Histoire des personnages
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Histoire des personnages
Un thread pour décrire l'histoire de vos personnages et des individus remarquable de Golarion.
Zbramse- Date d'inscription : 13/05/2017
Localisation : Miribel
Re: Histoire des personnages
L'histoire de Ied Muleggelf par Kurnouss :
Ied « Muleggelf » Endrin, née Ied Endrin de la famille noble Endrin à Korvosa. Elevé dans la richesse de sa famille et sous la pesanteur des enseignements d’une dure éducation de son père pour faire de son premier enfant le digne héritier de la famille, Ied ne put s’empêcher d’avoir l’esprit volage à regarder les caravanes de marchands quitté la ville vers de lointain horizon. Beaucoup plus attentif aux cours d’héraldiques piquant sa curiosité sur les pays dans lequel vivaient les autres nobles qui se présentaient à leur maison pour de somptueux bals plutôt qu’à ces cours d’escrime où ses jeunes frères le dépassaient largement dans la dextérité de l’arme au grand désarrois de son père.
Lorsque Ied eu son premier cheval, il n’hésita a quitté la ville et enfin visité les alentours de sa ville. Les campagnes, les histoires de marchands voyageant sous la lune et les étoiles, les marins qui racontaient mille richesses pour les yeux « lorsqu’on navigue avec le cœur » l’entrainèrent dans les bras de Desna. Il demanda à son père de quitter la maison pour partir voyager et se nourrir d’une autre richesse que celle de l’argent. Sous le refus incessant de son père de voir son premier enfant partir, Ied du fuguer pour accomplir sa destinée. Il voyagea en compagnie de forains, marchands, bandits, apprenant à connaitre les routes et les cœurs des hommes.
Après quelques années Ied rentrant en sa maison. Son père furieux de cet abandon le désavoua et lui refusa l’accueil et lui retira son titre de Endrin. C’est dans les écuries qu’il raconta alors tous ses périples à ses frères et eux leurs nombreux combats détachant des hordes sauvages épées à la main. Partant prochainement en campagne Ied décida d’accompagner un de ses frères. C’est sur un champ de batailles criblés de flèches qu’Ied récupéra le corps de son défunt frère. Il retourna pour la dernière fois en sa maison ramener le corps de son frère. Déposant le corps au pied de son paternel Ied lui dit : « c’est au voyages et au bouclier que tu aurais dû le former et non à la guerre par l’épée ».
Prenant avec lui ses dernières affaires et le chien de son défunt frère Ied Endrin quitta Korsova et devint Ied « Muleggelf le rempart des voyageurs"
Ied « Muleggelf » Endrin, née Ied Endrin de la famille noble Endrin à Korvosa. Elevé dans la richesse de sa famille et sous la pesanteur des enseignements d’une dure éducation de son père pour faire de son premier enfant le digne héritier de la famille, Ied ne put s’empêcher d’avoir l’esprit volage à regarder les caravanes de marchands quitté la ville vers de lointain horizon. Beaucoup plus attentif aux cours d’héraldiques piquant sa curiosité sur les pays dans lequel vivaient les autres nobles qui se présentaient à leur maison pour de somptueux bals plutôt qu’à ces cours d’escrime où ses jeunes frères le dépassaient largement dans la dextérité de l’arme au grand désarrois de son père.
Lorsque Ied eu son premier cheval, il n’hésita a quitté la ville et enfin visité les alentours de sa ville. Les campagnes, les histoires de marchands voyageant sous la lune et les étoiles, les marins qui racontaient mille richesses pour les yeux « lorsqu’on navigue avec le cœur » l’entrainèrent dans les bras de Desna. Il demanda à son père de quitter la maison pour partir voyager et se nourrir d’une autre richesse que celle de l’argent. Sous le refus incessant de son père de voir son premier enfant partir, Ied du fuguer pour accomplir sa destinée. Il voyagea en compagnie de forains, marchands, bandits, apprenant à connaitre les routes et les cœurs des hommes.
Après quelques années Ied rentrant en sa maison. Son père furieux de cet abandon le désavoua et lui refusa l’accueil et lui retira son titre de Endrin. C’est dans les écuries qu’il raconta alors tous ses périples à ses frères et eux leurs nombreux combats détachant des hordes sauvages épées à la main. Partant prochainement en campagne Ied décida d’accompagner un de ses frères. C’est sur un champ de batailles criblés de flèches qu’Ied récupéra le corps de son défunt frère. Il retourna pour la dernière fois en sa maison ramener le corps de son frère. Déposant le corps au pied de son paternel Ied lui dit : « c’est au voyages et au bouclier que tu aurais dû le former et non à la guerre par l’épée ».
Prenant avec lui ses dernières affaires et le chien de son défunt frère Ied Endrin quitta Korsova et devint Ied « Muleggelf le rempart des voyageurs"
Zbramse- Date d'inscription : 13/05/2017
Localisation : Miribel
Re: Histoire des personnages
Au tour de Pitikili
Pitikili Fasthand est né de Nemen Fasthand et Fihja Softshadow, au sein d'une petite communauté de nomades parcourant tout Golarion. La vie n'était pas toujours facile mais simple et paisible. Ce sont durant ces années que Pitikili a appris, grâce à la chasse, le maniement de l'arc et la discrétion.
Tout changea le jour de l'attaque des bandits alors qu'il était encore jeune. Tous les adultes ont été massacrés et les enfants réduits en esclavage. Choqué, les seuls souvenirs qu'il gardera de cette sinistre journée sont la morts de ses parents et le symbole des bandits, deux corbeau joints en demi-lune.
Finalement vendu à la compagnie de cirque Vepa Susin, du nom de l'aasimar qui la dirige, Pitikili profitant de son agilité naturelle devint un formidable acrobate s'attirant aussi bien le respect du public que la jalousie de ses compagnons d'infortune. Le seul véritable ami qu'il trouva parmi la troupe fut un elfe, Ges Vil le lanceur de couteaux et roublard à ses heures perdues. C'est lui qui appris à Pitikili ce "métier" et manier la rapière. Finalement, il finit par choisir de s'enfuir avec l'aide de Ges, qui préféra rester après lui avoir confié de quoi survivre.
Enfin, Pitikili parcourra de nouveau Golarion librement et finit par arriver à Pointesable, la première étape de son voyage en tant qu'aventurier.
Pitikili Fasthand est né de Nemen Fasthand et Fihja Softshadow, au sein d'une petite communauté de nomades parcourant tout Golarion. La vie n'était pas toujours facile mais simple et paisible. Ce sont durant ces années que Pitikili a appris, grâce à la chasse, le maniement de l'arc et la discrétion.
Tout changea le jour de l'attaque des bandits alors qu'il était encore jeune. Tous les adultes ont été massacrés et les enfants réduits en esclavage. Choqué, les seuls souvenirs qu'il gardera de cette sinistre journée sont la morts de ses parents et le symbole des bandits, deux corbeau joints en demi-lune.
Finalement vendu à la compagnie de cirque Vepa Susin, du nom de l'aasimar qui la dirige, Pitikili profitant de son agilité naturelle devint un formidable acrobate s'attirant aussi bien le respect du public que la jalousie de ses compagnons d'infortune. Le seul véritable ami qu'il trouva parmi la troupe fut un elfe, Ges Vil le lanceur de couteaux et roublard à ses heures perdues. C'est lui qui appris à Pitikili ce "métier" et manier la rapière. Finalement, il finit par choisir de s'enfuir avec l'aide de Ges, qui préféra rester après lui avoir confié de quoi survivre.
Enfin, Pitikili parcourra de nouveau Golarion librement et finit par arriver à Pointesable, la première étape de son voyage en tant qu'aventurier.
Zbramse- Date d'inscription : 13/05/2017
Localisation : Miribel
Re: Histoire des personnages
Ce pavé vous est présenté par Gromogar
Sur le sol de la salle principale du Dragon Rouillé, vous trouvez une enveloppe décachetée et chiffonnée, sûrement récemment perdue par un client éméché, et sur laquelle est inscrit : Pour Gustave de Galdorn. A l'intérieur se trouve une lettre sur laquelle vous pouvez lire ceci :
Cher Gustave,
J'espère que cette lettre vous trouvera en bonne santé et que la rédaction de votre ouvrage sur l'histoire contemporaine de Pointesable avance bien. Lors de notre dernière rencontre, j'ai eu le plaisir de pouvoir échanger avec vous et, en bon homme de lettres, vous m'avez témoigné votre grande curiosité concernant mon parcours. De retour au Dragon Rouillé après une visite pour le moins déplaisante des souterrains et des ruines thassiloniennes oubliées, je suis triste d'apprendre que vous avez quitté cette charmante ville de Pointesable. N'étant moi-même pas certain de pouvoir rester plus longtemps, mon groupe et moi étant aux prises avec des forces grandissantes menaçant la région, je me permets de laisser cette lettre au tenancier de notre auberge pointesablaise préférée. Je connais la responsable de l'établissement et, si vous lisez ces quelques lignes, c'est que j'ai eu raison de lui faire confiance une fois de plus et qu'elle aura su tenir parole et vous transmettre mon message.
Permettez-moi donc d'épancher votre soif de connaissance et de vous parler simplement de moi.
Je suis né à Janderhoff où j'ai connu une enfance heureuse, entouré de l'amour de mon père Dorvar Main-d'Or-Blanc et de ma mère Galyara Main-d'Or-Blanc. Durant mon enfance, j'ai très tôt été initié à la forge par mon père, lui-même forgeron, et me suis intéressé à la culture et la religion, fasciné par les histoires que me comptais ma chère maman. Etant l'une des nombreuses commerçantes de la ville, elle nous rapportait souvent à mon père et moi les principaux évènements de l'extérieur grâce à ses contacts avec les voyageurs venus de tout Varisie et parfois même d'autres régions plus éloignées de Golarion. Loin d'être de grands adorateurs, mes parents respectent néanmoins les préceptes du culte de Torag, Père de la Création. Ils m'ont donc appris la valeur du travail, l'importance de la bonté et de la justice, les avantages d'un esprit affuté et d'un tempérament réfléchi ainsi que de la droiture de caractère. Ces valeurs sont restées pour moi les fondations d'une vie heureuse et honorable et je tente de les respecter toujours, bien que mon jeune âge et mon tempérament sanguin me rendent cette tâche parfois difficile.
Alors que j’assénais mes premiers coups de marteau sur l'enclume en compagnie de mon père, je voyais dans les flammes de la forge et dans mes modestes créations bien plus que l'alliage de composants exceptionnels et la satisfaction du travail bien fait. J'éprouvais un grand plaisir à m'imaginer plus proche de Torag, mon dieu pour lequel je ressentais un amour grandissant et que j'honorais toujours plus assidument par mon artisanat. Empli de cette ferveur, je me rapprochais rapidement des adorateurs de Torag de Janderhoff et débutais mes études pour devenir prêtre du culte. Mon supérieur au sein de l'ordre, Thorgar Oeil-de-Bronze m'a été d'un grand secours et nous sommes rapidement devenus très proches. Ses conseils m'ont été d'une aide précieuse durant mon apprentissage. Mes parents m'ont également soutenus sur ce chemin ardu fait d'efforts et de sacrifices. Mais qu'attendre d'autre qu'un travail acharné et une motivation sans borne pour prétendre mériter l'amour de Torag.
Je ne peux vous parler de moi sans vous parler des deux autres personnes qui peuvent prétendre tenir une place aussi importante (voire plus importante, mais cela reste entre nous) dans mon cœur que celle de Torag. Lors d'une de mes sorties, alors que je me trouvais avec mes amis devant une choppe de bière (il me paraît inutile de vous les présenter ici mais je vous parlerai volontiers d'eux à l'occasion), dans l'un des établissements respectables de Janderhoff, j'ai aperçu et abordé le moins maladroitement possible la plus belle naine qu'il m'est été donné de rencontrer : Varygrit Voix-d'Argent. Monsieur, c'est avec honte que je vous l'évoque dans cette lettre tant il me semble que les mots sont bien vains pour tenter de vous présenter celle qui est pour moi la plus merveilleuse création de notre grand Torag. Après cette rencontre fortuite, plusieurs rendez-vous nous ont permis de faire plus ample connaissance. D'abord séduit par ses traits que j'ose qualifier de divins, je suis définitivement tombé amoureux de cette naine d'une grande douceur, d'un tempérament calme et rieur qui traduit une grande force de caractère. Voyant ma chance de pouvoir faire ma vie en si charmante compagnie, j'ai laissé parler mon amour au risque de me précipiter et, après seulement vingt de vos années humaines, ai demandé Varygrit en mariage. Demande qu'elle a accepté, nous permettant ainsi de forger notre lien sacré sous l'oeil bienveillant de nos parents, de mon ordre et, je n'en doute pas, de Torag. Peu après notre mariage, mon bonheur ne semblant pas connaître de fin, Varygrit Main-d'Or-Blanc m'a appris sa condition et nous avons accueilli dans nos vies ma petite Algirda, une merveille bénie de la chevelure rousse de sa mère et d'un tempérament tout aussi flamboyant.
Vous vous demandez alors sans doute pour quelle raison un prêtre nain aussi heureux et chanceux a décidé de quitter son foyer et sa famille pour parcourir les routes. Pour vous éclairer sur ce point, j'en viens à la raison qui m'a poussé à quitter Janderhoff. Répondant à une commande importante passée auprès de ma mère par un habitant d'Abken, Varygrit, Algirda et moi avons profité de l'opportunité de ce voyage pour sortir ensemble de Janderhoff et permettre à notre enfant de découvrir la région pour la première fois. Après avoir fait bonne route jusqu'à destination, nous avons profité de l'hospitalité de notre client et des habitants et avons passé la nuit à Abken. Malheureusement, le lendemain, sur le chemin du retour, l'essieu de notre charrette s'étant brisé, il nous a fallu nous arrêter le temps que j'entreprenne les réparations. Le caractère aventureux de ma petite Algi et une minute d'inattention de ses parents affairés à la tâche auront alors suffi. J'ai été tiré de mon labeur par le cri de ma chère Vary se précipitant dans le marais. Je vous souhaite monsieur, si ce n'est déjà le cas, de pouvoir un jour aimer quelqu'un au point de connaître la peur et la rage que j'ai pu ressentir en voyant mon enfant touchée dans sa chair par un immonde ver géant. Ma femme, un marteau de forgeron à la main n'a pas hésité une seule seconde et, en s'interposant entre le ver et notre enfant, elle l'a protégé d'une deuxième attaque qui lui aurait été fatale. Mon marteau de guerre et mon bouclier en mains, je ne tardais pas à la rejoindre et nous avons rapidement eu raison de la créature, mais notre Algirda n'était pas tirée d'affaire pour autant. Avant de vous apprendre la suite, sachez que la guérison reste un don puissant et que je n'étais alors qu'un prêtre très novice. Je n'avais que très rarement eu la chance de pratiquer un sort de soins. De plus, une seule morsure de cette bête avait suffi à mettre ma chère petite dans un état critique. Je priais alors de toutes mes forces pendant ce qu'il m'a semblé les plus longues minutes de ma vie. Varygrit à mes côtés, des larmes coulant le long de ses joues, je suppliais Torag de me donner la force de sauver mon enfant. Je lui jurais alors de l'honorer et de répondre à son appel en parcourant Golarion pour rendre gloire à sa bonté et sa grandeur partout où son jugement sans faille jugerait bon de m'envoyer. Mes mains se mirent alors à irradier et, quelques instants plus tard, je pouvais serrer dans mes bras mon enfant sauve et mon épouse. En pleurs, soulagé et déterminé, je remerciais Torag pour ce présent et, de retour à Janderhoff, je me préparais pour mon voyage. Quelque jours plus tard, je profitais du transport d'un ami de ma mère partant vendre ses produits à Pointesable, à l'occasion d'un grand festival.
Depuis lors, je voyage, lutte contre le mal et tente d'honorer Torag dans chacune de mes actions, jusqu'à ce qu'il juge mon devoir accompli et m'accorde une mort honorable à son service ou me permette, dans son infinie sagesse, de retrouver mon foyer.
Etant un chercheur et un historien doué, vous connaissez certainement la suite mon bon Gustave.
J'espère que ce récit aura répondu à toutes vos questions. Je vous souhaite une bonne continuation dans vos recherches et attend avec impatience de pouvoir me procurer votre ouvrage.
Que Torag vous accompagne.
Sur le sol de la salle principale du Dragon Rouillé, vous trouvez une enveloppe décachetée et chiffonnée, sûrement récemment perdue par un client éméché, et sur laquelle est inscrit : Pour Gustave de Galdorn. A l'intérieur se trouve une lettre sur laquelle vous pouvez lire ceci :
Cher Gustave,
J'espère que cette lettre vous trouvera en bonne santé et que la rédaction de votre ouvrage sur l'histoire contemporaine de Pointesable avance bien. Lors de notre dernière rencontre, j'ai eu le plaisir de pouvoir échanger avec vous et, en bon homme de lettres, vous m'avez témoigné votre grande curiosité concernant mon parcours. De retour au Dragon Rouillé après une visite pour le moins déplaisante des souterrains et des ruines thassiloniennes oubliées, je suis triste d'apprendre que vous avez quitté cette charmante ville de Pointesable. N'étant moi-même pas certain de pouvoir rester plus longtemps, mon groupe et moi étant aux prises avec des forces grandissantes menaçant la région, je me permets de laisser cette lettre au tenancier de notre auberge pointesablaise préférée. Je connais la responsable de l'établissement et, si vous lisez ces quelques lignes, c'est que j'ai eu raison de lui faire confiance une fois de plus et qu'elle aura su tenir parole et vous transmettre mon message.
Permettez-moi donc d'épancher votre soif de connaissance et de vous parler simplement de moi.
Je suis né à Janderhoff où j'ai connu une enfance heureuse, entouré de l'amour de mon père Dorvar Main-d'Or-Blanc et de ma mère Galyara Main-d'Or-Blanc. Durant mon enfance, j'ai très tôt été initié à la forge par mon père, lui-même forgeron, et me suis intéressé à la culture et la religion, fasciné par les histoires que me comptais ma chère maman. Etant l'une des nombreuses commerçantes de la ville, elle nous rapportait souvent à mon père et moi les principaux évènements de l'extérieur grâce à ses contacts avec les voyageurs venus de tout Varisie et parfois même d'autres régions plus éloignées de Golarion. Loin d'être de grands adorateurs, mes parents respectent néanmoins les préceptes du culte de Torag, Père de la Création. Ils m'ont donc appris la valeur du travail, l'importance de la bonté et de la justice, les avantages d'un esprit affuté et d'un tempérament réfléchi ainsi que de la droiture de caractère. Ces valeurs sont restées pour moi les fondations d'une vie heureuse et honorable et je tente de les respecter toujours, bien que mon jeune âge et mon tempérament sanguin me rendent cette tâche parfois difficile.
Alors que j’assénais mes premiers coups de marteau sur l'enclume en compagnie de mon père, je voyais dans les flammes de la forge et dans mes modestes créations bien plus que l'alliage de composants exceptionnels et la satisfaction du travail bien fait. J'éprouvais un grand plaisir à m'imaginer plus proche de Torag, mon dieu pour lequel je ressentais un amour grandissant et que j'honorais toujours plus assidument par mon artisanat. Empli de cette ferveur, je me rapprochais rapidement des adorateurs de Torag de Janderhoff et débutais mes études pour devenir prêtre du culte. Mon supérieur au sein de l'ordre, Thorgar Oeil-de-Bronze m'a été d'un grand secours et nous sommes rapidement devenus très proches. Ses conseils m'ont été d'une aide précieuse durant mon apprentissage. Mes parents m'ont également soutenus sur ce chemin ardu fait d'efforts et de sacrifices. Mais qu'attendre d'autre qu'un travail acharné et une motivation sans borne pour prétendre mériter l'amour de Torag.
Je ne peux vous parler de moi sans vous parler des deux autres personnes qui peuvent prétendre tenir une place aussi importante (voire plus importante, mais cela reste entre nous) dans mon cœur que celle de Torag. Lors d'une de mes sorties, alors que je me trouvais avec mes amis devant une choppe de bière (il me paraît inutile de vous les présenter ici mais je vous parlerai volontiers d'eux à l'occasion), dans l'un des établissements respectables de Janderhoff, j'ai aperçu et abordé le moins maladroitement possible la plus belle naine qu'il m'est été donné de rencontrer : Varygrit Voix-d'Argent. Monsieur, c'est avec honte que je vous l'évoque dans cette lettre tant il me semble que les mots sont bien vains pour tenter de vous présenter celle qui est pour moi la plus merveilleuse création de notre grand Torag. Après cette rencontre fortuite, plusieurs rendez-vous nous ont permis de faire plus ample connaissance. D'abord séduit par ses traits que j'ose qualifier de divins, je suis définitivement tombé amoureux de cette naine d'une grande douceur, d'un tempérament calme et rieur qui traduit une grande force de caractère. Voyant ma chance de pouvoir faire ma vie en si charmante compagnie, j'ai laissé parler mon amour au risque de me précipiter et, après seulement vingt de vos années humaines, ai demandé Varygrit en mariage. Demande qu'elle a accepté, nous permettant ainsi de forger notre lien sacré sous l'oeil bienveillant de nos parents, de mon ordre et, je n'en doute pas, de Torag. Peu après notre mariage, mon bonheur ne semblant pas connaître de fin, Varygrit Main-d'Or-Blanc m'a appris sa condition et nous avons accueilli dans nos vies ma petite Algirda, une merveille bénie de la chevelure rousse de sa mère et d'un tempérament tout aussi flamboyant.
Vous vous demandez alors sans doute pour quelle raison un prêtre nain aussi heureux et chanceux a décidé de quitter son foyer et sa famille pour parcourir les routes. Pour vous éclairer sur ce point, j'en viens à la raison qui m'a poussé à quitter Janderhoff. Répondant à une commande importante passée auprès de ma mère par un habitant d'Abken, Varygrit, Algirda et moi avons profité de l'opportunité de ce voyage pour sortir ensemble de Janderhoff et permettre à notre enfant de découvrir la région pour la première fois. Après avoir fait bonne route jusqu'à destination, nous avons profité de l'hospitalité de notre client et des habitants et avons passé la nuit à Abken. Malheureusement, le lendemain, sur le chemin du retour, l'essieu de notre charrette s'étant brisé, il nous a fallu nous arrêter le temps que j'entreprenne les réparations. Le caractère aventureux de ma petite Algi et une minute d'inattention de ses parents affairés à la tâche auront alors suffi. J'ai été tiré de mon labeur par le cri de ma chère Vary se précipitant dans le marais. Je vous souhaite monsieur, si ce n'est déjà le cas, de pouvoir un jour aimer quelqu'un au point de connaître la peur et la rage que j'ai pu ressentir en voyant mon enfant touchée dans sa chair par un immonde ver géant. Ma femme, un marteau de forgeron à la main n'a pas hésité une seule seconde et, en s'interposant entre le ver et notre enfant, elle l'a protégé d'une deuxième attaque qui lui aurait été fatale. Mon marteau de guerre et mon bouclier en mains, je ne tardais pas à la rejoindre et nous avons rapidement eu raison de la créature, mais notre Algirda n'était pas tirée d'affaire pour autant. Avant de vous apprendre la suite, sachez que la guérison reste un don puissant et que je n'étais alors qu'un prêtre très novice. Je n'avais que très rarement eu la chance de pratiquer un sort de soins. De plus, une seule morsure de cette bête avait suffi à mettre ma chère petite dans un état critique. Je priais alors de toutes mes forces pendant ce qu'il m'a semblé les plus longues minutes de ma vie. Varygrit à mes côtés, des larmes coulant le long de ses joues, je suppliais Torag de me donner la force de sauver mon enfant. Je lui jurais alors de l'honorer et de répondre à son appel en parcourant Golarion pour rendre gloire à sa bonté et sa grandeur partout où son jugement sans faille jugerait bon de m'envoyer. Mes mains se mirent alors à irradier et, quelques instants plus tard, je pouvais serrer dans mes bras mon enfant sauve et mon épouse. En pleurs, soulagé et déterminé, je remerciais Torag pour ce présent et, de retour à Janderhoff, je me préparais pour mon voyage. Quelque jours plus tard, je profitais du transport d'un ami de ma mère partant vendre ses produits à Pointesable, à l'occasion d'un grand festival.
Depuis lors, je voyage, lutte contre le mal et tente d'honorer Torag dans chacune de mes actions, jusqu'à ce qu'il juge mon devoir accompli et m'accorde une mort honorable à son service ou me permette, dans son infinie sagesse, de retrouver mon foyer.
Etant un chercheur et un historien doué, vous connaissez certainement la suite mon bon Gustave.
J'espère que ce récit aura répondu à toutes vos questions. Je vous souhaite une bonne continuation dans vos recherches et attend avec impatience de pouvoir me procurer votre ouvrage.
Que Torag vous accompagne.
Zbramse- Date d'inscription : 13/05/2017
Localisation : Miribel
Re: Histoire des personnages
Le bruit des crépitements d'un feu. Celui de l'accroche du papier sous la griffe d'un plume remplis d'encre et de savoir. La paisible respiration d'un enfant dormant. Ce sont de curieux instruments pour un paisible melodie.
Ah maitre nain! Nous sommes bien loin de chez nous. Mais c'est aussi la destin que m'a confié Desna, celui du voyage, de prompte rencontre telle que vous et de fabuleuse aventure. J'espere que vous comprenez la dévotion dans mes actes quand je vois ces moments que nous partageons.
Il y a quelques temps encore je ne vous connaissez point. La première chose que j'ai vu en vous c’était du courage. Alors que la foule prenez la fuite vous etes restez la pret a vous battre. Je ne pense pas que ce soit cette rancunière haine ancestrale qui vous a fait prendre les armes, mais bien votre coeur forger de vertu pour défendre votre prochain. Et je me rappelle bien entendu la seconde chose que j'ai vu en vous aussi, des jambes trop courtes pour passez par dessus un table! Un premier obstacle!
Regardez aujourd'hui ou nous sommes maitre nain. Avancé dans les terres entre Manimar et le Bac de la tortue avec derrière nous de nombreux obstacles abattus.
Vous souvenez vous de pic chardon? où dans ses ruines Thasilonienne nous avons defait une créatures abjecte provenant pourtant de sang divin? Quel gachis! Vous avez été un impétueux guerrier contre volpépite et son destrier. J'ai vu une fois de plus le bien en vous maitre nain. Ne vous laissant pas submerger par la force brutale mais bien par le sens de la créatioon lorsque vous nous avez tous désarconné! Ce chef gobelin de sa monture et vos compagnons par tant d'esprit!
J'ai plus peur de vous nain que je n'ai peur des forces maléfique qui parcours ce monde. Aucune n'est capable de tant de sacrifice que vous même. Vous qui avait portés dans la douleur et dans son innocence cet enfants qui été le jouet d'une âme vagabonde. Prêt a tout pour le protéger jusqu’à lui donner votre unique idole pour bouclier! Nous vaincrons toujours les forces démoniaques car aucune n'est capable de geste aussi altruiste.
Vous m'avez aussi accompagné aveuglement a travers les marais des Bourbiers pour aller sauver un parfait inconnu. Vous avez placer en moi toute votre confiance lorsque j'ai décidé d'affronter en duel la créature le plus immense que je n'avais jamais vu à ce jour. C'est bien votre foi, votre determination et votre courage que vous m'avez transmit par votre regard avec mon combat. Vous etes celui qui à accompagné chacun de mes mouvements dans cet épique duel.
Il n'y aura jamais assez d'encre à point de sable pour compter votre histoire. Mais chacun de ses habitant vous connais car vous leur avait offert une partie de vous. Dans vos combats contre des goules, dans vos prières pour les accompagner, et même dans les auberges où vous contiez la vie des mines et la beauté de la plus belle des femmes naines. Vous êtes une bonne personne maitre nain. Thorag a bien fait de vous prendre pour Herault.
Ah maitre nain! Nous sommes bien loin de chez nous. Mais c'est aussi la destin que m'a confié Desna, celui du voyage, de prompte rencontre telle que vous et de fabuleuse aventure. J'espere que vous comprenez la dévotion dans mes actes quand je vois ces moments que nous partageons.
Il y a quelques temps encore je ne vous connaissez point. La première chose que j'ai vu en vous c’était du courage. Alors que la foule prenez la fuite vous etes restez la pret a vous battre. Je ne pense pas que ce soit cette rancunière haine ancestrale qui vous a fait prendre les armes, mais bien votre coeur forger de vertu pour défendre votre prochain. Et je me rappelle bien entendu la seconde chose que j'ai vu en vous aussi, des jambes trop courtes pour passez par dessus un table! Un premier obstacle!
Regardez aujourd'hui ou nous sommes maitre nain. Avancé dans les terres entre Manimar et le Bac de la tortue avec derrière nous de nombreux obstacles abattus.
Vous souvenez vous de pic chardon? où dans ses ruines Thasilonienne nous avons defait une créatures abjecte provenant pourtant de sang divin? Quel gachis! Vous avez été un impétueux guerrier contre volpépite et son destrier. J'ai vu une fois de plus le bien en vous maitre nain. Ne vous laissant pas submerger par la force brutale mais bien par le sens de la créatioon lorsque vous nous avez tous désarconné! Ce chef gobelin de sa monture et vos compagnons par tant d'esprit!
J'ai plus peur de vous nain que je n'ai peur des forces maléfique qui parcours ce monde. Aucune n'est capable de tant de sacrifice que vous même. Vous qui avait portés dans la douleur et dans son innocence cet enfants qui été le jouet d'une âme vagabonde. Prêt a tout pour le protéger jusqu’à lui donner votre unique idole pour bouclier! Nous vaincrons toujours les forces démoniaques car aucune n'est capable de geste aussi altruiste.
Vous m'avez aussi accompagné aveuglement a travers les marais des Bourbiers pour aller sauver un parfait inconnu. Vous avez placer en moi toute votre confiance lorsque j'ai décidé d'affronter en duel la créature le plus immense que je n'avais jamais vu à ce jour. C'est bien votre foi, votre determination et votre courage que vous m'avez transmit par votre regard avec mon combat. Vous etes celui qui à accompagné chacun de mes mouvements dans cet épique duel.
Il n'y aura jamais assez d'encre à point de sable pour compter votre histoire. Mais chacun de ses habitant vous connais car vous leur avait offert une partie de vous. Dans vos combats contre des goules, dans vos prières pour les accompagner, et même dans les auberges où vous contiez la vie des mines et la beauté de la plus belle des femmes naines. Vous êtes une bonne personne maitre nain. Thorag a bien fait de vous prendre pour Herault.
kurnouss- Date d'inscription : 29/03/2017
Re: Histoire des personnages
"Aussi vrai que le maire seigneur est aussi gras que le plus gros cochon de foire au marchand je te dis! J'y étais et je t'assure j'aurais préféré ne pas y être. Mais j'y étais pour une affaire de famille, l'héritage de mon vieil oncle mort d'un furoncle au cul. Ça l'a rongé pendant deux ans avant de le mettre à mort et j'y suis aller pour un héritage aussi maigre qu'un mendiant. Déja pour y aller j'ai pris la pluie pendant les deux semaines. Et une fois la bas c'était pire. C'est pas le bac de la tortue qu'ils auraient du l’appeler, c'est le bac de la grenouille. J'avais presque finis l'affaire et j'étais pret à rentrer a Manimar avec un marchand au midi mais dés le réveil on avait les pieds dans l'eau. Une foutu un inondation à noyer le plus grand des nains. Tu aurais vu ça, ça gueuler des au secours de partout entre les gamins et les vieux.
Tu sais comment je suis j'aime pas m'occuper des affaires des autres moi. j'ai préféré les laisser ce débrouiller seul mais v'la qu’apparemment un habitant il est allé chercher l'aide de soit disant héros de la région pour sauver tout ça. Moi j'avais réussis a me trouver une petit barque penard sans un de ses ploucs pour me gener et j'aurais fait mon chemin tout seul. Et la mon brave je les ai vu arriver. T'sais comme quand le soleil il passe entre les arches du grand pont et qu'il éclaire ton visage. Tu vois plus que la lumiére et bien c'est gars là c’était pareil. Y avait d'abord ce nain qui devait etre un géant chez lui car sa tête dépassé encore de l'eau. Y avait aussi un être bizarre, tu sais comme mon neuveu avec une tête bizarre et bien lui c'était son visage on aurait dis de la peau écorché vif et puis l'air de rien il marché sur l'eau. Le troisième c'était un paladin avec une armure blanche et bleu que je me suis dis qu'il finira dans le fond de bac de tortue avec ça et puis un vieux qui j'ai cru qu'on allait devoir secourir aussi.
Et bien dés qu'il sont arrivés ils ont tout de suite pris la situation en main, vas y que je sauve un tel, vas y que je tue un serpent qui traine. Mais le serpent c'était rien, c'est la qu'elle est arrivé. Emporté dans l'eau on aurait dit un arbre millénaire qui est venu percuté l'église la reduisant en moitié en ruine. C'était Noir Maga j'en suis sur. Y avait tout, l'obscurité, l'odeur, les tentacules. Elle était immense elle dépassait l'église sur laquelle elle continué de frapper avec ses tentacules. Et tu sais quand tu vois ça tu te dis que c'est la derniére chose que tu verras. La où elle est passé , elle a tout amener avec elle par le fond.
Et c'est la que le l'armure sur patte à eu l'air de devenir dément alors que ces collègues prenaient la fuite un par un. Un suicidaire et des fuyards, tu parles de héros! Mais quand il est arrivé contre le monstre c'est la que j'ai compris. Ils étaient bien plus que des héros, le paladin fou se frappait lui même pour attirer l'attention de la Mère des monstres, alors que c'est amis étaient en réalité en train d'évacuer les enfant et les malades. D'autres tentacules sont sortis de l'eau pour emprisonner Noire maga et ce paladin fou se tenant toujours devant elle. A son premier coup d'épée le sang coula de la créature, et là il devient encore plus frénétique il crié "si tu saignes alors tu périras sous la lame de Desna". La créature tenter de s'en débarasser tant bien que mal. Ses tentacules rebondissait contre son armure, il arrivait a éviter ces coups de machoires. Tu aurais du voir ça de vrai! Un fou ce paladin et il continué a assener ses coups d'épée sur la créature. Et qaudn tu crois qu'il se met à faiblir ses compagnons arrivérent. on aurait dit qu'ils étaient tous en symbiose et en quelques secondes des déluges de coup ce sont abbatus sur Noir Maga. Et je le jure sur le oublon de cette biére. Noir Maga à préféré prendre la fuite! et oui mon vieux, elle a pris peur, elle est tombé sur plus tentaculaire et combattante qu'elle. Les monstres ils le ressentent ça je te dis. Je suis sur qu'elle n'aura plus la même odeur, elle portera sur elle une odeur de peur, la sienne.
Quand aux héros depuis ils les appellent les chasseurs de légendes. Car oui ils sont chassé la legendaire Noir Maga et ont aussi chassé la légende comme quoi elle serait divine. Et ils en sont pas à leur premier coups d'éclat. Il paraitrai qu'ils avaient déja vaincu le diable de Pointde Sable avant ça. Mais ça j'y crois pas. C'est une légende pour les bouseux je suis sur"
Tu sais comment je suis j'aime pas m'occuper des affaires des autres moi. j'ai préféré les laisser ce débrouiller seul mais v'la qu’apparemment un habitant il est allé chercher l'aide de soit disant héros de la région pour sauver tout ça. Moi j'avais réussis a me trouver une petit barque penard sans un de ses ploucs pour me gener et j'aurais fait mon chemin tout seul. Et la mon brave je les ai vu arriver. T'sais comme quand le soleil il passe entre les arches du grand pont et qu'il éclaire ton visage. Tu vois plus que la lumiére et bien c'est gars là c’était pareil. Y avait d'abord ce nain qui devait etre un géant chez lui car sa tête dépassé encore de l'eau. Y avait aussi un être bizarre, tu sais comme mon neuveu avec une tête bizarre et bien lui c'était son visage on aurait dis de la peau écorché vif et puis l'air de rien il marché sur l'eau. Le troisième c'était un paladin avec une armure blanche et bleu que je me suis dis qu'il finira dans le fond de bac de tortue avec ça et puis un vieux qui j'ai cru qu'on allait devoir secourir aussi.
Et bien dés qu'il sont arrivés ils ont tout de suite pris la situation en main, vas y que je sauve un tel, vas y que je tue un serpent qui traine. Mais le serpent c'était rien, c'est la qu'elle est arrivé. Emporté dans l'eau on aurait dit un arbre millénaire qui est venu percuté l'église la reduisant en moitié en ruine. C'était Noir Maga j'en suis sur. Y avait tout, l'obscurité, l'odeur, les tentacules. Elle était immense elle dépassait l'église sur laquelle elle continué de frapper avec ses tentacules. Et tu sais quand tu vois ça tu te dis que c'est la derniére chose que tu verras. La où elle est passé , elle a tout amener avec elle par le fond.
Et c'est la que le l'armure sur patte à eu l'air de devenir dément alors que ces collègues prenaient la fuite un par un. Un suicidaire et des fuyards, tu parles de héros! Mais quand il est arrivé contre le monstre c'est la que j'ai compris. Ils étaient bien plus que des héros, le paladin fou se frappait lui même pour attirer l'attention de la Mère des monstres, alors que c'est amis étaient en réalité en train d'évacuer les enfant et les malades. D'autres tentacules sont sortis de l'eau pour emprisonner Noire maga et ce paladin fou se tenant toujours devant elle. A son premier coup d'épée le sang coula de la créature, et là il devient encore plus frénétique il crié "si tu saignes alors tu périras sous la lame de Desna". La créature tenter de s'en débarasser tant bien que mal. Ses tentacules rebondissait contre son armure, il arrivait a éviter ces coups de machoires. Tu aurais du voir ça de vrai! Un fou ce paladin et il continué a assener ses coups d'épée sur la créature. Et qaudn tu crois qu'il se met à faiblir ses compagnons arrivérent. on aurait dit qu'ils étaient tous en symbiose et en quelques secondes des déluges de coup ce sont abbatus sur Noir Maga. Et je le jure sur le oublon de cette biére. Noir Maga à préféré prendre la fuite! et oui mon vieux, elle a pris peur, elle est tombé sur plus tentaculaire et combattante qu'elle. Les monstres ils le ressentent ça je te dis. Je suis sur qu'elle n'aura plus la même odeur, elle portera sur elle une odeur de peur, la sienne.
Quand aux héros depuis ils les appellent les chasseurs de légendes. Car oui ils sont chassé la legendaire Noir Maga et ont aussi chassé la légende comme quoi elle serait divine. Et ils en sont pas à leur premier coups d'éclat. Il paraitrai qu'ils avaient déja vaincu le diable de Pointde Sable avant ça. Mais ça j'y crois pas. C'est une légende pour les bouseux je suis sur"
Discussion de Jean Mi et Bruno dans une taverne de ManimAr
kurnouss- Date d'inscription : 29/03/2017
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