapportent que le jeune homme se fit appeler Roi. Il assujettit ses frères, les fit tuer et fit d’une partie de son peuple une caste d’esclaves. Puis, il fit élever de grands monuments à prix de sang, sur la colline d’Ichkar, la colline des rois. Il ne chercha, tout au long de sa vie qu’à accroître sa renommée et son pouvoir. De sa mort et de la fin de son peuple, nous ne savons pratiquement rien. Des légendes rapportent que quelque part dans la forêt de Lorn, le peuple de Maëva attend de se réveiller, prêt à suivre une nouvelle fois leur roi, pour réveiller la crainte dans les cœurs des imprudents foulant trop hardiment les terres de l’antique royaume. »
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Super, pour moi c'est très complet et bravo pour l'effort d'écriture.
Dernière édition par soulclone le Mar 17 Juin - 15:46, édité 1 fois
soulclone- Date d'inscription : 30/09/2013
Age : 33
Localisation : Lyon 9ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
brr merci.... ya pas mal de fautes d'aurthograaffes et de conjugaisons mais bon tiens... je vais en corriger....
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Soirée 2 le mystère reste entier...
Soirée 2 :
Les aventuriers réfléchissent à nouveau sur la nature du pentacle et sur la teneur du livre d’histoire du peuple de Maëve. Eogân le Rouge ose un rapprochement entre l’étrange tableau trouvé dans les restes consumés du grimoire de magie d’Agarïn Jade et les curieuses inscriptions en arcanique qui bordent les branches du pentacle. Il s’aventure même à une première conjecture.
Puis, analysant les décombres de la salle, il apparaît vite aux joueurs que des biens ont été amassés ici à la va vite par les pillards et que la majeure partie des biens de valeur ont été trainés dans le souterrain obscur qui s’ouvre devant eux. Kalek le nain récupère un chandelier argenté. Des inscriptions gravées dans la pierre font référence aux âges lointains du Pendralyon, quelques 800 années plus tôt. Contemplant une dernière fois les étranges colifichets et objets exotiques, les joueurs remarquent une trappe murale non loin de herse, béante. Visiblement le levier servant à actionner l’ouverture de la herse a été abaissé et les joueurs en déduisent que la herse a été ouverte de l’intérieur.
Le groupe décide d’entamer la marche dans les ténèbres aux rares halos vacillants… Pacôme, Leïla et Eogân ouvrent la marche, les deux nains restent sur les arrières pour protéger le tremblant Cérès de Paros, vigilants. Après de longues minutes, Kalek croit entendre des bruits de pas… comme si quelque chose ou quelqu’un les suivait… Il reste davantage encore vigilant et averti Glordel de son mauvais pressentiment.
C’est alors que Eôgan le Rouge remarque une étrange inscription sur le sol à quelques pas de lui, sous la lumière blafarde et vacillante de sa torche. Sur un mot, la compagnie stoppe sa marche. Eogân s’en approche, intrigué, sentant la magie émanant du glyphe. Malheureusement il ne parvient absolument pas à le déchiffrer. Il décide alors de le retranscrire au mieux sur un bout de parchemin. Le groupe reprend sa marche. Eogän enjambe sans vergogne le glyphe.
Et c’est là que le drame s’enclenche, car une puissante magie est libérée, dans un éclair sombre. L’atmosphère s’alourdit soudainement, des centaines de milliers de graviers circulent au sol et s’agglutinent lentement, les joueurs sont frappés de stupeur impuissants face à cette chose qui se forme devant eux… une sorte d’être de pierre colossal de plus de 2,30m de hauteur, son visage n’a pas d’expression, il est lisse et sans traits aucun. Il occupe presque la largeur du tunnel.
Le combat s’engage, furieusement. D’abord Eogân se lance dans un assaut fulgurant se glissant sur le côté droit de l’être de pierre, évitant in extremis la dévastatrice attaque du golem dont les deux poings font éclater le roc de la paroi gauche. Leïla et Kalek se lancent dans des attaques désespérées. C’est alors que la situation se gâte, car dans leur dos une ombre se meut, et Glordel le nain qui veille toujours sur le vieil Cérès de Paros reçoit un coup de dague extrêmement vicieux entre le trapèze et la gorge, la plaie ruisselle de sang, Glordel paraît un instant chanceler mais il se reprend et voit une fraction de seconde une ombre se glisser entre lui et Cérès… il s’agit d’un homme, sa dague se dresse déjà au dessus de la silhouette chétive du vieillard. L’attaque est rapide comme l’éclair, mais Cérès se recroqueville au sol, impressionné par la violence du combat et l’assassin manque sa cible, alors, le robuste Glordel faisant décrire un arc horizontal à sa hache, vient cueillir de plein fouet l’assassin et le propulse au dessus du sol jusqu’au mur de roc, à quelques mètres de là. Tout cela ne s’est joué que sur un jet de dés.
Cependant, les armes des joueurs s’usent sur la carcasse de pierre qui se dresse devant eux. Le nain Kalek parvient dans un coup formidable à déstabiliser le colosse, lui enlevant quelques éclats au niveau des jambes. L’être bascule… les joueurs voient qu’un symbole est dessiné sur le front du colosse et sur ses bras… le nain Kalek saute (de quelques dizaines de centimètres), la barbe au vent, et sa hache vient griffer le symbole du front : le colosse toujours déstabilisé est à sa portée !
Il y a un éclair noir qui traverse la tête du colosse… la moitié supérieure de la tête glisse vers l’avant et s’est tout le golem qui menace de s’effondrer en écrasant les joueurs… La Paladine Leïla, Sans Peur et Sans reproche, dans un sursaut d’héroïsme se jette devant Pacôme pour le protéger. Le choc est d’une violence terrible. La poussière enveloppe les joueurs. Lorsqu’elle se dissipe… Tous essaient de dégager des débris Pâcome et Leïla. Pacôme est vivant, toussotant à peine. Cependant Leïla est inerte et ses compagnons craignent le pire. Alors, un étrange miracle s’accomplit… le corps de Leïla est nimbé d’une douce aura pâle. Son visage semble ravivé, certaine plaies guérissent. Leïla reprend finalement conscience. Le soulagement est grand.
Pansant leurs plaies, les joueurs s’intéressent à la dépouille de l’assassin… Eogân reconnait Lloris Taal, l’étrange personnage vêtu de noir qu’il avait remarqué tout au début de la mission, dans l’auberge. Après l’avoir fouillé, il comprend qu’il s’agit d’un des terribles assassins du pays de Scythie. Et il s’agit aussi d’un homme du terrible Ruther Morémor dons le sceau possède une inscription obscure que le barde, dans un formidable éclair de lucidité déchiffre : le Cauchemar pour Macatah…
Un nom de dieu interdit et quasiment oublié selon Pacôme. Lloris Taal possédait aussi un titre de propriété pour négocier avec les Nespriens aperçus plus tôt à l’auberge : propriété de la Tour de Dunmélor. Les joueurs prennent le document.
Blessés et épuisés, les joueurs font une pause et se concertent : impossible de continuer plus avant dans ce souterrain dans leur état actuel. Leïla souhaite par ailleurs se rendre au temple du Phalanstir de Maëlle de Lïn, inquiète de savoir ce qui est advenu au temple. Par ailleurs, Eogân, Pacôme et les deux nains se demandent s’ils auront l’occasion de croiser le dernier des deux Nespriens rencontrés, un de ceux qui traitaient avec Lloris Taal...
Alors, lentement, les aventuriers rejoignent le village
Après quelques minutes, les joueurs passent non loin de la place principale du village. Ils devinent un grand attroupement de survivants du village. Ils continuent leur chemin et trouvent rapidement la rue du temple. Là, l’édifice se dresse finalement, tristement saccagé. Visiblement un incendie l’a partiellement détruit. Au pied des grosses marches qui s’élèvent haut jusqu’aux portes, de nombreux cadavres d’orcs gisent. Arrivés devant les lourds battants de la grande porte, la scène n’ai pas vraiment réjouissante : les portes béent, certes d’autres orcs gisent mais il y a aussi les cadavres de jeunes novices de Tror au sol, et l’un d’eux a été empalé par un lourd épieu au battant gauche qui grince sinistrement. Leïla est des plus inquiètes, alors rassemblant son courage, elle écarte les battants. Dans la grande nef aux blancs piliers, tout n’est que désordre. Le monumental lustre au bougies oscille dégoulinant de cire, les bancs sont renversés et noircis par le feu, parmi les autres cadavres les deux derniers novices sont retrouvés occis. Cependant, une chaude lumière colorée nimbe le sol, car par miracle, le grand vitrail triangulaire de fond de nef, derrière l’autel semble intact. Un miracle, car à y regarder de plus près il semble bien que les plombs aient fondu. Un escalier s’enfonce dans la crypte… les aventuriers descendent. Ils parviennent, devant un large couloir. A gauche et à droite sont réparties les tombes somptueuses des fondateurs et grands prêtres du temple s’étant succédés et au loin, tout au bout du couloir, se dessinent les fameuses trois statues du pèlerinage du Phalanstyr.
Cependant, devant les joueurs sont éparpillés d’autres corps qui entourent celui de Maëlle de Lïn. Celle-ci est sans vie. Elle s’est vaillamment battue et Tror semble lui avoir accordé une grande force dans son ultime combat, car les corps d’orcs sont terriblement blessés, leur peau verte comme écorchée par des milliers d’échardes. Sous le choc, les joueurs observent les tombes dont les premières ont été profanées, pillées. Ne reste que de la poussière. Leïla , trouve dans les restes de la tombe d’un des Fondateurs, Saint Ancelme Ludor, une amulette du culte similaire à celle qui lui avait été volée ! Il était sous le même patronnage divin. Elle décide de la prendre, et de révérer le nom de celui qui serait désormais un de ses mentors spirituel… ce Saint Ancelme. Alors que le groupe s’avance en direction des statues, Pacôme a une vision…
D’après les dire de Pacôme, les statues lui seraient apparues, dévoilant leur regartableds minéraux. Les êtres du Phalanstyr lui auraient intimer d’œuvrer pour la reconstruction du Temple.
Exténués, les joueurs se reposent dans l’auberge, et leur nuit est celle du juste. Ils trouvent un repos curieusement régénérateurs dans la nef ruinée du Phalanstyr.
Au Matin, les joueurs découvrent une nouvelle réunion sur la place du marché. Devant une vieille table à laquellee siègent le vieux bourgmestre survant Théodèn, l’aubergiste Cristan et Yvan le Senteminier, se tient le vieil Allàn, et derrière lui, les autres survivants de Bolème. Elsa Donavella semble mener l’ensemble des hommes armés qui étaient présents dans l’auberge. Elle est de fait à la tête d’une milice. Les joueurs repèrent le deuxième nesprien survivants et ils sont décidés de faire diversion pour le prendre à partie. Eogân se rapproche de Donavella alors que Pacôme viens prendre sa place devant la table. Après quelques regards et quelques paroles insolentes, Eogân et Elsa Donavella se montrent… comment dire… assez complices, pour ainsi dire. Ce qui semble susciter l’étonnement profond du nain Kalek. Le barde Eogân fait jouer ses pouvoirs de ventriloque pour interpeler le dernier nesprien en se faisant passer pour l’assassin de Scythie. Les deux s’éclipsent et Eôgan et le nain Kalek sont bien décider à le faire parler. Pacôme fait diversion, simulant une vision divine, cela captive la foule. Au détour d’une rue, le dernier nesprien, un certain Aymerich Cordier, ne se laisse pas intimider et il commence à se battre avec Eogân. Mû par l’énergie du desespoir, il le blesse grièvement, mais le nain Kalek arrive à la rescousse du barde et porte un terrible coup à son adversaire, qui s’écroule.
Entendant le fracas des armes, la milice de Donavella intervient, et des croisés ramènent le corps d’Aymerich auprès du Senteminier. Les joueurs sont priés de s’expliquer.
Leur enquête n’est pas terminée.
La suite très vite.
Au fait Guillaume... tu feras un mage de la maison Opaline... je t'en dirai davantage !
Les aventuriers réfléchissent à nouveau sur la nature du pentacle et sur la teneur du livre d’histoire du peuple de Maëve. Eogân le Rouge ose un rapprochement entre l’étrange tableau trouvé dans les restes consumés du grimoire de magie d’Agarïn Jade et les curieuses inscriptions en arcanique qui bordent les branches du pentacle. Il s’aventure même à une première conjecture.
Puis, analysant les décombres de la salle, il apparaît vite aux joueurs que des biens ont été amassés ici à la va vite par les pillards et que la majeure partie des biens de valeur ont été trainés dans le souterrain obscur qui s’ouvre devant eux. Kalek le nain récupère un chandelier argenté. Des inscriptions gravées dans la pierre font référence aux âges lointains du Pendralyon, quelques 800 années plus tôt. Contemplant une dernière fois les étranges colifichets et objets exotiques, les joueurs remarquent une trappe murale non loin de herse, béante. Visiblement le levier servant à actionner l’ouverture de la herse a été abaissé et les joueurs en déduisent que la herse a été ouverte de l’intérieur.
Le groupe décide d’entamer la marche dans les ténèbres aux rares halos vacillants… Pacôme, Leïla et Eogân ouvrent la marche, les deux nains restent sur les arrières pour protéger le tremblant Cérès de Paros, vigilants. Après de longues minutes, Kalek croit entendre des bruits de pas… comme si quelque chose ou quelqu’un les suivait… Il reste davantage encore vigilant et averti Glordel de son mauvais pressentiment.
C’est alors que Eôgan le Rouge remarque une étrange inscription sur le sol à quelques pas de lui, sous la lumière blafarde et vacillante de sa torche. Sur un mot, la compagnie stoppe sa marche. Eogân s’en approche, intrigué, sentant la magie émanant du glyphe. Malheureusement il ne parvient absolument pas à le déchiffrer. Il décide alors de le retranscrire au mieux sur un bout de parchemin. Le groupe reprend sa marche. Eogän enjambe sans vergogne le glyphe.
Et c’est là que le drame s’enclenche, car une puissante magie est libérée, dans un éclair sombre. L’atmosphère s’alourdit soudainement, des centaines de milliers de graviers circulent au sol et s’agglutinent lentement, les joueurs sont frappés de stupeur impuissants face à cette chose qui se forme devant eux… une sorte d’être de pierre colossal de plus de 2,30m de hauteur, son visage n’a pas d’expression, il est lisse et sans traits aucun. Il occupe presque la largeur du tunnel.
Le combat s’engage, furieusement. D’abord Eogân se lance dans un assaut fulgurant se glissant sur le côté droit de l’être de pierre, évitant in extremis la dévastatrice attaque du golem dont les deux poings font éclater le roc de la paroi gauche. Leïla et Kalek se lancent dans des attaques désespérées. C’est alors que la situation se gâte, car dans leur dos une ombre se meut, et Glordel le nain qui veille toujours sur le vieil Cérès de Paros reçoit un coup de dague extrêmement vicieux entre le trapèze et la gorge, la plaie ruisselle de sang, Glordel paraît un instant chanceler mais il se reprend et voit une fraction de seconde une ombre se glisser entre lui et Cérès… il s’agit d’un homme, sa dague se dresse déjà au dessus de la silhouette chétive du vieillard. L’attaque est rapide comme l’éclair, mais Cérès se recroqueville au sol, impressionné par la violence du combat et l’assassin manque sa cible, alors, le robuste Glordel faisant décrire un arc horizontal à sa hache, vient cueillir de plein fouet l’assassin et le propulse au dessus du sol jusqu’au mur de roc, à quelques mètres de là. Tout cela ne s’est joué que sur un jet de dés.
Cependant, les armes des joueurs s’usent sur la carcasse de pierre qui se dresse devant eux. Le nain Kalek parvient dans un coup formidable à déstabiliser le colosse, lui enlevant quelques éclats au niveau des jambes. L’être bascule… les joueurs voient qu’un symbole est dessiné sur le front du colosse et sur ses bras… le nain Kalek saute (de quelques dizaines de centimètres), la barbe au vent, et sa hache vient griffer le symbole du front : le colosse toujours déstabilisé est à sa portée !
Il y a un éclair noir qui traverse la tête du colosse… la moitié supérieure de la tête glisse vers l’avant et s’est tout le golem qui menace de s’effondrer en écrasant les joueurs… La Paladine Leïla, Sans Peur et Sans reproche, dans un sursaut d’héroïsme se jette devant Pacôme pour le protéger. Le choc est d’une violence terrible. La poussière enveloppe les joueurs. Lorsqu’elle se dissipe… Tous essaient de dégager des débris Pâcome et Leïla. Pacôme est vivant, toussotant à peine. Cependant Leïla est inerte et ses compagnons craignent le pire. Alors, un étrange miracle s’accomplit… le corps de Leïla est nimbé d’une douce aura pâle. Son visage semble ravivé, certaine plaies guérissent. Leïla reprend finalement conscience. Le soulagement est grand.
Pansant leurs plaies, les joueurs s’intéressent à la dépouille de l’assassin… Eogân reconnait Lloris Taal, l’étrange personnage vêtu de noir qu’il avait remarqué tout au début de la mission, dans l’auberge. Après l’avoir fouillé, il comprend qu’il s’agit d’un des terribles assassins du pays de Scythie. Et il s’agit aussi d’un homme du terrible Ruther Morémor dons le sceau possède une inscription obscure que le barde, dans un formidable éclair de lucidité déchiffre : le Cauchemar pour Macatah…
Un nom de dieu interdit et quasiment oublié selon Pacôme. Lloris Taal possédait aussi un titre de propriété pour négocier avec les Nespriens aperçus plus tôt à l’auberge : propriété de la Tour de Dunmélor. Les joueurs prennent le document.
Blessés et épuisés, les joueurs font une pause et se concertent : impossible de continuer plus avant dans ce souterrain dans leur état actuel. Leïla souhaite par ailleurs se rendre au temple du Phalanstir de Maëlle de Lïn, inquiète de savoir ce qui est advenu au temple. Par ailleurs, Eogân, Pacôme et les deux nains se demandent s’ils auront l’occasion de croiser le dernier des deux Nespriens rencontrés, un de ceux qui traitaient avec Lloris Taal...
Alors, lentement, les aventuriers rejoignent le village
Après quelques minutes, les joueurs passent non loin de la place principale du village. Ils devinent un grand attroupement de survivants du village. Ils continuent leur chemin et trouvent rapidement la rue du temple. Là, l’édifice se dresse finalement, tristement saccagé. Visiblement un incendie l’a partiellement détruit. Au pied des grosses marches qui s’élèvent haut jusqu’aux portes, de nombreux cadavres d’orcs gisent. Arrivés devant les lourds battants de la grande porte, la scène n’ai pas vraiment réjouissante : les portes béent, certes d’autres orcs gisent mais il y a aussi les cadavres de jeunes novices de Tror au sol, et l’un d’eux a été empalé par un lourd épieu au battant gauche qui grince sinistrement. Leïla est des plus inquiètes, alors rassemblant son courage, elle écarte les battants. Dans la grande nef aux blancs piliers, tout n’est que désordre. Le monumental lustre au bougies oscille dégoulinant de cire, les bancs sont renversés et noircis par le feu, parmi les autres cadavres les deux derniers novices sont retrouvés occis. Cependant, une chaude lumière colorée nimbe le sol, car par miracle, le grand vitrail triangulaire de fond de nef, derrière l’autel semble intact. Un miracle, car à y regarder de plus près il semble bien que les plombs aient fondu. Un escalier s’enfonce dans la crypte… les aventuriers descendent. Ils parviennent, devant un large couloir. A gauche et à droite sont réparties les tombes somptueuses des fondateurs et grands prêtres du temple s’étant succédés et au loin, tout au bout du couloir, se dessinent les fameuses trois statues du pèlerinage du Phalanstyr.
Cependant, devant les joueurs sont éparpillés d’autres corps qui entourent celui de Maëlle de Lïn. Celle-ci est sans vie. Elle s’est vaillamment battue et Tror semble lui avoir accordé une grande force dans son ultime combat, car les corps d’orcs sont terriblement blessés, leur peau verte comme écorchée par des milliers d’échardes. Sous le choc, les joueurs observent les tombes dont les premières ont été profanées, pillées. Ne reste que de la poussière. Leïla , trouve dans les restes de la tombe d’un des Fondateurs, Saint Ancelme Ludor, une amulette du culte similaire à celle qui lui avait été volée ! Il était sous le même patronnage divin. Elle décide de la prendre, et de révérer le nom de celui qui serait désormais un de ses mentors spirituel… ce Saint Ancelme. Alors que le groupe s’avance en direction des statues, Pacôme a une vision…
D’après les dire de Pacôme, les statues lui seraient apparues, dévoilant leur regartableds minéraux. Les êtres du Phalanstyr lui auraient intimer d’œuvrer pour la reconstruction du Temple.
Exténués, les joueurs se reposent dans l’auberge, et leur nuit est celle du juste. Ils trouvent un repos curieusement régénérateurs dans la nef ruinée du Phalanstyr.
Au Matin, les joueurs découvrent une nouvelle réunion sur la place du marché. Devant une vieille table à laquellee siègent le vieux bourgmestre survant Théodèn, l’aubergiste Cristan et Yvan le Senteminier, se tient le vieil Allàn, et derrière lui, les autres survivants de Bolème. Elsa Donavella semble mener l’ensemble des hommes armés qui étaient présents dans l’auberge. Elle est de fait à la tête d’une milice. Les joueurs repèrent le deuxième nesprien survivants et ils sont décidés de faire diversion pour le prendre à partie. Eogân se rapproche de Donavella alors que Pacôme viens prendre sa place devant la table. Après quelques regards et quelques paroles insolentes, Eogân et Elsa Donavella se montrent… comment dire… assez complices, pour ainsi dire. Ce qui semble susciter l’étonnement profond du nain Kalek. Le barde Eogân fait jouer ses pouvoirs de ventriloque pour interpeler le dernier nesprien en se faisant passer pour l’assassin de Scythie. Les deux s’éclipsent et Eôgan et le nain Kalek sont bien décider à le faire parler. Pacôme fait diversion, simulant une vision divine, cela captive la foule. Au détour d’une rue, le dernier nesprien, un certain Aymerich Cordier, ne se laisse pas intimider et il commence à se battre avec Eogân. Mû par l’énergie du desespoir, il le blesse grièvement, mais le nain Kalek arrive à la rescousse du barde et porte un terrible coup à son adversaire, qui s’écroule.
Entendant le fracas des armes, la milice de Donavella intervient, et des croisés ramènent le corps d’Aymerich auprès du Senteminier. Les joueurs sont priés de s’expliquer.
Leur enquête n’est pas terminée.
La suite très vite.
Au fait Guillaume... tu feras un mage de la maison Opaline... je t'en dirai davantage !
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Il ne fait pas Donavella ??
Archi- Date d'inscription : 08/09/2008
Age : 48
Localisation : Thil (01)
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Coucou Archi ! Il aura le choix, ma foi... Mais dans les deux cas la quête sera périlleuse ! Donavella au cheveux de jai...
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Ok pour le mage (de toute façon pour une apparition en guest star je prend ce qu'on me donne ).
Maintenant, il faut que je lise les résumés !
Maintenant, il faut que je lise les résumés !
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
ptain trop cool guillaume est avec nous! du coup je vais pouvoir te payer ta mousse!
tu a une préférence?
tu a une préférence?
thorin-thonderson- Date d'inscription : 20/02/2014
Age : 45
Localisation : lyon 9eme
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Belge ou allemande, j'aime les deux Dthorin-thonderson a écrit:ptain trop cool guillaume est avec nous! du coup je vais pouvoir te payer ta mousse!
tu a une préférence?
Légère et désaltérante ou nourrissante et charpentée... comme tu le souhaites !
J’amènerais quelques babioles à boire et à grignoter de mon côté.
@ Alkadrim : en tant que mage dans AD&D2, j'ai droit à des cantrips à volonté (ou presque je me souviens plus) ? des petites facéties pour amuser la foule ? dis, steuplé !
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Oui oui mon cher et pâle Meryâm de l'Opale... Des sorts mineurs tu détiens les secrets, des lueures d'octarine te font reconnaître la magie... Et dans le vent de Songest, tes pouvoirs n'ont plus de maîtrise... Sois digne de ta vieille Maison, fils bâtard de l'Opale ! On en reparlera...
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Ah ben voilà, la guest-star veut déjà être cheaté, non mais j'y crois pas !
Enfin, du moment qu'il n'essaie pas de me piquer Donnavela, tout ira bien
Enfin, du moment qu'il n'essaie pas de me piquer Donnavela, tout ira bien
Archi- Date d'inscription : 08/09/2008
Age : 48
Localisation : Thil (01)
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
On joue à quelle heure ? 20h00 selon les horaires de thorin ?
Ou on peut se pointer plus tôt ?
Ou on peut se pointer plus tôt ?
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
19h15-30 c'est bien... A tchoute !
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Re: ADD2nd Le Roi à la Couronne de Fer
Bon coucou tous.... ce petit post pour vous inciter à regarder les résumés qui, à la relecture sont perclus de fautes (surtout le premier).
Les éléments à retenir sont les suivants :
- Vous êtes tous au service du Prince d'Hiver LAncegal, choisis par le conseil princiers. Vous êtes censés faire la fierté d'une des puissances les plus éclairées des royaumes en ces temps obscurs.
- Tous en charge d'établir le contact avec un sage Kéliléen Céres de Paros (recherche d'alliances avec le conseil Kéliléen). Son éclaireur Sigile a aussi des infos sur les orcs utiles au Prince.
- Sigile a disparu alors qu'il enquêtait sur des mouvements suspects d'orcs
- Attaque du village de nuit. L'invasion est venue de la tour du Mage Agarine Jade.
- Vision de Pacôme au temple du Phalanstyr dédié au dieu Tror
- Un assassin de Scythie a tenté de tuer Le vieux sage Kéliléen Cérès de PAros lors du déclenchement du glyphe. Il portait le sceau étrange de Morémor (Le Cauchemar pour Morémor... Pour Macatah) et un titre de propriété.
- Dans les ruines de la tour, divers objets et documents ont été trouvés. Probablement d'importance. "Le peuple de Maëva", et un étrange tableau trouvé dans la couverture consumée d'un livre de mage.
- Visiblement le mage Agarine JAde était mêlé au déclenchement des sinistres événements. Une des portes secrètes de la ville a été ouverte dans les sous-sols de la tour.
- Vous voilà rejoins par un mage étrange au teint pâle : Meryâm de l'Opale enquêtant sur Agarine Jade. Elsa Donavella a pris la tête d'une véritable petite milice au village.
Dans la salle au pentacle gît le corps d'un mage étrange. Un autre mage mourant sera trouvé à la sortie du passage secret. Ils portent tous deux une robe de mage grise aux reflets verts.
Les orcs n'ont visiblement pas agi seuls.
Le mage survivant saigne abondamment, sous le bras, là où un tatouage de 3 minuscules lys noirs se crevasse à une effrayante vitesse, bordé de nécrose et de noir :
« ahahah ! Ce ne sont que les prémices de la fin de votre tranquillité d’Hiver, frêles Mortels ignorants… d’ici demain soir sera la Lune Noire… vous n’arrêterez plus le changement de ce qui doit être changé… » Il décède.
- Vous avez choisi de suivre l'une des pistes des orcs fuyards... la plus grande troupe va vers l'Est. A la suite d'une marche forcée. Dans des plaines plus arides et poussiéreuses. Vous tombez sur leur campement. Ils ne sont plus loin de leurs terres. Les orcs se chamaillent dans la nuit. Un orc particulièrement imposant brandit un orbe de cristal dans la nuit... Sans doute l'Orbe du mage Agarine Jade.
Enfin : un oubli de ma part, lors de l'attaque du village de Bolème, des villageois semblent avoir été enlevés, lorsque le bourgmestre a fait le décompte.
Voili voilou... A demain les popins !
Les éléments à retenir sont les suivants :
- Vous êtes tous au service du Prince d'Hiver LAncegal, choisis par le conseil princiers. Vous êtes censés faire la fierté d'une des puissances les plus éclairées des royaumes en ces temps obscurs.
- Tous en charge d'établir le contact avec un sage Kéliléen Céres de Paros (recherche d'alliances avec le conseil Kéliléen). Son éclaireur Sigile a aussi des infos sur les orcs utiles au Prince.
- Sigile a disparu alors qu'il enquêtait sur des mouvements suspects d'orcs
- Attaque du village de nuit. L'invasion est venue de la tour du Mage Agarine Jade.
- Vision de Pacôme au temple du Phalanstyr dédié au dieu Tror
- Un assassin de Scythie a tenté de tuer Le vieux sage Kéliléen Cérès de PAros lors du déclenchement du glyphe. Il portait le sceau étrange de Morémor (Le Cauchemar pour Morémor... Pour Macatah) et un titre de propriété.
- Dans les ruines de la tour, divers objets et documents ont été trouvés. Probablement d'importance. "Le peuple de Maëva", et un étrange tableau trouvé dans la couverture consumée d'un livre de mage.
- Visiblement le mage Agarine JAde était mêlé au déclenchement des sinistres événements. Une des portes secrètes de la ville a été ouverte dans les sous-sols de la tour.
- Vous voilà rejoins par un mage étrange au teint pâle : Meryâm de l'Opale enquêtant sur Agarine Jade. Elsa Donavella a pris la tête d'une véritable petite milice au village.
Dans la salle au pentacle gît le corps d'un mage étrange. Un autre mage mourant sera trouvé à la sortie du passage secret. Ils portent tous deux une robe de mage grise aux reflets verts.
Les orcs n'ont visiblement pas agi seuls.
Le mage survivant saigne abondamment, sous le bras, là où un tatouage de 3 minuscules lys noirs se crevasse à une effrayante vitesse, bordé de nécrose et de noir :
« ahahah ! Ce ne sont que les prémices de la fin de votre tranquillité d’Hiver, frêles Mortels ignorants… d’ici demain soir sera la Lune Noire… vous n’arrêterez plus le changement de ce qui doit être changé… » Il décède.
- Vous avez choisi de suivre l'une des pistes des orcs fuyards... la plus grande troupe va vers l'Est. A la suite d'une marche forcée. Dans des plaines plus arides et poussiéreuses. Vous tombez sur leur campement. Ils ne sont plus loin de leurs terres. Les orcs se chamaillent dans la nuit. Un orc particulièrement imposant brandit un orbe de cristal dans la nuit... Sans doute l'Orbe du mage Agarine Jade.
Enfin : un oubli de ma part, lors de l'attaque du village de Bolème, des villageois semblent avoir été enlevés, lorsque le bourgmestre a fait le décompte.
Voili voilou... A demain les popins !
Alkadrim- Date d'inscription : 27/12/2011
Age : 44
Localisation : Lyon 3ème
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Page 2 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum